

D'Azerbaïdjan, un simple slogan émis, propulsé et en tendu de par le monde, a libéré l'heureux sort d'un développement industriel trop longtemps bridé.
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D'Azerbaïdjan, un simple slogan émis, propulsé et en tendu de par le monde, a libéré l'heureux sort d'un développement industriel trop longtemps bridé.
De notre envoyé spécial Sam-Kir à Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan
Les désarrois des tentatives d'étouffement de l'ex pension soviétique n'auront pas tué l'Azerbaïdjan, cette terre perdue de 10 millions d'âmes faisant puzzle entre Russie, Géorgie, Arménie et Iran. Bien au contraire, en quelques décennies le pays s'est propulsé au coeur d'un cercle vertueux d'ouverture sur le monde en basculant inexorablement dans le sens du modernisme et du progrès ; bien aidé en ceux-là par les bénéfices de ses ressources pétrolières ; ce qui d'un côté l'a bien fait avancer et de l'autre côté tombe sous les sens...
C'est là qu'un grand mouvement de délocalisations est né du fameux slogan de "produire à Bakou", qui a vite fait mouche dans les pays francophones et vinaigre partout ailleurs, quoique


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