L'homme a t'il marché sur la lune ?
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L'homme a t'il marché sur la lune ?
Tintin, oui !
En avant-première, l'auteur vous présente une "série de fiction" découpée en "?" feuilletons hebdomadaires, sur une partie d'ombre de l'histoire du monde et de l'Amérique en particulier sur la problématique que L'HOMME AIT OU NON MARCHE SUR LA LUNE !
Détour vers le passé, posons le décor...
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Metteur en scène : Stanley Kubrick pressenti a décliné depuis. Stan X aurait pris la suite
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Acteurs (en principe hauts et en vedettes américaines) :
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Neil Armstrong : Neil (VF par Buzz Aldrin)
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Buzz Aldrin : Buzzy (doublé par Neil Armstrong)
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Michael Collins : Colly (VF par Marcel Marceau)
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Genre : science-friction.
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Scénario : "Nous voici au matin du 21 juillet 1969, les derniers rayons du sommeil se sont estompés. Dans la cabine de la navette, Neil s'est éveillé de bonne humeur en regardant par le hublot la terre se coucher, sa tasse de kellogs fumante dans son gant, il songeait avec un fou-rire non dissimulé qu'il n'aura jamais été aussi près de mâcher sur la lune. Avant leurre ?"
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Un peu à l'ouest dans sa tête, Aldrin écarquilla malgré lui du fait de l'apesanteur, ses yeux. Les cils remontant sans cesse ne suivant pas le mouvement, il les balaya en 3 mn et 14 sec; -au début comme par des pi- d'un revers de sa combinaison spécialo-temporaire A7L. La journée s'annonçait rude. Désabusé, il savait que c'est Armstrong (c'est gravé dans le marbre de sa tombe), qui poserait le premier pied droit sur le sol alors que c'est lui qui aurait du faire le Buzz avec ses Louboutin à semelle rouge... Colly qui avait mal au ventre semblait débarquer de l'hagard de lest. De son duvet de plumes de dodo, il venait d'apprendre du Centre Spatial Kennedy en Floride qu'il devait rester à bord pour garder la navette. Il grommela en américain des mots que les décodeurs de la NASA mirent trois jours et cinq nuits à traduire en anglais ("fuk" incompris alors que le message était pour tant, sensé). Devenu depuis aux USA le "cas des colles" pour le codage.
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Pour contrer l'apesanteur, un pas lent spécial et articulé (bien mieux qu'un bond) avait été inventé sous le nom de "moonwalk" (marche lunaire) par un certain Jackson, pour alunir en douceur. Car les spécialistes de la NASA méconnaissaient la densité de la terre de la lune ; quoique plusieurs interrogations s'étaient déjà posées bien avant, sans révéler de traces particulières...
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Malgré son harnachement mais aidé par son acharnement à vivre son incroyable destin, Neil aurait bien suffi à descendre seul l'échelle de coupée du LEM, mais... (fin de l'épisode)
De votre curiosité voire de votre humeur dépendra la suite des évènements. Entre "coup de coeur" et "coup de génie" il y a bien une place pour un "coup de Trafalgar" .
Alors pour la seconde fois (souhaitons plutôt une deuxième), accompagnez-moi pour vos premiers pas vers un des astres méconnu qui vous fera rêver encore quelque temps, ensemble à l'UNISSON !
Un feuilleton idiot-visuel très spatial qui ne se renouvellera qu'à la condition que vous lui fassiez l'aumone d'une incitation autre qu'un coup de pied occulte. Pour qui n'appréciera pas le style ou le propos, le nombre de "coups de balai" devra être inférieur à l'ensemble des autres coups, ceux qui laisseront des traces indélébiles dans l'esprit déjà tout-remonté de l'auteur... Le score vous sera communiqué à chaque reprise.
Notez que les chaussures portent le nom de leur propriétaire. Au cas ou il en perdrait une !
Un pamphlet sur l'absurdité du doute d'après une idée sournoiso-novatrice de Bernard DUCOSSON