

The End of A World : revelations, not Revelation.
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The End of A World : revelations, not Revelation.
On pourrait encore rappeler, après Guy Debord, les méfaits de ce qu’il appelait LA SOCIÉTÉ DU SPECTACLE (culte du secret, dissimulation, propagande, folie organisée par la multiplication du nombre de fous et, en ce sens, la perte de repères sur ce qui est sensé-vraisemblable-plausible-réaliste etc.), inversion du réel, domination de l'avoir sur l'être, impostures, dogmatisme, intimidation selon un culte de la visibilité, médiatisation à outrance avec des mass médias qui continuent leur cirque et en particulier télévisuel, etc.).
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La GUERRE faite aux non-vaccinés contre le covid (pseudo-maladie grave, ce sont les vaccins qui tuent - avec le fameux ARN - et non le corona virus) par DES gouvernants - les plus corrompus c'est-à-dire les plus politiquement en danger mine de rien (avant que ça explose car cela explosera puisqu'ils ne font rien pour désarmorcer ou calmer le jeu) - montre que le stade de la polémique n’a pas marché et qu’ils sont eux-mêmes contraints de contraindre par falsifications en tous genres jusqu'à la grossièreté de=u vocabulaire ("emmerder" les non-vaccinés, c'est-à-dire les apostats ?). Le SCANDALE DU COVID a pour ENJEU(X) des questions d'échiquiers politiques ou de POUVOIR(s) et il n'éclate pas encore parce que ces JEUX de POUVOIR fonctionnent pour l'instant, même si, ou alors que, ces jeux sont de plus en plus serrés (comme l'étranglement d'un goulot : qu'avaler ? Jusqu'où ? Et que faire avaler ?). Le pouvoir avec ses alliances, ses protégés, ses ressentis etc.
Dans ce contexte géo-politique, le rôle des LANCEURS D’ALERTE n’a jamais été aussi important, quelles que soient les formes que prennent ces engagés pour la démocratie (particuliers, professionnels ou non, enquêteurs ou journalistes [très minimes] d'investigation ...) c’est-à-dire pour le droit, la loi (bafoués à un degré tel que cela ne peut plus passer inaperçu). C'est pourquoi le cas même de Julian Assange (dont le traitement est inouï, il n'est même pas un criminel de guerre!) se pose comme le cas extrême d'injustice ou de crise politique dans un monde qui ne peut plus aller comme il va. C'est toute la représentation collective et individuelle qui foire.
Si le Covid - le subterfuge covid19, ou l'alibi - a été décrété, c'est bien - nous en faisons l'expérience, surtout nous les non-vaccinés (et je salue "Le Courrier des Straèges" sur ce
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COVID19 SCANDAL
de
Cecile Voisset
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