Félicitations ! Ton soutien à bien été envoyé à l’auteur
On n'a rien sans rien

On n'a rien sans rien

Publié le 11 févr. 2020 Mis à jour le 11 févr. 2020 Culture
time 3 min
1
J'adore
0
Solidaire
0
Waouh
thumb 0 commentaire
lecture 186 lectures
1
réaction

Sur Panodyssey, tu peux lire 30 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 28 articles à découvrir ce mois-ci.

Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit ! Se connecter

On n'a rien sans rien

Je ne sais pas vous, mais moi je ne crois pas aux formules magiques. Pas parce qu’elles n’existent pas, mais parce qu’elles n’ont tout simplement rien de magiques.

Mon action est mon seul bien, mon action est mon héritage, mon action est la matrice qui me fait naître, mon action est ma race, mon action est mon refuge.

Je suis en train de  penser à un sens à ma vie, et je regarde à droite et à gauche ce qui ce fait comme cours et présentation.

Rien n’est magique dans le monde. « Tout ce qui est réel est rationnel » comme a pu le dire Hegel. Et ce n’est pas parce que le monde est rationnel qu’il doit perdre de sa beauté et de sa puissance. C’est d’ailleurs le fait que l’univers soit régi par des principes que cela donne une structuration, une profondeur, une texturisation au monde.

C’est une folie de haïr toutes les roses parce que une épine vous a piqué, d’abandonner tous les rêves parce que l’un d’entre eux ne s’est pas réalisé, de renoncer à toutes les tentatives parce qu’on a échoué… C ‘est une folie de condamner toutes les amitiés parce qu’une d’elles vous a trahi, de ne croire plus en l’amour juste parce qu’un d’entre eux a été infidèle, de jeter toutes les chances d’être heureux juste parce que quelque chose n’est pas allé dans la bonne direction. Il y aura toujours une autre occasion, un autre ami, un autre amour, une force nouvelle. Pour chaque fin il y a toujours un nouveau départ."Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité.

La personnalité que vous aimeriez être..

  • Oser exprimer ses attentes à l’autre
  • Prendre conscience que l’attente me procure des bénéfices inconscients : je préfère attendre que l’autre se manifeste plutôt que de prendre le risque de perdre la face si jamais il ne répondait pas à mes attentes
  • S’interroger : est-ce que je suis prêt(e) à perdre les bénéfices que me procurent l’attente ? Est-ce que je suis prêt(e) à perdre la face ?

    Vous ne donnez que peu lorsque vous donnez de vos biens. C'est lorsque vous donnez de vous-même que vous donnez réellement.

    • Votre ami est la réponse à vos désirs. À quoi bon si vous le chercher afin de tuer le temps? Cherchez-le toujours pour les heures suivants. Car il lui appartient de combler votre besoin, mais non votre vide.
    • Il revient à l'homme d'habiller la femme qu'il déshabille et de parfumer celle qu'il enlace. Comme il lui revient de défendre au péril de sa vie le pas fragile qui s'est attaché au sien, les médias reflètent ce que disent les gens, les gens reflètent ce que disent les médias. Ne va-t-on jamais se lasser de cet abrutissant jeu de miroirs? 
    • Quand on me dit qu'une personne est arrivée, je suis tentée de demander où, et par quels moyens, et dans quel but! Seuls se félicitent ceux qui se savent incapables d'aller plus loin, la vie est courte pour celui qui la compte en années, et longue pour celui qui la compte en secondes, si vous me demandez ce que je viens faire en ce monde, moi artiste, je vous répondrai: je viens vivre tout haut
    • On ,ous reproche violemment d'être immoraux, parce que nous mettons en scène des coquins et des gens honnêtes sans les juger, pas plus les uns que les autres, le plus bel hommage que nous puissions rendre à un auteur n'est pas de rester attachés à la lecture de ses pages, mais plutôt de cesser inconsciemment de lire, de reposer le livre, de le méditer et de voir au-delà de ses intentions avec des yeux neufs.
    • Aucune race ne peut prospérer si elle n'apprend qu'il y a autant de dignité à cultiver son champ qu'à composer Nul n'a le droit, en vérité, de me blâmer, de me juger, c'est bien la nature qui est seule responsable
      Si je suis un homo, comme ils disent, même lorsque l'on croit que l'on n'attend plus rien nous attendons toujours?  Il faut savoir, coûte que coûte garder toute sa dignité et, malgré ce qu'il nous en coûte.
      S'en aller sans se retourner face au destin qui nous désarme.
lecture 186 lectures
thumb 0 commentaire
1
réaction

Commentaire (0)

Tu aimes les publications Panodyssey ?
Soutiens leurs auteurs indépendants !

Prolonger le voyage dans l'univers Culture
Hébreu
Hébreu

Un mot d'un dictionnaire, ma définition, votre sourire, ma joie.

Bernard Ducosson
1 min
La Légende d'Azénor
La Légende d'Azénor

  La légende d'Azénor - Journal d'Eléonore par Juliette Norel  

Jean-Christophe Mojard
4 min

donate Tu peux soutenir les auteurs qui te tiennent à coeur

promo

Télécharge l'application mobile Panodyssey