Votre gamelle du midi possèderait un taux vibratoire qu’il vous appartient d’élever, pour vivre mieux. Et ce n’est pas une blague !

Certes, vous savez déjà qu’une alimentation « équilibrée » est la base d’une bonne santé.

Et qu’il est préférable de manger plus souvent ceci :

Que cela : 

Mais sur un plan plus subtil, votre nourriture serait bien plus qu’un vulgaire assemblage de protides, de glucides et de lipides…

Elle possèderait aussi un taux vibratoire, influençant le taux vibratoire de votre corps. Au point de l’augmenter ou de l’abaisser… Avec des conséquences sur votre vitalité et votre bien-être spirituel.

Certains penseurs sont catégoriques : pour élever vos vibrations, il faudrait se nourrir de graines germées et de pollen cru, le tout arrosé de grandes rasades d’eau de torrent.

Mais rassurez-vous : quand on habite en ville et qu’on ne peut pas se passer de viande, il y a moyen d’échapper à ce crudivorisme bien austère 😊.

Il n’en reste pas moins que pour certains courants spirituels…

Les aliments que vous mangez portent en eux une énergie vitale.

Une énergie déterminante pour votre état de santé et qui dépasse les simples notions de nutriments, de vitamines et de minéraux.

En 1937, un universitaire du nom d’Edmond Bordeaux Szekely(1905-1979) publie " The Essene Gospel of Peace "1

Un ouvrage inspiré de sa lecture des " Évangiles Esséniens "… Des textes anciens, qu’il aurait découverts dans les archives du Vatican.

Ces manuscrits sont attribués aux Esséniens, une communauté religieuse juive de l'Antiquité, qui vivait frugalement, en harmonie avec la nature.

Szekely y apprend qu’une alimentation à base de végétaux crus, confère au corps et à l’esprit une énergie vitale supérieure.

Et que la consommation de ces « aliments vivants » serait la clé pour capter cette énergie subtile, indispensable à la santé.

Passionné de spiritualité et de santé naturelle, Szekely est captivé par ces principes.

Il va alors les reprendre et classifier les aliments en quatre catégories…

En commençant par les pires aliments : les aliments biocidiques,

Selon Szekely, il ne faudrait jamais en consommer car ces aliments détruiraient la vie.

Il s’agit de la viande d’animaux issus d’élevages intensifs. Et de toutes les formes de nourriture industrielle, transformée et dévitalisée.

Leurs ingrédients ont subi tant de modifications chimiques et/ou mécaniques, qu’ils ont été vidés de toute leur force vitale. 

Raffinés, surchauffés, extrudés, stérilisés, irradiés… Additionnés de colorants, de conservateurs, de pesticides et autres substance chimiques… Ou bien synthétisés de toute pièce…

Leur vibration est inférieure à 3500 unités Bovis et ils empoisonneraient nos cellules.

Ensuite, il y a les aliments biostatiques, qui ralentiraient la vie

D’énergie « neutre », les aliments biostatiques auraient perdu une partie de leur énergie vibratoire, suite à leur cuisson, leur congélation, leur mise en conserve ou leur stockage prolongé.

Tous les traitements visant à les cuire [au-delà de 40 °C] ou à les conserver, altèreraient leurs vibrations. Même s’il s’agit de végétaux, de laitages, de viandes et de poissons de qualité biologique.

D’un taux vibratoire allant de 3500 et 7000 unités Bovis, ils ne seraient pas complètement nuisibles, mais ils ne soutiendraient pas la régénération du corps.

Et leur consommation excessive contribuerait au vieillissement, en favorisant la perte de vitamines, de minéraux et d’enzymes.

Szekely recommandait de limiter leur consommation à 25 % de l'alimentation.

Meilleurs pour la santé, les aliments bioactifs maintiendraient la vie

Il s’agit des produits biologiques, frais et crus, cueillis ou produits depuis quelques jours. Comme les légumes, les fruits, les jus pressés à froid, les céréales, les produits animaux crus…

Ni transformés ni surchauffés, ils auraient gardé l’essentiel de leur énergie vitale, avec un taux vibratoire élevé, compris entre 7000 et 14000 unités Bovis.

D’après Szekely, ces aliments bioactifs devraient représenter au moins 50 % de l'alimentation quotidienne, pour soutenir l'équilibre énergétique et la vitalité du corps.

Et au sommet de l’énergie vibratoire culminent les aliments biogéniques, qui généreraient la vie

Cette petite catégorie d'aliments est considérée comme la plus revitalisante qui soit.  

Leur taux vibratoire très élevé, supérieur à 12500 unités Bovis, générerait et stimulerait la vie.

Ces aliments sont les graines et légumineuses germées, les jeunes pousses et herbes fraîches, le miel et le pollen crus, les graines et les noix fraîches… Mais aussi les algues fraîches et les aliments lacto-fermentés, comme la choucroute.

Regorgeant d’énergie vitale, ils boosteraient le processus de régénération cellulaire, la résistance aux maladies et favoriseraient l’autoguérison.

Szekely recommande d’en consommer entre 25 et 30 %.

Pour vous situer, voici un cadran des unités Bovis : les valeurs inférieures à 7000 sont jugées néfastes ; voire mortifères sous 3500.

Sur le plan scientifique, la théorie d’Edmond Bordeaux Szekely est moins farfelue qu’il n’y paraît

Car en 1949, les recherches d’André Simoneton, un ingénieur électricien, ont abouti à des conclusions similaires.

Dans son ouvrage intitulé « Radiations des aliments, ondes humaines et santé », André SIMONETON affirme lui aussi que les aliments possèdent bien un taux vibratoire qui influence directement la santé.

Et que se nourrir de denrées à haute fréquence vibratoire préserverait non seulement la santé, mais aiderait même à la guérison.

En mesurant l’énergie vibratoire de différents aliments, qu’il a exprimée en ångström – une unité qui mesure les distances à l'échelle atomique et moléculaire -…

Il a constaté que plus un aliment est frais et à maturité, plus son taux vibratoire est élevé.

Et que les aliments transformés, mais aussi la viande cuite, ont des vibrations basses, nocives pour la santé.

Ses mesures ont abouti à un classement et des recommandations2 proches de ceux établis par Szekely :

• Aliments supérieurs (6500 à 10000 ångströms) : les fruits et légumes frais, qui augmentent votre taux vibratoire.
• Aliments de soutien (4000 à 6000 ångströms) : bons en quantité modérée.
• Aliments inférieurs (en dessous de 6500 ångströms) : à éviter car ils réduisent votre taux vibratoire.
• Aliments morts (zéro ångström) : à proscrire car ils n’apportent rien et abaissent votre taux vibratoire.

Au passage, vous aurez remarqué qu’outre la qualité intrinsèque des aliments…

Il faudrait aussi considérer leur mode de préparation.

Depuis des années, d’innombrables études scientifiques confirment la nocivité de certains modes de cuisson.

Comme la friture3,4 et le rôtissage à haute température et sur de longues durées5, qui dénaturent les aliments…

L'ébullition et le blanchiment, qui dissolvent et dégradent les vitamines6…

Et surtout les micro-ondes, qui altèrent la structure des macromolécules, favorisent l'oxydation des graisses et produisent des composés nocifs7 8.

Alors vous vous posez peut-être cette question :

Comment faire quand on habite en ville, plus près d’un supermarché que d’une ferme biologique ?

Car en admettant que vous soyez friand d’algues fraîches, de graines crues et de jeunes pousses, tout juste récoltées du matin…

Comment en trouver, si vous vivez en appartement à Garges-lès-Gonesse ?

Et comment assurer votre ration quotidienne d’aliments bioactifs, quand les prix des aliments bio (et pas seulement biostatiques) sont en train de flamber ?

Je pense aussi aux carnivores invétérés qui aimeraient vibrer haut, mais sans renoncer au poulet rôti du dimanche (servi avec des frites biocides).

Devenir crudivore à haute vitalité exige beaucoup de motivation. Et de vrais moyens pour s’assurer une nourriture biologique de première fraîcheur.

De plus, je ne suis pas sûre que manger tout le temps cru soit bon pour la santé.

La faute peut-être à mes origines asiatiques…

Car la médecine traditionnelle chinoise déconseille formellement de manger en permanence des quantités d’aliments crus.

Elle considère que cela affaiblit le feu digestif, ralentit la digestion et peut fragiliser la santé… Contrairement aux aliments cuits, qui réchauffent le corps et facilitent l'assimilation des nutriments.

Heureusement, Edmond Bordeaux Szekely nous laisse un peu de mou…

Il tolère la consommation exceptionnelle d’aliments biocides (lors d’un à deux repas par semaine)…

Et il propose de consommer des aliments cuits ou transformés, en les mélangeant toujours à des aliments bioactifs et biogéniques.

De sorte que les aliments vivants revitalisent les aliments de fréquence plus basse, pour les rendre plus assimilables et digestes.

Pour autant, ça ne résout pas la difficulté d’énergiser notre nourriture au quotidien, avec des plantes fraîches de haute vibration.

Personnellement, j’ai tenté de résoudre le problème de plusieurs façons

Voici trois moyens d’infuser de l’énergie vitale dans vos menus quotidiens.

Cultiver soi-même ses graines germées et ses fines herbes biogéniques

Certes, vous pouvez me rétorquer que vous n’avez pas de jardin.

Mais je suis sûre que vous avez une cuisine et des fenêtres.

Il se trouvent que les graines et les légumineuses germées se préparent très facilement à la maison (pour vous montrer, je vous mets le lien vers un tuto à la fin de l’article).

Vous pouvez en produire beaucoup et tout le temps, parce qu’elles poussent très vite et très bien.

Elles se mangent en salade, seules ou accompagnées d’autres légumes, assaisonnées d’une bonne vinaigrette. C’est délicieux et bien meilleur qu’une salade de supermarché.

Il vous suffit d’acheter un paquet de graines ou de légumineuses biologiques. Et au lieu de les faire cuire pour les manger, vous les faites germer en quelques jours.

Quant aux herbes fines (basilic, menthe, coriandre, persil, ciboulette, thym, estragon, aneth etc…), elles se cultivent en jardinière, tant en appartement que sur balcon.

C’est aussi le cas des salades et de nombreux légumes à feuilles. Comme ils poussent vite, vous pouvez en récolter régulièrement... Et même en continu, si vous prélevez les feuilles extérieures, en laissant le centre de la plante se développer.

En en produisant toute l’année, vous pouvez vous faire votre quota d’aliments vivants.

Projeter votre conscience et votre gratitude dans votre nourriture

Bénir son repas avant de manger est une pratique répandue dans de nombreuses traditions religieuses.

Car exprimer gratitude et respect pour notre nourriture, sacralise l'acte de manger.

Sans forcément prier, nous pouvons tous projeter notre énergie vers les aliments que nous consommons, pour élever leur vibration spirituelle.

Pour ma part je concentre toujours mes meilleures intentions dans les plats que je prépare…

Comme l’intention de prendre soin de ceux qui mangeront ce que je cuisine… L’intention de prendre soin de leur santé… Et celle de leur apporter de la joie.

J’écris aussi des mots sympas sur mes bocaux à ingrédients. Comme « bonheur », « amour », « bonne fortune », « santé » ou « félicité ». Mais aussi sur mes carafes d’eau, mes théières et mes bouteilles de vin.

Car la vibration des pensées et celle des mots qui les expriment, agissent sur la matière.

C’est ce que semble montrer l’expérience réalisée par Masaru Emoto, un artiste et homme d’affaire japonais.

Désireux de prouver que les mots et les intentions humaines ont un impact sur la matière, il s’est livré à une expérience toute simple, facile à reproduire chez vous.

Emoto a fait cuire du riz, qu'il a ensuite réparti dans trois bocaux différents.

Sur le premier bocal, il a inscrit le mot "Amour" et sur le second bocal, il a écrit le mot "Haine".

Et il a laissé le troisième bocal sans inscription, pour l’utiliser comme témoin.

Pendant 30 jours, il a quotidiennement adressé des pensées positives et bienveillantes au bocal « Amour », en lui parlant même avec des mots doux.

Au bocal « Haine » par contre, il a exprimé des pensées de colère et des mots agressifs.

Et il n’a prêté aucune attention au bocal témoin.

Au bout des 30 jours, le contenu de chaque bocal avait évolué différemment :

Le riz choyé par les paroles d'amour avait fermenté doucement, dégageant un parfum sucré.

Le riz qui avait subi les insultes, avait pourri et était devenu noir.

Quant au riz mis de côté, il avait aussi pourri, mais plus lentement.

Amusant n’est-ce pas ?

Maintenant, quid de la viande ? faudrait-il devenir végétarien ?

À en croire Edmond Bordeaux Szekely, manger de la chair d'animaux morts mène à l'accumulation de toxines et à la dégradation du corps.

Mais quand les Indiens natifs d’Amérique chassaient pour se nourrir, cette idée ne leur venait pas à l’esprit.

Leurs tribus ont toujours exprimé un profond respect envers les animaux qu'elles chassaient, reconnaissant l'égalité entre l'homme et la faune.

Pour elles, la chasse n'était pas seulement un acte de survie, mais aussi un échange sacré où l'homme devait démontrer humilité et gratitude envers l'animal qui offrait sa vie pour nourrir la communauté.

Par des rituels de remerciement, les chasseurs assuraient l'animal que sa mort était nécessaire pour la survie de leurs familles. Et ils veillaient à ne jamais gaspiller les restes de leurs proies,

En prenant exemple sur ces pratiques, nous pouvons adopter une approche plus consciente de notre consommation de viande.

En respectant les ressources naturelles dont nous dépendons et en ne mangeant pas plus de viande qu’il nous en faut.

Utiliser des ondes de forme comme celle d’une pyramide pour vitaliser vos fruits et légumes

Là je vous préviens, la méthode est un peu plus funky…

Un copain nous a expliqué ce qu’étaient les ondes de forme…

Concept qui repose sur l'idée que certaines formes géométriques comme les pyramides, et certains métaux comme le cuivre, peuvent capter, concentrer et amplifier l'énergie vitale présente dans l'air… Énergie qu’on appelle « prana », « chi » ou « orgone ».

Il nous a donné des baguettes de cuivre, pour fabriquer une armature en forme de pyramide, au centre de laquelle il nous a suggéré de poser des aliments à vitaliser.

Toujours prête à faire des trucs bizarres, j’ai donc fabriqué ma pyramide avec les baguettes de cuivre.  

Puis je l’ai soigneusement orientée vers le nord magnétique.

Car nous voulions vérifier si nos tomates de jardin (donc sans conservateurs) resteraient fraîches plus longtemps, sous la pyramide.

Nous avons donc mis quatre tomates sous la pyramide et deux autres à l’extérieur.

Devinez quoi… Les tomates sous la pyramide sont restées pulpeuses, fraîches et brillantes deux fois plus longtemps.

Tandis que les tomates témoins, placées à l’extérieur de la pyramide, se sont fripées au bout de 2 jours (eh oui, sans conservateurs ça va vite).

Là encore, je vous suggère de faire vos propres expériences si vous voulez vérifier.

Pour en savoir plus sur les vertus que l’on prête à l’onde de forme pyramidale, je vous suggère le livre pratique de la journaliste Annie Hasch, qui l’a testée chez elle :

Annie Hasch : Le pouvoir des pyramides

Et voici un tuto Youtube, qui vous montre comment faire vos graines germées maison :

Faire germer des légumineuses (lentilles, pois chiches...) Maison Facile Simplissime Pas cher

Merci de m’avoir lue 😊

Maivan Lecoq

Mes sources :

Article publié dans L’Écho de la Source

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