🍓 J’lappellerais ici Sarah : à n’en point douter, c’est mon deuxième combat. 🍓

Pas d'placement abusif : violences conjugales, institutions, ESPT et cetera,

J’vous raconte comment tout a commencé, et pourquoi je me bats.

Vive, réactive et curieuse, je garde l’image d’une Sarah rieuse.

Tentative d’homicide familial, mise à l’abri, mauvais professionnels.

J’alertais sur ses troubles : vient une incompétente, PMI dangereuse.

Cette femme dort bien, malgré ses erreurs : c’est bien la seule victorieuse.

ESPT, droit, placements, psychologie, dissociation, la PMI ne connaît pas,

Elle flatte son égo, auprès d’une snob inculte qu'on nommera Hassana,

Auxiliaire de puériculture au chômage, qui surveille de près Sarah.

Pensez-vous, une mère seule, une petite fille capricieuse : le festin des rois.

Elle signale sans relâche, les cris, les caprices de ma fille,

Elle a 3 enfants et un mari : du haut de sa grandeur, elle a tout compris.

Je demande l’expertise d’un médecin légiste pour prouver ma bonne foi.

Refus catégorique : Madame, "reposez-vous, ce n’est pas la loi".

Burn out parental, parent battu, enfant qui frappe, qui crache,

Validée par les incompétents, Sarah devient toujours plus trash.

Je me bats 4 ans, retour en placement à domicile.

Erreur, mon appart est devenu un asile.

3 semaines de retour, replacement, fin de partie : c’est à votre tour.

6 ans, 5 familles d’accueil et deux foyers après, vous constatez.

Vous admettez, mais bien trop tard : Sarah passe un test de personnalité.

Zéro empathie, violence, impulsivité, vols : vous t'nez plus l’même discours.

Pour Sarah, c’est perdu. Taper, cracher, mentir, on lui a dit qu'elle pouvait.

Comment pourra-t-elle, un jour, être une maman, une adulte équilibrée ?

Merci à ces incompétentes, force à ce système qui disait nous protéger.

Merci à ceux qui croient connaître les enfants : vous vous êtes bien plantés !

Professionnels toxiques qui jouaient sur ma peur pour mes enfants,

Aujourd’hui, j’ai tout perdu, tout est différent.

Quand on n'a rien et qu’on n'attend rien, on revoit ses priorités.

Pour Sarah, je n’arrêterai pas d’lutter,

J’prouverai, que dès le départ, on nous a condamnées.

Plus d’espoir de retour pour ma fille,

Elle s’appelle Sarah, elle a 8 ans et demi.

6 ans pour obtenir un suivi psy,

C’était moi le problème : cherchez l’erreur les amis…

Une rime par jour pour les enfants placés,

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