"we are caged in simulations" (Muse)

"Puisqu'il ignore la vérité qui le libérerait, il est utile qu'on le trompe" (Blaise Pascal [citant Saint Augustin], Pensées)

On a vu, dans les deux articles précédents, que l'affabulation de la pandémie coronavirienne est en réalité le projet et le nom d'un TRAFIC D'IDENTITE(S) à grande échelle. Du MAQUILLAGe, comme de la bagnole (trafic obligle, encore que !

On (des journaux, des magazines, etc.) a parlé de "temps sans précédent" à propos de ce qui se passe dans le monde entier, dans un monde allant désormais au ralenti et où la question du TEMPS est à reposer : une période étrange où l'on a commencé par être cloîtré (confinements), où la société doit être aseptisée -voire épurée quand on examine cet hygiénisme comme effet d'une allergie du Pouvoir), où la distanciation sociale va avec une digitalisation généralisée, ce qui facilite le contrôle de la population aussi bien que l'appropriation des "data" et leur(s) effacement(s) possible(s) par leur exploitation (les données sont vendues et revendue) et leur(s) trucage(s).

Si l'on pointe un SCANDALE (au moins un) - on parle de "comédie covid", de "canular", d' "escroquerie" etc. - derrière cette fumisterie macabre (un odieux écran de fumée, car il ne peut s'agir que d'une couverture pour les instigateurs et coupables de cette mascarade, une cache, un non-dit qui doit le rester), c'est bien alors parce que ces "temps sans précédent" peuvent constituer - ou constituent - à l'inverse un CAS  aux yeux de la loi en général ou du droit, bref ce que l'on appelle "un précédent" pour la JUSTICE. L'avenir reste devant.

Une nouvelle INQUISITION fait, elle, plus que pointer le bout de son nez. La DISCRIMINATION induite par une obligation illégale (se faire vacciner sans consentement éclairé etc.) et actée par un passe sanitaire de rigueur (vos papiers!), cette discrimination fait que les non-vaccinés font figure de marginaux ou de nouveaux pestiférés: de fait, on les criminalise (ils "tuent" les vaccinés, a dit M. Biden; ils sont irresponsableq, a dit M. Macron etc.).

Au plan politique en général (ordre de la cité, ou de l'Etat) et plus exactement au plan démocratique, des ENTRAVES sont socialement et symboliquement mises aux bien-portants ainsi qu'aux esprits éclairés qui s'informent autrement que scotchés à leurs postes de télévision, de radio etc., autrement dit qui ne sont pas prêts d'avaler les couleuvres de la MESSE (noire) médiatique, à se laisser porter et emporter par ces MASS MEDIA qui n'ont de cesse de précipiter les gens dans des affres d'angoisse et de les pousser à faire le contraire du bon sens ainsi qu'à attenter à leur propre santé. Parmi ces entraves, il y a celle de voyager pour les récalcitrants à la vaccination; or, la liberté (on ne s'en rend pas compte parce que cela va soi, qu'on est habitués) commence avec le mouvement ou capacité de se mouvoir et la liberté de circuler est un droit essentiel. Les dictatures (ces pays qui gouvernent à coup de diktats, de décrets) reprennent de la vigueur, et cela ne peut regarder des "temps sans précédent" comme on les appelle mal en ce sens : on retient, détient, capture, prend en otage une partie des citoyens. Et le tout suspendu à un "NARRATIVE" c'est-à-dire à un récit officiel qui n'est que MYTHE (un mythe est un récit), ou affabulation.

1. Mythologie covidienne

La mythologie ça me connaît, puisque ma thèse consacrée au mythe grec des Amazones tient en trois volumes et qu'elle m'a coûté cher (j'en parle dans les articles précédents) avec transfert d'une Université à une autre ainsi que passage dans les mains de trois (non) directrices de thèse : un parcours de combattante qui se termine bon an mal an à Paris 8 avec un contre-rapport de thèse. Comme quoi, c'était - c'est un sujet sensible.

La MYTHOLOGIE, l'étude du mythe ou ancien nom de la PROPAGANDE, est particulièrement utile par les temps qui courent avec ce sale temps qui couve et ses mythos (menteurs) qui occupent le terrain public comme M. Fauci (parjure devant le Congrès américain et toujours en place). Car l'histoire qu'on vous narre ou avec laquelle on vous emberlificote est de la pure régression (une tentative du moins) sans être (évidemment) un retour en arrière puisque l'esprit qui sévit (le mauvais esprit ou l'esprit mauvais, de la mauvaise foi) oeuvre à la dénégation ou silence de l'ORIGINE avec son Delta évoqué et ses variants soi disant incontrôlés de la maladie universelle baptisée "covid19"; il  s'agit en effet de détruire les défenses naturelles et de remplacer le système auto-immune par un autre (artificiel, chimique, contre-naturel) de sorte qu'on pourrait même imaginer que leur "Great Reset" - grande réinitialisation, donc on recommencerait tout: on referait l'Origine ! De la théologie à l'envers, du sectarisme industriel-, c'est en fin de compte du clonage, de la dolly (doll) à foison, du moutonnage pratique ou arrangeant (pas de mouton noir ni de brebis galeuse). C'est vraiment une invention lunaire que cette pandémie imaginaire. Je ne sais pas si ce ne sont pas les boîteux que nous n'apprécions pas, mais ce sont certainement les esprits boîteux (Blaise Pascal l'écrivait ainsi) et, là, on est (mal) servis. Ce sont de nouveaux chiens de garde, ce sont même des maitre-chiens avec leurs maitres mots ou mots d'ordre aboyés à longueur de temps, faisant montre d'arrogance (morgue et sadisme) et incitant de la sorte à ce qu'ait lieu une guerre intestine ou interne, mettant aux prises des peuples les uns avec les autres : c'est vieux comme Athènes. Ils fabriquent des parias ou des galeux, la Machine Etat stigmatise plus ou moins bruyamment ou silencieusement les "antiwax" c'est-à-dire leurs ennemis affichés ou déclarés.

On connaissait les régimes de vérité, ou de lumière; eh bien, le cas des USURPATEURS covidiens évoluent dans des régimes de fausseté - fake news - ou d'obscurité et même d'obscurantisme : faire en sorte que la vérité de l'usurpation ne soit pas sentie (B. Pascal) c'est VOULOIR LE FAUX. On connaissait ceux qui portait un vouloir du vrai (Nietzsche les visait); cette fois, c'es