"Pour tout service de renseignements, [...] un savoir doit devenir un pouvoir." (G. Debord, Commentaires sur La Société du Spectacle).

Doit devenir...., n'est pas (commentaire).

Et coup de projo: en arrière, quand c'est une conjuration du passé qui obnubile le POUVOIR dans l'affaire coronavirus où ce dernier joue effectivement gros c'est-à-dire où il risque de prendre, de payer cher. Conjuration du passé, en l'occurrence falsification ou altération de l'ADN par destruction à court, moyen ou long terme du système auto-immune (trafic d'identité[s] et cache-misère).

De fait, le SAVOIR n'est pas le POUVOIR. Et LE SAVOIR n'est pas L'INFORMATION (avec la désinformation son pendant ou corrolaire), l'information étant ce qu'il y a à détenir ou à conserver pour exercer un pouvoir (et encore), pour dominer, assoir ou protéger les intérêts des uns et des autres... 

Tout service de renseignements suppose par ailleurs de l'ESPIONNAGE (hackage, etc.), une surveillance même participative dans la société du spectacle telle que l'a décrite Debord, société avec ses AGENTS : ces agents du spectacle qui s'ignorent eux-mêmes puisqu'ils s'inscrivent dans la manipulation spectaculaire tels des figurants qui ne le sauraient pas en définitive et qui croient prendre quiconque alors qu'eux-mêmes sont déjà pris. 

Coup de projo, donc : les pas jojo, les pantins en scène, projo là où ça pèche dans ce truc de faussaires qu'est le covid19 comme PLAN ou PROGRAMME (et intérêts cachés ou secrets).

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1. Debord inlassablement

Je ne jure par personne mais j'ai confiance, c'est mon entière conviction, en la théorie debordienne, et en feu Guy Debord dont la fin, et parce que sa fin fut tragique car imméritée. Sa théorie (ce n'est pas une philosophie; en la matière, ma préférence va à d'autres) on ne peut plus juste du SPECTACLE comprend une théorie du COMPLOT ou du complotisme (si on actualise, l'accusation a pris du plomb dans l'aile) et c'est à son honneur insigne. Il savait en effet de quoi il parlait, entre autres parce que Gérard Lebovici, l'éditeur de ses Commentaires sur la Société du Spectacle, avait été assassiné dans un traquenard ("un guet-apens mystérieux", lit-on en exergue de son livre). Si cela n'était pas un complot, qu'était-ce ? Debord, avec d'autres, parlait et pensait Mai 68 et son noyautage. Intéressant est également le fait qu'il se soit penché, dans ce même livre, sur l'équivalence des révolutionnaires (prenez-les de tous bords, chevelus etc.) et des agents secrets ou du moins sur leur réversibilité de fonction.

Dans la société d