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Croyance en conscience
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Croyance en conscience
La conscience, l’information, l’énergie, le cœur. Tout est lié et tout nous relie.
Bien que ce ne soit que des mots et des concepts d’humain, tout ceci est bien plus. L’humain n’est pas à l’origine de ces mécanismes, il en est une création. Nous sommes une expression particulière du cosmos modélisant sa science à tous les niveaux. Le cœur, l’énergie, l’information et la conscience font partie de ses fondamentaux, et le caractère essentiel en est la nature vibratoire.
Le cœur est au centre de chaque chose qui est. C’est l’âme de chaque élément d’où tout émerge. D’abord, tout apparait sous forme d’énergie et d’information. Ensuite, quasi immédiatement, une relation s’installe avec le milieu, et la conscience en est l’interface.
A ce stade, nous pouvons déjà accepter ces mots ou les contester. Nous pouvons aussi parler de vie ou ne pas le vouloir encore. Cependant, ce principe de base est systématique. Il est la première manifestation de tout ce qui est, et la suite n’est que variations de ce principe. Ceci s’applique de manière fractale à tous niveaux, du visible à l’invisible. Toute forme d’expression et de perception en est issue, y compris l’espace-temps. Chaque chose s’adapte sur ce principe, en fonction de son environnement et de sa richesse informationnelle déterminant son individualité et son identité. Plus cette richesse informationnelle est grande, plus on peut parler d’un organisme complexe et capable de mettre en place des modèles adaptatifs larges et efficaces. Mais toujours sur le même principe de base. Un organisme complexe est édifié autour d’un cœur commun, et chaque élément le composant est constitué sur le même schéma avec son petit cœur. Plus l’organisme est important, plus il peut présenter diverses configurations en réorganisant des groupes internes. Il créé ainsi des ensembles logiques avec des cœurs intermédiaires. Toujours autour du cœur principal en commun, sur le même principe décliné en autant de combinaisons que les éléments informationnels le permettent. Qu’il s’agisse d’un ensemble complexe ou d’un simple élément, chaque chose est vouée à évoluer vers un organisme toujours plus important, en reliant et intégrant de nouveaux composants. Tous ces liens, toutes ces alliances, se font dans le but de trouver le meilleur équilibre. C’est le réflexe du cosmos de toujours vouloir canaliser et contenir au mieux ce mouvement se perpétuant par lui-même vers une danse toujours plus enjouée et quelques fois un brin tapageuse. Ce mouvement, c’est la vie. Alors, rien ne s’arrête jamais et rien n’est jamais vraiment stabilisé, si bien qu’un organisme n’est pas éternel. Aussi évolué, important et complexe qu’il soit, tout ensemble trouve les limites de son développement. N’étant plus en capacité de se réorganiser en interne vers une forme plus stable, il peut avoir besoin de se désagréger et disparaitre au profit de nouveaux sous-ensembles voués à offrir de nouvelles opportunités d’évolution. Tout cela s’exprime du plus grand au plus petit, pour tout ce qui est. Nous en faisons partie. De notre point de vue, notre être est un ensemble complexe, mais nous pouvons aussi penser qu’il lui reste bien des possibilités de grandir encore. Chemin faisant, il convient de ne pas se précipiter, de s’orienter doucement vers une évolution collective et durable, plutôt que de se presser dans une étroite bulle personnelle vouée à exploser rapidement. Nous sommes généralement convaincus qu’il existe bien plus petit que nous en termes d’évolution avancée et d’intelligence. Il nous est moins évident d’envisager que nous soyons ce bien plus petit aux yeux d’un bien plus grand au sein duquel nous grandissons. Pourtant, tout est possible en déployant ce principe de base d’où tout émerge de façon fractale. Cœur, énergie, information et conscience. Il faut bien accepter que nous bâtissons nous-même notre propre réalité de l’être, au centre d’un ensemble de plus petits et de plus grands. Nous sommes incapables de nous positionner autrement qu’au centre de notre environnement. Plus nous mettons à jour du plus petit, plus il nous faut contrebalancer en dévoilant du plus grand, et vice versa. Néanmoins, il est commun de reconnaitre une vie inférieure plus petite, mais pas bien acceptable de reconnaitre une vie supérieure plus grande. Tout au centre, sauf ce que nous appelons l’intelligence. Pour cause, sans parler de savoir, de culture ou d’éducation, vous aurez bien du mal à trouver quelqu’un qui ne se pense pas plus intelligent que son voisin. En toute sincérité, chacun se sent profondément et naturellement être ce qu’il y a de plus intelligent. Certains le font savoir plus fort que d’autres. Pour moi, ceci est une évidence qu’il convient d’accepter, car le mécanisme conscient est ainsi fait. Le processus conscient est organisé en rapport à un environnement, de façon à nous offrir des opportunités nouvelles que nous soyons en mesure d’absorber. C’est ainsi que nous grandissons notre vibration tout en évitant de se faire avaler par plus grand et en conservant notre individualité, du moins en conscience. C’est en intégrant des vibrations en résonance avec la nôtre, mais de préférence moins puissantes. Nous grossissons en mangeant plus petit. Du point de vue conscient, il est tout naturel de se penser au sommet. Le système implique que chaque organisme se vive dans un paradigme conscient ne voyant totalement que ce qui lui est inférieur. Ce qui lui est supérieur est perçu de façon très limitée et partielle, voire pas du tout.
Toutefois, il n’est pas contre nature d’accepter un cadre en sachant son utilité et sa nécessité, mais aussi ses limites et sa participation à un système toujours décliné sur le même principe de base. Nous pouvons sereinement penser à un plus grand et plus intelligent, tout en comprenant l’intérêt de ne pas y accéder pleinement. Rien de nouveau, depuis toujours nous sentons cette nécessité de nous tourner vers un super créateur supérieur. Certains éludent la question en posant Dieu. Beaucoup de noms sont donnés à Dieu, qu’il soit seul ou multiple. Quelquefois, il est dit ineffable. Il est invisible mais se prête au jeu des apparitions, il fait des miracles, il envoie des émissaires à qui il transmet ses pouvoirs, il est beau et intelligent, il a un ennemi qui est laid et con, etc. Un extraterrestre en somme. Il est vrai que le portrait concorde assez bien. Dans tous les cas, le personnage ou le concept est dignement enrobé d’histoires défiant toute concurrence. Cela peut être une manière de reconnaitre plus grand que soi. Mais il semble que ce soit trop souvent une occasion d’échapper à la responsabilité du créateur.
Et si ce qu’il y a au-dessus de nous est simplement un plus grand à l’identique. Qu’il soit juste ce que nous sommes amenés à devenir demain. Que son monde et ses pouvoirs soient les nôtres en plus grand, qu’ils soient bâtis sur ce que nous développons aujourd’hui. Nous sommes alors créateurs au même titre que Dieu. Notre sagesse et notre idiotie sont les siennes aussi. Nous pourrions être considérés comme des enfants. Nous pourrions nous-mêmes observer nos enfants dont la sagesse n’a rien à envier à leurs parents, et cela depuis bien longtemps à mon sens. Se trouver au centre ne dispense pas de reconnaitre son pouvoir créateur et d’en prendre toute la responsabilité. Chacun, chaque chose est au centre, et cela doit être compris comme la plus grande reconnaissance et responsabilité de soi, spécialement quant à son pouvoir créateur pour soi et vers l’autre. Dieu est au centre et il porte le nom de chacun.
Le cœur, l’énergie, l’information, la conscience, principe de création de l’humain créateur. Oui, Dieu existe et il est dans le cœur. Il nait de la substance primordiale. Cette substance à l’origine de tout ce qui est. Cette substance n’existant plus que par les réalités qu’elle forme dès lors qu’elle s’est mise en mouvement. Je l’appelle éther, et Dieu est le pouvoir créateur né de l’éther en mouvement. A ce moment où l’éther est en mouvement, c’est un cœur, c’est l’énergie, l’information, la conscience.
Voilà ce sur quoi ma croyance s’établit. Tout n’est que fait et constat de réalité en conscience. Mais pour accepter cette histoire, il faut croire en une chose. Croire en l’éther. S’il est une chose sur laquelle je dois m’en remettre à Dieu par manque de lumière, c’est l’éther. L’éther, substance de cet instant irréel d’où jailli cette même lumière. Croyance, évidence, simple ressenti ou profonde vérité de mon être, c’est en conscience que je m’exprime depuis cet inaccessible éther.
© Basty - Croyance en conscience - Extrait des livres ‘être conscient’ et ‘cœur de conscience’ - 2023, 2024 - www.etreconscient.com
(image d’illustration générée par IA sous WordPress)
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