

The Name of the Case ? Not Trump's one
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The Name of the Case ? Not Trump's one
J'emprunte cette image, promotionnelle (puisqu'il s'agit de la couverture d'un livre qui vient de paraître), à la maison d'édition (via sa 'Newsletter') Scribes. parce qu'elle illustre une AFFAIRE DE CORRUPTION, affaire structurelle (quasi administrative ou d'administration), qui risque d'éclabousser aussi bien un Biden - reconduisant les ouailles à la messe covidienne - que de condamner à la prison un Trump; ce pseudo-meneur (mean leader, mere puppet) n'est même plus suivi par quiconque : c'est fait de S. Bannon (en voie d'inculpation) qui a à l'esprit qu'il ne faut plus jouer ni tenter de se soustraire (ce serait pire) à la Justice ; c'est fait de W. Barr qui va jusqu'à déclarer que le démarchage (appelons-le ainsi) de la Juge Aileen Cannon est vain et que ce dette dernière est plus que juste côté compétence[s] (ce qu'un ancien Procureur de Virginie, J. Fishwick - MSNBC, "AlexWagner", 10-09-2022 -, appuie quand il mentionne rapidement les deux personnes désignées pour réviser ou revoir ...réinventorier... les documents ou dossiers saisis sur ordre de cette Juge...).
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Trump, nous savons ce qu'il est. Mais on peut dire que tout, mais alors que tout est fait pour PERSONNALISER une affaire, exacerber un narcissisme, titiller la Bête, pour DIABOLISER (verbe qu'employait un Ex Chef de parti français d'Extrême-Droite, Ancien Front National) le coco. Citons juste (source : MeidasTouch, 10-09-2022), pour rappel, que le Département de Justice (américain : DOJ) ne fait pas que le viser lui; par exemple, il a épinglé (dans son agenda chargé, et depuis longtemps) deux anciens haut conseillers de Trump pour fraude électorale. Mais revenons à l'affaire en cours, ou plutôt le sujet du jour (très long), l'objet brûlant d'actualité : le DOJ (notamment le FBI) est quasiment sommé d'arrêter ses investigations (en règle) criminelles concernant les dossiers trouvés à Mar-a-Lago, quasi sommé car cela ressemble un peu à un monde inversé (encore ! ), s'apparente à une énième tactique d'inversion et de diversion pour OCCULTER, déplacer le (bon) FOCUS qui donnerait une vue perçante, en profondeur, approfondie d'une réalité 'politique' américaine. On a eu le Black de service (le Juge Clarence), on a la Woman de rigueur (la Juge Cannon); et là, dans ce dernier cas, cela donne à peu près n'importe quoi ; s'il y a une prochaine fois, ce sera un Juif de service (quoique !) ou plutôt un Gay de mise.... Il n'y a pas de plus politically correct, pas de plus conformiste (tape-à-l'oeil, bling-bling et on n'est pas chez les rappeurs mais face à un Président - tout le monde regarde cet abruti - qui va se faire lui aussi inculper et ce ne sera que justice...), pas de plus bas, pas de plus superficiel dans le genre pas-de-vague (et après moi - nous - le Déluge) que ce qui se passe en ce moment avec un SCANDALE (LA vague, ni Seconde ni ...) qu'ils sont bien en train de préparer à éclater (les retirés de la scène, les marionnetistes, les en coulisse) tel un TSUNAMI à venir. C'est l'émission "The Last Word" (MSNBC, 8-09-2022) qui, avec ses formules ciselées, le montre ; tant de bêtise, d'indignité démocratique, de moquerie de tout le monde entier (ils se foutent de la gueule du monde) : Lawrenc
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AMERICA and TRUMP
de
Cecile Voisset
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