

Mon édifice brinquebalant
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Mon édifice brinquebalant
Aussi éblouissante qu’une page blanche au soleil d’été,
Ma rétine brûlée à la blancheur de ton absence.
Tu t’es éteint en soufflant ta bougie
Parmi les feuilles d’automne envolées au vent,
Ta complainte a disparu dans la nuit.
Tu es partie sans que je puisse tenir ta main
Sans un baiser sur ton front, sans un mot pour demain.
Tu es partie
Et depuis, je n’ai vécu que dans le nuit.
De nuit doucereuse, à la lueur d’automne
Nous sommes entrée dans un hiver sombre, froid, impénétrable.
Voilà l’hiver.
Mon édifice brinquebalant
S’est mué en une grande paresse.
J’ai veillé sur un monde disparu au lieu de te faire vivre demain.
Ton absence suivie de grands silences
J’ai entendue abasourdie le cri
Des mots qui ne sortent plus.
Voilà des mois que
Mon édifice


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