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Chapitre 9 : Mademoiselle Corsaire

Chapitre 9 : Mademoiselle Corsaire

Veröffentlicht am 25, Juni, 2025 Aktualisiert am 25, Juni, 2025 Romance
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Chapitre 9 : Mademoiselle Corsaire

Alors que le couple comptait les étoiles et cherchait des constellations dans le ciel, leur ami pirate les interpella :

- Eh, les tourtereaux ! Ma famille organise un festin de minuit dans la cuisine. Après, on ira dormir dans les cabines : je vais veiller tard car je serai garde de nuit avec mon frère Derreck. Il faut bien que quelqu’un surveille et conduise le navire, non ? Et je suppose que vous ne voulez pas passer la nuit sur le pont du voilier mais dans votre cabine, hein ?

- On arrive, Jack ! répondit la sirène.

- Je crois que l’avoir autant de temps près de nous a suffi pour nous immuniser contre ses blagues, ça ne m’a même pas fait réagir… ajouta Blake en secouant la tête, désespéré.


Une fois tous présents dans la cuisine du bateau, Élise prit la parole (quelques pirates étaient cependant absents car ils se trouvaient à l'avant du navire : ils devaient le diriger et surveiller les environs avant que Jack et Derreck ne viennent pour la garde de nuit).

- Organiser un festin de minuit était l’idée de Blake, je parle de mon père et pas de toi, mon garçon, on l’appelle le pirate légendaire !

- Ah, je pensais bien que ce n’était pas l’idée de maman mais celle de grand-père, y’a que lui pour faire des choses pareilles. Il est comme toi, c’est bien que vous ayez le même prénom, chuchota Jack à son ami.

- Mon vieux père est un homme formidable, c’est grâce à lui que nous aidons les gens dans le besoin. On dit de nous que nous sommes de vulgaires pirates, mais peu de gens savent pourquoi notre activité est illégale… Je suis triste d’apprendre que tu n’es plus notre prince, car je sais que tu voulais nous récompenser pour notre travail même si les autres membres de la cour n’approuvaient pas tes idées.

- Élise, quand j'ai fait votre connaissance, j'ai compris pourquoi vous faisiez des choses aussi dangereuses et interdites : ce n'est pas de votre faute si aider les gens dans notre royaume est considéré comme illégal ! Je m'explique pour Poema qui ne comprend sûrement pas à quoi je fais référence... Prenons ceci par exemple, le peuple sait que les pirates attaquent les bateaux, mais que font-ils ? Ils libèrent les prisonniers et les esclaves à leur bord ! Beaucoup oublient que l'esclavage est illégal, pourquoi le sauvetage d'esclaves n'est pas valorisé ? Ce n'est pas une attaque mais une mission caritative ! Autre exemple : certaines personnes volent et font du mal aux gens, qui va voler ce qui a été volé pour le rendre à leurs propriétaires ? Ce sont aussi les pirates, mais que retiennent les gens ? Ils pensent que les pirates sont des voleurs ! Vous comprenez ? Je crois que les habitants du palais déforment la vérité... Pourquoi ? Parce que vous naviguez entre terre et mer, et tous ceux qui n'ont pas peur de la mer ou qui ont un lien avec elle sont jugés dangereux. Pirates ou sirènes, c'est du pareil au même pour eux. Tous ceux qui ont été aidés par les pirates sont de votre côté. Vous aimez qu'on vous appelle "pirates", car cela fait de vous des rebelles contre les chefs corrompus du royaume, mais ce nom est très péjoratif... Vous êtes des sauveurs, des héros, pas des pirates !

- Ah, Blake, tu as répété maintes et maintes fois ces paroles au palais, mais personne ne t’écoutait, soupira la mère de Jack, abattue.

Le grand-père pirate se leva et fit son discours tant attendu.

- Et c'est pour ça que j'ai décidé de faire la fête, encore ! Ne faisons pas attention à ceux qui ne nous aiment pas, on doit prendre du temps pour nous et nous amuser. Ce qu'ils veulent, c'est qu'on baisse les bras. Alors il faut faire l'inverse de ce qu'ils attendent : confirmer que nous sommes des pirates rebelles, continuer nos activités malgré la haine et ne pas oublier d'organiser des fêtes. Si personne ne nous dit merci au palais, si la plupart des gens sont contre nous, on ne doit pas attendre que cela change, on doit accepter sans les contredire jusqu'à ce qu'ils se rendent compte eux-mêmes de leur erreur. Bientôt, avec la guerre et leurs nouveaux dirigeants, ils verront que c'est leur prince qu'il fallait écouter. Lui seul œuvre pour la paix. Et puis les gens viennent tout de même à notre auberge pour la bonne ambiance, je pense que beaucoup nous apprécient dans l'ombre.

- Tu as raison, surtout que je sais que bientôt, tout changera ! s’écria Jack.

- Levons nos verres pour grand-père Blake !!! s’exclamèrent les pirates à l’unisson.

Le meilleur ami du prince ne put s’empêcher de pouffer :

- Tu es grand-père, maintenant ? demanda-t-il au prince.

- Tais-toi !

Le festin de minuit se passa dans la joie et la bonne humeur, jusqu’à ce que tous soient épuisés.

- Nous allons nous coucher, j’ai très sommeil, viens, Poema, lui dit le prince.

- Passez une bonne soirée, sourit celle-ci.

- Je dirais plutôt un bon matin tellement il est tard, mais bref, merci ! Moi et mon frère, on n’est pas fatigué, on a l’habitude, et heureusement car on est de garde ! fit Jack en tapotant l’épaule de Derreck.

- Parle pour toi, j’ai sommeil…

- T'inquiète pas, on va se relayer ! Allez, bonne nuit tout le monde ! Et toi, fatigue pas Poema, je ne crois pas une seule seconde à ton air endormi !

Blake prit sa bien-aimée par la taille sans répondre et ils se dirigèrent vers leur cabine, enlacés.


Pendant que le jeune homme rangeait ses affaires, Poema lisait, assise sur leur lit. Le hublot était ouvert et le vent, plein de douceur, les caressait.

- Regarde ce que Jack m’a donné durant le repas : c’est un livre que tu lui as prêté il y a longtemps, apparemment, l’histoire est géniale ! lui dit la sirène en lui tendant l’ouvrage.

- Maudit Jack… Ce n’est pas un simple livre, c’est… c’est moi qui l’ai écrit.

- Non… Vraiment ?! Alors tu n’es pas seulement poète mais écrivain aussi ?

- Oui.

- Tu peux me le lire ? Au moins une partie ! Je suis sûre que le récit est magnifique.

- Je sais pas, tu vas me faire rougir à force de me complimenter. Bon, c’est une histoire d’amour… J’espère que tu aimeras, je vais te lire le prologue… Le titre de mon texte est : "Mademoiselle Corsaire". Je me suis inspiré pour le nom d’un récit nommé "Lady Pirate". Le garçon perdu, c’est moi, la belle pirate aux yeux bleu foncé, c’est toi… J’y écrivais la vie que je rêvais de mener, ne te moque pas s’il-te-plaît si tu trouves que mon écriture ressemble à celle d'un vulgaire roman à l’eau de rose, c’est bien plus profond que ça…

- Je ne me moquerai pas même si c'était le cas, tu le sais.

- Alors je commence ma lecture, fit Blake en s’asseyant près de Poema.

Il se racla la gorge, gêné, et ouvrit le livre à la reliure d’or.


- Hum hum. "La mer, les bateaux, l’océan infini…

Ah, que d’histoires ont été écrites et racontées sur ce thème !

Depuis des milliers d’années, les récits des marins nous passionnent, les contes des sirènes nous fascinent… Tout le monde sait que les livres qui parlent de pirates et de navigation sont remplis de mystères et d’aventures : c’est pour cela qu’on les adore.

Ils nous font rêver les yeux ouverts…

L’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui se passe en pleine mer, une mer qui portait le nom de couronne d’or, pour être plus précis. En effet, chaque soir, on voyait dans le ciel une immense couronne faite d’étoiles : cette constellation se trouvait pile au-dessus de cette mer enchantée et guidait les marins et… les pirates !

Si les marins restaient fidèles aux règles des royaumes terrestres et les servaient, les pirates, eux, étaient rois des mers et océans dans lesquels ils naviguaient ! Pourquoi suivre des règles si on pouvait diriger le monde soi-même ? D’autant plus qu’il était idiot de se conformer à des règles venant de la terre en se trouvant dans la mer ! Cette façon de penser leur avait coûté cette vilaine appellation de "pirates"… Mais ils s’en moquaient : la liberté était pour eux la chose la plus importante ! Et tant pis si on les accusait des pires crimes alors qu’ils faisaient tout le contraire.

Oui, la plupart des "pirates" de ce monde avait un cœur pur et chacun se trompait sur leur compte. Est-ce que chez-nous aussi ils existent, ces gentils pirates ? Peut-être bien…

Parlons plutôt de ce bateau, celui que vous voyez voguer au sein de cette mer d’argent aux mille reflets. Sentez cette odeur de sel qui flotte dans le vent, regardez ce ciel nocturne si dégagé et si sombre que l’éclat des étoiles semble rivaliser avec celui de la pleine lune… Pas de doute : la liberté des pirates était plus précieuse que l’or. D’ailleurs, ils n’échangeraient pour rien au monde leur magnifique bateau, fabriqué à partir d’un bois inestimable qu’on ne trouvait que dans la forêt de jade. Les immenses arbres de cette ancienne forêt perdue repoussaient à la vitesse de l’éclair ! Il s’agissait sûrement de l’œuvre de quelques druides ou sorcières qui y avaient élu domicile, voilà pourquoi les gens normaux n’osaient pas s’y introduire… Mais pour des pirates, quoi de plus facile ! Leur courage effaçait leur peur, et ainsi, ils étaient capables de tout, retenez-le bien !

Je vous parlerai aujourd’hui d’une très belle histoire d’amour… Un amour dont tout le monde rêve…

Un amour entre la plus valeureuse des pirates : "Mademoiselle Corsaire", et un simple garçon perdu, enfermé, à qui elle a rendu la liberté.

Un amour qui les a sauvés tous les deux."

- C’est beau ! s’exclama la sirène.

- Merci, je te lirai une partie de l’histoire chaque soir, répondit le prince en la regardant dans les yeux.

- J'espère qu'un jour, les gens liront ton livre, parce qu'il est évident que tu as du talent. Cela permettrait même de donner une bonne réputation aux pirates...

Il la serra contre lui, afin d'occulter l'expression qui gravait son visage ému. La personne qu’il aime le plus appréciait ses histoires, ses poèmes… C’était tout ce qu’il voulait, car au palais, les seules choses qui le rendaient libre étaient l’écriture et Poema.

Ses trésors.

Et bien sûr, Poema était son plus grand trésor, car avec elle, il vivait un conte de fées éveillé.


Alors que le couple s’enlaçait tendrement, Jack et Derreck sortirent sur le pont du bateau pour leur garde de nuit.

- Derreck, tu peux aller te reposer si tu veux, je vais commencer la garde, je t’appellerai dans une heure pour qu’on change de rôle !

- OK, et ensuite on change à nouveau, c’est ça ?

- Oui, et ce jusqu’à six heures du matin quand les autres se lèveront.

- Mais pourquoi changer toutes les heures ? On peut par exemple faire deux heures chacun, parce qu’une seule heure, ce n’est pas assez pour se reposer.

- Oui, mais il y a moins de risques que la personne de garde s’endorme en une heure, tu comprends ? Je préfère agir de cette manière, n’oublies pas que nous pouvons facilement être en danger à cause de la situation dans laquelle nous nous trouvons…

- Je te fais confiance, grand frère, tu connais la mer mieux que moi. Je pars me reposer alors, appelle-moi au moindre souci, je ne serai pas loin.

- Parfait, je m’en vais veiller près de la barre, au cas où je dois rediriger le navire. Tu m’aideras si le vent se lève trop fort ? J’aurai du mal à plier les voiles…

- Oui, t’inquiète pas. Euh… Comment on fait pour savoir combien de temps s’est passé ? Je suis pas de garde d’habitude, alors je suis pas très informé…

- Eh bien, les autres utilisent le ciel et ses étoiles, des instruments de mesure ou simplement leur ressenti pour se repérer, mais j’ai une autre méthode. Je possède un sablier sur moi, accroché à mon collier. Mais c’est un secret car je l’ai acheté au marché noir de magie, ne le répète pas à maman ! J’en avais vraiment besoin pour la navigation, et on trouve tellement de choses utiles là-bas... J’ai pas mal d’amis magiciens, et… nous sommes des pirates, alors avoir des relations avec des gens louches, c’est normal !

- Oui mais maman nous a bien dit de ne jamais aller seuls dans un endroit pareil ! Tu le sais bien…

- Je ne suis plus un enfant : avec ou sans grand-père, il ne va rien m’arriver. Et puis Blake m’a entraîné au combat à l’épée et au sabre, et je ne parle pas du vieux mais de notre prince ! Bref, tu connais sa force.

- Comme tu veux, mais ne dis pas que je ne t’ai pas prévenu, OK ? On sait jamais quoi attendre des mages, avec leurs pouvoirs et leur intelligence, on est pas de taille, ils peuvent facilement nous arnaquer.

- Oui, oui, allez Derreck, sinon, on va discuter toute la nuit au lieu de travailler.

Jack poussa son frère et partit s’installer à l’avant du bateau.

- Ah, j’ai bien fait de prendre une bouteille d’eau avec moi, il fait drôlement chaud malgré l’absence du soleil. Heureusement qu’il y a un peu de vent pour se rafraîchir ! Cependant, ça me paraît trop calme, j’espère qu’il n’y aura pas de tempête, ni de mauvaise surprise…

Le jeune pirate aimait parler tout seul, uniquement accompagné par la mer et le ciel. Heureusement, leur bateau n'était pas aussi grand que l'ancien trois-mâts du grand-père pirate (mais bien plus grand que les barques et les embarcations des pêcheurs du port de la lune, qui avaient bien trop peur de s'aventurer en pleine mer et ne les utilisaient presque pas). On n'avait pas besoin de beaucoup de personnes pour le manœuvrer, c'était d'autant plus vrai par temps calme.

Mais seulement quelques minutes plus tard, Jack vit une personne à l’eau !

- Je vois que mon moment de sérénité n’a pas duré longtemps ! Vite, je dois descendre l’aider.

Le jeune pirate noua une corde au mât du navire, l’attacha à sa taille et sauta par-dessus bord.

- Il fait chaud mais l’eau est glacée ! marmonna-t-il.

Il se mit à nager vers l’ombre, qui semblait être une figure féminine, et finit par l’appeler :

- Ne vous inquiétez pas, je suis venu vous aider !

- Je… C’est gentil, mais… Je ne veux pas être sauvée, je préfère que vous me laissiez seule face à mon sort…

- Ah, non ! Qu’est-ce que vous racontez ? Je ne vous autorise pas à dire des choses pareilles. Vous me remercierez plus tard, alors faites ce que je vous dis et accrochez-vous à moi !

- Vous avez mal compris, je suis une sirène… L’eau ne me fera pas de mal. En revanche, les humains n’aiment pas les sirènes et je viens d’être bannie par ordre du roi triton… Je n’ai plus nulle part où aller, le mieux est que je continue à flotter en attendant la décision du destin…

- Bon, écoutez-moi bien. C'est justement votre destin qui m’envoie, alors grimpez à bord avec moi. Et je ne suis pas le genre de personne qui juge de l’apparence ou de l’origine. Alors faites-moi le plaisir d’accepter mon aide, je vais me fâcher sinon.

Enfin, la jeune fille se tourna vers le pirate qu’elle n’avait toujours pas regardé et acquiesça :

- Bon d’accord. J’espère que vous aurez raison et que je vous remercierai.

Jack, qui parlait d’un air si assuré, ne put rien répondre : il venait de croiser le regard de la sirène et tomba éperdument amoureux. Jamais il n’avait ressenti une chose pareille… "Quels beaux yeux verts..." pensa-t-il, surpris et le souffle coupé.

Voyant que le garçon ne bougeait plus et continuait à la fixer, l’inconnue essaya de le secouer, sans succès.

- Ohé, vous allez bien ? Vous êtes tout pâle !

- Jack… Je m’appelle Jack ! cria-t-il enfin en attrapant son bras, pris de panique.

- Moi, c’est Coralia, enchantée. Notre rencontre ne se passe pas dans les meilleures conditions, j’aurais voulu que ce soit un peu différent… Je ne suis pas présentable, j’ai essayé tant bien que mal à me fabriquer une robe d’algues mais ce n’est pas très réussi…

- Et moi, vous m’avez vu ? Je ne ressemble à rien ! Mes cheveux bruns sont tout emmêlés et je suis aussi trempé que vous ! Grimpons à bord, si on reste dans l’eau glacée une minute de plus, je vais finir par mourir !

Il disait cela mais une forte chaleur se répandait en son cœur à cause de Coralia.

- Si vous me permettez… Accrochez-vous bien à mon cou, murmura Jack en prenant la sirène dans ses bras.

Le jeune homme était plutôt fort et musclé et parvint à facilement se hisser grâce à la corde à bord du bateau malgré Coralia qui s’agrippait à lui.

Ils s’étalèrent sur le pont du navire, essoufflés.

- Je devais être assez lourde, désolée de vous avoir fatigué.

- Ah, non non, pas de problème, s’il y a quelqu’un de lourd ici, c’est cet idiot de Blake.

- Pardon ?

- Ah, c’est sorti tout seul, Blake, c’est mon meilleur ami, mais on s’en fiche. Racontez-moi plutôt ce que vous faites en plein milieu de la mer. Je vais dire à mon frère de ne pas venir, je me débrouillerai pour la garde de nuit, je ne suis plus seul maintenant. Je vais vous apporter des affaires et une couverture… Le temps semble se rafraîchir.

- Merci, vous êtes très aimable.

Jack partit en courant pour éviter de montrer son visage (parsemé de taches de rousseur), rouge comme une écrevisse malgré sa peau foncée.

- Et voilà que moi aussi j'ai attrapé la maladie de Blake, les sirènes possèdent-elles une sorte de magie pour qu'on tombe amoureux si rapidement ? C'est quoi ce bazar encore ? C'était juste une blague quand j'ai dit que je voulais que Poema me présente une jolie amie sirène, j'ai l'impression que le destin se joue de moi... Moi qui n'ai jamais vraiment voulu trouver l'amour, voilà qu'il me tombe sur la tête par hasard ! Qu'est-ce que je dois faire, du coup ? J'ai le cerveau tout retourné et je comprends rien à ce que je raconte à cause d'elle !

Perdu dans ses pensées, il alla enfin rejoindre Coralia après avoir accompli sa petite mission.

La nuit s'annonçait longue...


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