

L’innocence ne se défend pas seule
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L’innocence ne se défend pas seule
L’innocence ne se défend pas seule
Sujet tabou,
et pourtant essentiel.
Car l’inverse se produit,
alors qu’on devrait protéger,
coûte que coûte,
l’innocence,
comme une fleur fragile.
On ne les croit pas,
quand la vérité jaillit de leurs petites bouches,
et l’aliénation prend place,
comme une ombre menaçante.
L’enfant, pris au piège,
est envoyé en "sécurité",
dans une famille soi-disant bienveillante…
mais où se cache la malveillance,
telle une bête tapie dans l’ombre.
Comment faire confiance à une certaine justice ?
et quand, à l’école,
on initie les enfants par des livres,
à des sujets qui ne sont pas de leur ressort.
Stop.
Sensibiliser, oui.
mais à un âge juste,
Pour qu’ils reconnaissent leurs bourreaux,
leurs agresseurs,
leurs violeurs,
comme des loups déguisés en agneaux.
Sans peur.
sans menace.
pour qu’on les écoute vraiment,
Pour qu’on prenne en compte leurs récits blessés,
leurs vérités souvent ignorées,
comme des cris étouffés dans la nuit. pour les aider à se reconstruire,
comme des phénix renaissant de leurs cendres.
Car tous ceux et celles Qui ne les écoutent pas,
qui ne prennent pas leur défense,
se tiennent du côté des agresseurs, comme des complices silencieux.
ce sont ces adultes-là Qui sont dangereux,
et qu’il faut éloigner des enfants,
dans la justice,
dans l’éducation,
dans tous les lieux d’influence,
comme des gardiens veillant sur des trésors précieux.
Stop.
L’enfant a droit à son temps d’innocence,
à une enfance pure et insouciante,
ne le tachons pas de sang,
ne le souillons pas de larmes.
Fin
Écrit le 29/04/25
Image seaart.ai et Canva
Barbara Wonder

