Deux pages pour une couverture de livre, un espace pour condenser mon roman de 59900 mots,

Tout dire sans rien dire ! Une couverture pour le protéger, le cocooner... Du froid, de l'hiver, des critiques, des méchants mots, une couverture pour le faire résister au passage du temps.

Il faut d'abord trouver un titre, mon titre doit représenter mon roman, attirer les lecteurs... Je ne réfléchis pas longtemps. Mon titre ne me pose pas de question, je ne pense pas au lecteur. Mon titre m'attire, me parle, mon titre est une évidence. 

Il me fait plaisir, il est tout ce que contient ce premier tome.

Ensuite faire un résumé.

Je déteste faire des résumés, un résumé en dit trop ou pas assez. Je ne veux pas faire cet exercice.

Une quatrième de couverture,

Quel drôle de nom ? Je vais écrire quoi si je n'ai pas de résumé ? Il me faut une autre idée, un haïku japonais ? Je n'ai pas ce talent, mais cela m'inspire. Une photo ? Et pourquoi pas... Je prépare, je dispose, je cherche une photo, je crée une photo... Je griffonne des mots, je les déplace, je les ordonne sur quelques lignes, je les modifie :

"Les perles de rosées brillent dans l'aube claire, elles s'évaporent déjà, Aviane ta vie s'envole dans une course folle..."

Trois lignes pour vous entraîner dans l'aventure...