

Le point commun entre Rolls-Royce et le golf
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Le point commun entre Rolls-Royce et le golf
Tertre, lundi 24 septembre 2018 à 16:01, dans le divan du salon
Cher Gary,
Hier, je t’ai dévoilé ce qui a été pour moi une révélation, et j’ai laissé le lecteur avec cette idée en tête :
Ce qui peut faire de lui le roi du copywriting sur cette planète, c’est sa capacité à développer une discipline de fer !
Celle qui le fera passer des heures à farfouiller dans tous les détails du produit ou du service à promouvoir.
Cette discipline est la première chose qu’il doit apprendre et pratiquer, et je pense que tu aurais été d’accord avec moi.
Améliorer son style ? Travailler sa technique ? Découvrir comment écrire des accroches qui percutent ?
Qu’il laisse ça de côté pour l’instant. Il aura tout le temps de le faire après.
Et mieux que ça :
Il verra que ses meilleures accroches et ses plus beaux paragraphes lui sauteront naturellement au visage à force de creuser pendant des heures pour trouver tout ce qu’il peut apprendre sur le produit à vendre.
J’ai retrouvé ce premier exemple, Gary, que j’ai traduit pour le lecteur :
« À 60 miles à l’heure, le bruit le plus fort dans cette nouvelle Rolls-Royce est celui de l’horloge électrique »
C’est le grand Ogilvy qui a écrit cette accroche.
Et je pense que tu sais comment lui est venue cette idée…
Simplement en passant des heures et des journées entières à sillonner l’usine de la célèbre marque, en discutant avec les techniciens sur les chaînes de montage, en tapant la causette avec les ingénieurs et en prenant le temps de fouiller tous les détails de fabrication.
C’est comme cela qu’il a eu cet éclair de génie.
Ce ne sont pas seulement ses compétences de copywriter ou sa grande maîtrise de l’art d’écrire des accroches qui percutent.
Ce n’est pas non plus un « dossier d’inspiration ».
Non !
C’est juste le (simple) fait d’a
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To access, subscribe to the Creative Room COPYWRITING : LETTRES OUVERTES À GARY HALBERT | Tout ce que je n’aurais jamais imaginé apprendre sur l’art de vendre avec des mots by Olivier Ranocha
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