

10/10 J’ai écrit un roman avec l’IA : CONCLUSION
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10/10 J’ai écrit un roman avec l’IA : CONCLUSION
Quand j’ai commencé cette série d’articles, j’ai failli l’appeler « J’ai écrit un romerde avec l’IA ». Ça vous donne une petite idée de ma conclusion : c’est de la bouse ! (je vous laisse juger avec le manuscrit en lien à la fin de cet article).
Et je pourrais m’en tenir là, jubiler un peu et dire :
Ha ! Ha ! Ha ! L’IA n’a qu’à bien se tenir ! Rien ne remplacera jamais l’art, le talent et les tripes d’un romancier !
Sauf que…
Les photographes se disaient la même chose il y a 10 ans, les illustrateurs se disaient la même chose il y a 5 ans, les peintres se disaient la même chose il y a 3 ans, les musiciens se disaient la même chose il y a deux ans, les golden boys de Wallstreet se disaient la même chose l’an dernier, les vidéastes se disent la


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Daniel Muriot il y a 2 mois
J'avoue, j'ai sauté directement de l'introduction à la conclusion, histoire de gagner du temps et de ne pas perdre mon intérêt en cours de route.
L'analyse est très intéressante. Et finalement, travailler ou non avec l'IA va être d'abord une question de choix et de volonté. Je pense que le choix d'écarter l'IA du processus peut s'avérer vraiment payant et qu'il y aura toujours moyen pour de tirer son épingle du jeu. Surtout quand on a ce petit brin de folie qui va surprendre les lecteur là où il croit être dans sa zone de confort.
Franck Labat il y a 2 mois
Le risque étant qu'une production majoritairement dominée par du contenu IA enferme tellement les lecteurs et lisse les attentes, que la surprise risque de tourner en dégout, parce que demandant un trop grand effort d'investissement...