MC 9.42
MC 9.42
AVERTISSEMENT :
Bien qu’il n’y ait aucune scène de sexe, ou de corps dénudés, certains passages ou propos tenus dans cette nouvelle, pourraient heurter la sensibilité de beaucoup. Il ne fait nullement l’apologie de ce qui y est révélé, mais veut en dénoncer ses travers ; par cette propagande outrancière actuelle, de sexualisation des enfants ; qui s’immisce sournoisement et progressivement dans la plupart des écoles. L’intention était délibérément de choquer, afin de réveiller la conscience de certains ; tel un électrochoc spirituel. Afin d’éviter toute amalgame, bien évidemment, en tant qu’auteur et scénariste, je ne partage nullement, ce que j’ai voulu tenter de dénoncer. J’ai viscéralement écrit cette histoire dans la répugnance, le dégout et non dans la complaisance ; dans le but ultime de refermer les boites de pandore, que la plupart des gouvernements corrompus, pédosatanistes et pervertis actuels, veulent tenter d’ouvrir, dans chacune des écoles du monde entier. Cette photographie sociétale n’est qu’une projection hypothétique, de ce pourrait devenir le système scolaire actuel. Un enfant doit rester un enfant. Ne brûlons les étapes. Il y a un temps pour tout.
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« Nous n'avons pas besoin d'éducation
Nous n'avons pas besoin de contrôle de la pensée
Pas de sarcasme dans la salle de classe
Professeur, laissez ces enfants tranquilles
Hé, professeur, laissez ces enfants tranquilles
Tout compte fait, ce n'est qu'une brique de plus dans le mur
Tout compte fait, tu n'es qu'une brique de plus dans le mur. »
Pink Floyd, The Wall, 1979
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Narration : « Durant les années 2000, une brèche de l’enfer, s’est ouverte… » …
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Lundi 17 mai 2040. Des enfants de toute ethnie, de 7 ans d’âge moyen, attendaient bruyamment dans la classe, leur maitresse. Les chaises sur lesquels ils étaient respectivement assis, ainsi que leurs tables d’écolier, étaient sans pieds et flottaient dans l’air. A proximité du tableau et du bureau également sans pieds de la maitresse, se tenait un drapeau arc-en-ciel, multicolore. Soudain, Madame Borotti, une femme blonde aux yeux bleus, trentenaire, apparaissait par la porte d’entrée laissée ouverte. Elle portait un sac en cuir marron ; et était munie d’un trench-coat noir, ne laissant entrevoir qu’un bout de ses deux mollets, ainsi que ses talons aiguilles noir également.
‒ Bonjour les enfants, fit cette dernière.
‒ Bonjour maitresse, rétorquèrent les élèves.
‒ Silence, s’il vous plait (l’institutrice déposa son sac sur son bureau).
Aussitôt le brouhaha ambiant cessa.
‒ Bon. J’espère que tout le monde est présent (elle balaya la salle du regard). Apparemment, je vois que oui. Personne ne manque.
Katia, une jeune fille blonde aux yeux bleus leva sa main.
‒ Oui, Katia ?
‒ Qu’est-ce nous allons apprendre aujourd’hui, maitresse ?
‒ Des choses profondes (elle sourit malicieusement).
‒ Comment ça, maitresse ?
‒ Un instant (elle enleva son trench-coat et le mit sur un porte-manteau)
Madame Borotti était en petite tenue. Elle portait de la lingerie et des bas- jarretières, tout de noir vêtue, chaussée de ses talons aiguilles. Les réactions des élèves étaient mitigées. Certains, du haut de leurs candeurs, furent choqués, étonnés, ou mettaient instinctivement la main sur leurs yeux. D’autres quant à eux, se mettaient à pouffer de rire, comme Katia.
‒ Donc…Aujourd’hui…Nous allons parler de … (elle ouvrit son sac et mit sa main dedans) … De Ça (elle sortit un plug anal et le posa sur la table, à la vue des enfants) ! Mais nous allons parler aussi de… (elle remit cette fois-ci ses deux mains dans son sac) …De Ça ! (Elle sortit deux godemichets de tailles différentes, dans chacune de ses mains et les déposa également sur la table).
A la vue de ces objets sexuels, la plupart des enfants affichaient un visage perplexe, intrigué voire étonné. D’autres, peut-être plus perspicaces se mettaient à rire.
‒ Qu’est-ce que c’est, maitresse ? A quoi servent ces objets ?
‒ Ce sont de grands… (elle sourit malicieusement) … suppositoires !
A ces mots, Michael, un jeune garçon noir coiffé d’un afro, leva la main.
‒ Qu’est-ce qu’un suppositoire, maitresse ? Demanda ce dernier.
‒ Cela sert à…C’est en fait ce que l’on met dans son… (elle s’interrompit, en voyant la porte d’entrée toujours ouverte).
Madame Borotti, toujours en petite tenue et bas-jarretières, se dirigea de manière chaloupée vers la porte, puis la referma en esquissant discrètement un sourire sardonique. Sur l’extérieur de la porte fermée, était affichée une feuille où était mentionné « cours d’éducation sexuelle » avec le dessin d’un drapeau arc-en-ciel, sur le côté gauche et celui d’une pizza sur le côté droit.
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Au même moment, deux hommes noirs étaient attablés à la terrasse d’un café parisien. L’un se prénommait William, un soixantenaire aux cheveux Afro et à la barbe grisonnante. Quant à l’autre, qui lisait un quotidien, il se nommait Samuel, un quarantenaire chauve, portant le bouc. Deux cappuccinos étaient posés sur leur table.
‒ Sinon, quel est ton programme de la journée, questionna ce dernier en continuant de lire son journal.
‒ Eh bien, je crois que j’irai encore une fois évangéliser dans les rues, répondit William en ayant les yeux rivés sur son smartphone. Et toi ?
‒ Sage décision. Quant à moi, j’irai chercher ma fille à l’école privée chrétienne, rétorqua Samuel en ayant les yeux soudainement fixés sur un article.
Contre toute attente, son humeur changea brusquement.
‒ Pfff…J’en peux plus de ce monde, maugréa le quarantenaire, en repliant le journal, pour ensuite le balancer sur la table.
‒ Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda William d’un air perplexe.
‒ Je viens de lire qu’un pédophile qui a violé une fille de 6 ans a été acquitté.
‒ Pour quel motif ? Demanda William d’un air étonné, en prenant le journal, afin de lire l’article.
‒ Par consentement. Le tribunal luciférien de Paris, a décrété que la gamine était consentante et était consciente de ce qu’elle faisait. Voilà, le monde dans lequel on vit, en 2040, soupira Samuel en secouant sa tête.
‒ Vivement que le Seigneur revienne, L’abomination est à son comble, regretta le soixantenaire en secouant légèrement sa tête d’un air désolé, les yeux rivés sur le quotidien.
‒ C’est certain. Voilà à quoi ont servi en réalité ces fameux cours « d’éducation sexuelle », adoubés par tous les gouvernements pédosatanistes lucifériens, du monde. Pour banaliser et normaliser la pédophilie.
‒ Oui. Ces cours « d’éducation sexuelle » n’ont été et ne sont que des cheval de Troie ; dont le but a été et est à terme, d’institutionnaliser et de dépénaliser conjointement ses crimes, révéla William qui replia de nouveau le journal ; pour le redéposer sur la table. Comme nous pouvons le voir dans cet article. Ces gens-là n’ont que pour seul but d’instaurer l’Eden de satan et d’inverser toute valeur, à l’image de Sodome et Gomorrhe.
‒ Oui. Ils veulent normaliser la pédophilie. Accoutumer l’enfant à des crimes pédophiles. Pff…Ces gens-là n’ont pas d’âme. Ils s’imposent aucune limite, aucun frein dans leurs perversions. Ce sont des dégénérés mentaux. Faudrait même les emprisonner.
‒ Ne dis pas ça, Samuel. Ce n’est pas chrétien que de dire ce cela.
‒ pourquoi, pasteur ?
‒ Parce qu’ils ont besoin de la miséricorde du Seigneur. Ce sont des pêcheurs comme
Tous. Il faut prier pour eux.
‒ Je ne suis pas d’accord.
‒ Pourquoi cela ?
‒ Parce ce que vous savez très bien, qu’il y a sur terre des pêcheurs que Jésus-Christ est venu sauver et qu’il y a…des démons reptiliens ! Le blé et l’ivraie, comme l’a dit le Seigneur… A quoi cela sert-il de prier pour des démons ? Certains sont nés pour être damnés. D’autres le sont pour être sauvés. Le Seigneur n’a-t-il pas dit que Son Sang a été versé « pour plusieurs » et non « pour tous » ? (Ref : Matthieu 26.28). Un pédophile peut se repentir, mais un démon ne le fera jamais. Certains aspirent au paradis, tandis que d’autres aspirent à l’enfer. Comme si cela, sera une partie de plaisir pour eux. Quelle folie !
‒ C’est vrai, hélas, rétorqua William. Mais le Seigneur nous a appris à pardonner malgré tout.
‒ Certes, mais pardonnerez-vous à celui qui aura violé et tué votre propre enfant ?
A cette question, le pasteur William baissa la tête en se mordant les lèvres, tout en restant silencieux.
‒ Bien que le Seigneur nous l’exhorte, je pense que Dieu peut tout pardonner, mais pas l’homme, reprit Samuel. Vous vous souvenez de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, il y a 16 ans de cela ?
‒ Oui je m’en souviens. C’était une cérémonie diabolique. Avec tous ces drag-queens. C’était Horrible !
‒ Que faisait une petite fille, une gamine, au beau milieu de tous ces êtres ouvertement sexués et dépravés ? Questionna Samuel d’un air scandalisé. Quel était le rapport de toute cette euh…propagande idéologique perverse…avec le sport ?
‒ Oui. C’est étrange que le président Macron ait pu valider un tel spectacle aussi tendancieux et ouvertement satanique.
‒ On reconnaît un arbre à son fruit, a dit le Seigneur.
‒ En effet, oui. Amen ! D’ailleurs, je me souviens même, qu’à un moment donné un homme s’était approché de la gamine, et la regardait tout en lui faisant de la main, un geste d’égorgement. Comme s’il révélait ou faisait l’apologie, en filigrane, du sacrifice d’enfant. Chose que les satanistes aiment s’adonner, dans leurs lieux secrets.
‒ Ah, vous voyez pasteur ?! Oui, je m’en souviens aussi. Cela m’avait interpellé et scandalisé. Comment Emmanuel Macron a-t-il pu valider un tel spectacle, ouvertement satanique, blasphématoire (avec la représentation de la sainte Cène) et sournoisement pédophile et infanticide ?
‒ Je crains hélas, que la réponse soit déjà dans la question (Samuel soupira en secouant sa tête). Cela d’ailleurs me rappelle un verset de la bible.
‒ Lequel ?
-Celui de l’évangile de Marc, chapitre 9, au verset 42, qui met en garde tous ceux qui scandaliseraient un enfant : « Mais, si quelqu'un scandalisait un de ces petits qui croient, il vaudrait mieux pour lui qu'on lui mît au cou une grosse meule de moulin, et qu'on le jetât dans la mer. »
‒ Amen, pasteur ! Amen, fit Samuel en acquiesçant de la tête.
‒ Ce verset a été et est destiné, à tous les pédophiles satanistes, qui gangrèneraient ce monde.
Au même moment, sur le trottoir d’en face, à quelques mètres sur la gauche, un septuagénaire tout sourire, sortit d’un sex-shop, accompagné d’une petite fille de 6 ans qu’il tenait par la main. Quant à cette dernière, la tristesse sembla se dégager de son visage poupin ; contrastant avec celui du vieil homme prédateur. Contre toute attente, William et Samuel le remarquèrent.
‒ Voilà à quoi ont servi ces fameux cours d’éducation sexuelle, tant prôné par les gouvernements mondiaux, regretta ce dernier, tout en mordillant nerveusement ses lèvres. Voila le genre de société dans laquelle on veut nous habituer.
‒ Ne t’en fais pas, Samuel. Il y a un temps pour tout. La Parole du Seigneur à leurs égard, dans l’Evangile de Marc, chapitre 9, au verset 42, s’accomplira bientôt très certainement.
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Quelques heures plus tard, dans une banlieue parisienne. Un bus s'arrêta à une de ses stations coutumières. Michael, le jeune garçon noir aux cheveux afros, et Katia sa camarade de classe, la jeune fille blonde aux yeux bleus, y descendirent et marchèrent le long du trottoir.
‒ C'était cool le cours d'aujourd'hui, sur le plug anal, les godemichets et sur la fellation (il rigole nerveusement), lança le jeune homme.
Katia se mit à rire.
‒ Oui. J'ai bien aimé, retorqua cette dernière d’un air amusé. Je ne savais pas qu'on pouvait faire tout ça, à 7 ans. En plus, la maîtresse nous l'a bien expliqué, en nous le montrant sur le zizi de ton pote Justin.
Michael se mit à rire également.
‒ Ah oui, c'était trop drôle (il rigola encore). Justin semblait être...comment dire... ailleurs ! Sérieux, ces cours sur la sexualité sont vraiment supers. Purée, j'ai trop hâte d'être à demain. Apparemment, il y aura un représentant du mouvement LGBT, qui viendra nous montrer ce qu'est la..."DP"...ou quelque chose dans le genre.
‒ Moi aussi j'ai hâte (elle rigola). Madame Borotti nous a dit que ça ressemblera un peu au cours d'aujourd'hui.
‒ Ça risque d'être aussi génial que la fellation, tu ne crois pas ? Demanda Michael d’un air enthousiaste.
‒ Je ne sais pas ce que c'est mais oui, sûrement (elle rigola en mettant la main devant sa bouche).
Quelques minutes plus tard, les deux gamins arrivèrent à une intersection. William, le pasteur évangéliste et coreligionnaire de Samuel, était situé à proximité, et tenait dans sa main une pancarte qui mentionnait "Jésus revient bientôt". Michael et Katia ne semblaient n'y prêter aucune attention.
‒ Repentez-vous ! Repentez-vous ! fit William à la cantonade.
‒ Bon. A demain Katia (il lui fit une grimace, par rapport aux prêchi-prêcha du pasteur, puis l'embrassa sur la bouche et partit du côté droit). Y'a trop de fous dans cette rue !
‒ Oui, c'est clair, rétorqua Katia en rigolant. A demain (elle partit du côté gauche).
Quelques secondes plus tard, un couple de sataniste trentenaire, Kim et Peter, vêtu de noir des pieds à la tête, et portant respectivement au cou une croix renversée, passèrent à coté de William et le dévisagèrent avec dédain.
‒ Tout est comme aux temps de Sodome et Gomorrhe. Repentez-vous, jeunes gens aux mœurs dépravés. L'heure du jugement est proche, et nul ne pourra y échapper, martela William, toujours à la cantonade.
‒ Alors, repens-toi, toi aussi mon vieux (il se mit à rire, tout comme sa copine, en continuant d'avancer).
‒ Que le Seigneur ait pitié de vous, murmura le pasteur en soupirant, tout en secouant sa tête).
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Le lendemain, Katia fut dans le salon assise sur le canapé, devant sa télé hi-tech de la marque « Chikumbutso » (écrit en bas de l’écran, au milieu), qui flottait toute seule dans l’air ; et qui s’alimentait sans fil, sans électricité. Elle regarda un vieil épisode de la série de dessin animé « South Park », et se mit à rire à maintes reprises. Quelques secondes plus tard, son père Henri, un quarantenaire blanc barbu, l'appelle de la cuisine : "Ma puce, à table ! Éteins la télé et viens manger ».
‒ Oui, j'arrive papa, répondit-elle en soupirant.
Katia se leva et claqua des doigts pour éteindre la télé, et partit rejoindre son père Henri dans la cuisine.
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Quelques secondes plus tard, Katia fut attablée avec Henri, son père quarantenaire. Ce dernier portait un tee-shirt noir. Soucieux du bonheur de sa progéniture, Henri l’interrogea sur ses ambitions et autres perspectives d’avenir.
‒ Alors ma chérie, qu’est-ce que tu voudras faire quand tu seras grande, ma puce ?
Katia se mit à réfléchir.
‒ Je ne sais pas encore, papa. A l’école aujourd’hui, la maîtresse et un invité du mouvement LGBT nous ont appris pas mal de choses ; et nous ont parlé de pas mal de métier qu’on pourrait faire. Il y en a un que j’ai trouvé intéressant.
‒ Ah oui ? Lesquels chérie ? questionna Henri.
‒ La maîtresse nous a parlé entre autres, d’être une strip-teaseuse sur la plateforme « MYM ».
A ces mots, Henri fut choqué d’entendre ce genre de propos.
‒ Quoi ? Mais comment a-t-elle osé de te parler de ça ?
‒ Pourquoi, ce n’est pas bien ? Demanda la petite fille, d’un air gêné.
‒ Non…Ils auraient tout de même pu te conseiller la plateforme « ONLYFANS » plutôt que celle de « MYM ». Elle est beaucoup plus populaire et tu pourras te faire plus d’argent avec eux. Je suis choqué qu’elle ne t’ait parlé que de la plateforme MYM. Enfin bon…
‒ Ce n’est pas grave papa. Peut-être qu’elle a oublié. Et sinon, serais-tu fière si je faisais ce métier un jour ?
‒ Oh, bien sur ma puce. Si cela te rend heureuse, alors je le serai aussi. Je t’encouragerai même à le faire.
‒ Oh merci papa. Sinon la maîtresse m’a aussi parlé d’un autre métier.
‒ Lequel ma chérie ?
‒ Celui d’être une actrice porno, pour jouer dans des films ou les gens sont toujours tout nu. Elle nous a même montré comment on fait une fellation, avec un camarade de classe aujourd'hui. Serais-tu fière si un jour j’en deviens une, papa ?
A ces mots, Henri lui lança un regard attendrissant.
‒ Oh, ma chérie. Mais pourquoi pas. C’est aussi un métier qui rapporte beaucoup d’argent et qui est très valorisant. En plus, tu pourras même devenir une réalisatrice un jour si tu veux. Et ta maman, qui n’est hélas plus de ce monde, sera vraiment fière de voir sa fille à la télé, de tout en bas. Tu seras peut-être une star, ma fille.
‒ Peut-être, qui sait.
‒ Vraiment, ton institutrice vous a donné de bons conseils aujourd’hui. C’est dommage qu’il y en ait peu comme elle.
‒ Oui en plus elle très gentille. Elle nous a aussi parlé du transgenrisme, de la zoophilie, et des "DP" avec son invité LGBT.
‒ Wow, purée mais je ne pensais pas que ta maîtresse était aussi ouverte d’esprit que ça !
‒ Ah, Je pensais que ça allait t’énerver, papa.
‒ Pas du tout, ma chérie. Pourquoi donc ? Ça fait partie de la vie. Qu’est-ce qu’elle vous a dit ?
‒ Eh ben, qu’on devrait essayer les "DP" le plus tôt possible et que changer de sexe était une opportunité et que ça changeait des vies (Henri est tout sourire). Et qu’elle le conseillerait à tous ceux, qui veulent changer le corps que Dieu leur a donné à la naissance (Henri s'agace soudainement).
‒ Ah, laisse Dieu là où il est, s’il te plaît. Il ne fait que des erreurs Celui-là, fit Henri l’air agacé. Par contre, notre dieu satan, non.
‒ C’est qui satan ?
‒ Euh…ce n’est rien…laisse tomber (Henri fut gêné). Et sinon, toi tu voudrais changer de sexe ou coucher avec un animal plus tard (Henri souriait de nouveau) ?
Katia tête baissée, sembla réfléchir.
‒ Devenir un garçon, pourquoi pas. Mais… coucher avec un animal, je ne sais pas. Ça ne te dérangerait pas toi, que je fasse toutes ces choses ?
‒ Oh, ma fille. Tu sais que je t’aime. Bien sûr que non. Je ne suis pas là pour te juger. Tu peux faire tout ce qui se passe dans ta tête, ma puce. Moi ce que je veux, c’est ton bonheur mon Bébé. Tu pourrais faire toutes ces belles choses, même une "DP", que je t’aimerai toujours autant. Qui suis-je pour juger ?
‒ Oh merci, papa. Pourtant il y a des gens qui n’aiment pas ce genre de choses. Pourquoi ?
‒ Parce qu’ils sont ignorants et intolérants. Ne les écoute jamais. Ces gens-là, sont des anges qui pourraient te mener au paradis, rétorqua Henri l’air agacé. Ne fais jamais attention à ce qu’ils te diront. Pour eux, il n’y a que deux genres qui comptent : l’homme et la femme. Ce qui est faux. L’homme peut autant devenir une femme ; qu’une femme peut autant devenir un homme, voire même plus. Il n’y a pas de règles ni de limites. Donc, n’écoutes jamais ces anges du paradis. Okay, ma puce ?
‒ Bon...Okay, papa.
Contre toute attente, la jeune fille se mit à rire.
‒ Pourquoi tu ris ? Demanda Henri, intrigué.
‒ Parce qu’il y a un peu de sauce sur ta barbe, papa.
‒ Oups ! Ou ça ? Sur le côté droit ou gauche ?
Katia rigola .
‒ Sur ce côté-là (elle lui montra du doigt).
A ces mots, Henri prit la serviette posée sur la table et s’essuya du côté indiqué.
‒ C’est bon là ? C’est parti, ma puce ?
‒ Oui, papa.
‒ Bon allez. Dépêche toi de terminer ton assiette. On ira regarder un film, avant que tu ailles te coucher.
‒ Lequel papa ? Le même que celui d’hier soir ?
‒ Non. Hier on était sur "PORNHUB". Ce soir ce sera plutôt une soirée « YOUPORN ».
‒ Ah, génial, répondit Katia d’un air enthousiaste.
Cette dernière s'empressa de terminer son plat.
‒ Comme ça, ça pourra peut-être t’inspirer une vocation pour plus tard, ma puce (Il lui fit un clin d’œil).
‒ Merci, papa. Je t’aime. Je suis fière de t’avoir comme papa.
‒ Moi aussi, ma puce. Je t’aime. Allez, termine ton plat, il y a un film qui nous attend, après le dessert.
Henri se leva et se dirigea vers le frigidaire, pour saisir un gâteau aux fraises, déjà consommé de moitié. Contre toute attente, on pouvait voir une poitrine opulente de femme, se dessiner sous son tee-shirt moulant noir ; ainsi que des talons aiguilles et une jupe plissée noire également, qui lui tombait jusqu'aux genoux.
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Narration : "Si tout cela vous a paru fou, alors... Réveillez-vous !"
FIN
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