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Agent IA Tramontane V2.2

Agent IA Tramontane V2.2

Veröffentlicht am 26, Sept., 2025 Aktualisiert am 26, Sept., 2025 Crime stories
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Agent IA Tramontane V2.2

Bonjour à toutes et tous.


Avec "Agent IA Tramontane V2.2" je viens apporter ma contribution au jeu que Daniel Muriot avait lancé pour conclure cet été 2025 : Thème & Variations. Toutefois, j'ai pris la liberté de placer le décor dans la ville fictive de Gasc dans le 40 au lieu de l'Ardèche. Si vous me suivez, vous savez mon attachement à cette terre.


Cette nouvelle inédite débarque ainsi sur Panodyssey, un peu comme la scène supplémentaire que l'on trouve après le générique d'un Marvel.


Je vous laisse donc savourer cette histoire et vous remercie d'avance pour vos réactions, commentaires et partages.


#jcmojard



Agent IA Tramontane V2.2

4H


L’ordinateur sorti de son hibernation numérique comme dans un film de science-fiction. D’abord, une série de cliquetis, puis la mise sous tension de l’écran afficha un défilé de lignes aussi obscures qu’inutiles dont seule la dernière était importante aux yeux du lieutenant Gaspard Nolan.


> Agent IA Tramontane V2.2

> Procédure n° 2025/924 – Homicides volontaires (art. 221-1 et suivants CP)

> Code orange - 4H Loi Retail - 9 Quai Jean Vasse 40100 GASC


Il leva les yeux vers le bureau en face du sien et rencontra ceux du major Foley, déjà en alerte après la manifestation de leur Agent IA.

— Elle nous a pondu quoi la « gentiane » ? interrogea le major.

— Un QUAD HOM au neuf quai Jean Vasse. J’attends les mises à jour, y’a un doute Retail. Tu y vas avec Vasseur. Je préviens l’IRC et les ambulances.


Le major attrapa son SIG, vérifia la sécurité et la présence d’un chargeur, puis sorti du bureau en appelant l’adjudante Vasseur. À peine son subordonné sorti, le lieutenant décrocha son téléphone, tout en surveillant son Agent IA :


> Procédure n° 2025/924 – Homicides volontaires (art. 221-1 et suivants CP – art. 1 Loi Retail)

> Code orange - 4H - 9 Quai Jean Vasse 40100 GASC

> Mise à jour : 4H 1EC (auteur)


Il envoya la mise à jour sur le bracelet Pad du major et s’occupa de lancer les différentes équipes.


🫆


La voiture de la gendarmerie s’arrêta devant une petite maison sans prétention. Impossible de la manquer en raison du nombre de voyeurs attroupés tout autour. La porte, au sommet d’une volée de trois marches, était la première victime d’un calibre 12. Un trou béant, agrandi par un bon 44 à semelle crantée, laissait apercevoir l’entrée carrelée avec mauvais goût. Prudemment, les deux gendarmes pénètrent dans les lieux tandis que des renforts arrivaient. D’autres militaires commençaient à contenir les charognards planqués derrière leurs smartphones et quelques-uns emboitèrent le pas des deux sous-officiers.


Le couloir était jonché de morceau de bois, jetés comme des osselets dans un hall d’entrée aussi silencieux qu’un tombeau. Le major fit un signe de tête à sa collègue qui osa un coup d’œil dans le salon. Trois corps gisaient dans une mare de sang. Aucune trace de pas dans le fluide. L’auteur présumé avait retourné l’arme contre lui, mais selon l’Agent IA, il devrait être encore en vie.

— Il manque deux victimes, major.

Ce dernier consulta rapidement son pad au poignet, mais le bilan IA restait à quatre morts et un état critique. D’une gestuelle bien rodée, les militaires investirent chaque pièce de la maison pour sécuriser la zone avant de ranger les armes dans leurs étuis. Sur la scène de crime, le tireur présumé respirait encore au milieu de ce qu’il lui restait de visage.

Trois ambulances arrivèrent simultanément que la fourgonnette de l’Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale. Les hommes en blancs commencèrent à marquer les premiers étuis au sol devant la porte d’entrée. D’autres passaient la porte au crible, exhumant les contours de l’empreinte, analysant les traces de la déflagration autour de la poignée.

— Vasseur, je te laisse gérer le labo et le légiste, j’appelle le lieutenant.

— OK. On a une femme 25-30 ans, un homme du même âge et un enfant, peut-être de trois ans. Je te tiens au jus.

Le major passa dans la cuisine vierge de tout carnage et resta sans bouger. Il consulta une dernière fois son pad avant de composer le numéro de son supérieur hiérarchique.

— Mon lieutenant, il nous manque deux victimes. On a bien deux décès par arme à feu et j’attends des nouvelles du tireur présumé qui a retourné l’arme contre lui. Il est bien amoché et selon les docs le pronostic vital est engagé. Que dit l’Agent IA ?

— On reste à quatre victimes et un État Critique. Passez le jardin au peigne fin. La voiture du suspect ?

— Le labo est dessus et visiblement y’a rien.

L’adjudante Vasseur arriva à ce moment-là, tout en consultant son Pad au poignet.

— Le numéro de série du calibre 12 correspond à celui du père ! Pour le FNA, il est toujours chez la mère du tireur. J’ai l’adresse.

— Lieutenant, vous avez entendu ?

— Oui, filez chez les parents, ils sont peut-être nos deux premières victimes.


Le major interpella quelques subalternes pour gérer les lieux et prit place avec l’adjudante dans la voiture.

— Fonce Vasseur et fais voir l’adresse.

L’adjudante fit pivoter son poignet et le major y colla son Pad pour récupérer les données par AirDrop. Il cala son oreillette pour joindre le central tandis que la voiture filait le long de l’Adour, gyrophares bleus allumés et deux tons couvrant le cri du moteur.


5H 1EC


La voiture remontait une allée bordée de pins des Landes. En d’autres circonstances, la vue pouvait paraître agréable et reposante.

— Y’a un truc qui colle pas major.

— Vas-y.

— Pour le fichier des armes, le fusil est au père. Mais, regardez le PAD, le père est mort depuis trois ans. Pourquoi 4H si le tireur n’est pas encore mort ?

— C’est pas pour rien que je l’appelle l’AgentIAne… Mais ça reste une indication. Ou peut-être cette saloperie d’IA sait qu’il va mourrir. La Femme, l’enfant, le père et sa mère, ça fait quatre pour elle.

— Alors pourquoi l’état critique ?

L’adjudante arrêta la voiture près de la porte principale. Le deux tons coupé laissait le silence se répandre autour d’eux. Les deux gendarmes se dirigeaient alors avec précaution vers les escaliers du fronton quand la porte s’ouvrit au devant d’eux.

— C’est quoi c’t’affaire avec vos lumières ! J’ai cru qu’une soucoupe venait d’atterrir dans mon jardin !

— Heu, bonjour Madame. Gendarmerie Nationale, vous êtes bien Madame Marguerite Baravon ?

— Oui, monsieur, et vous ?

— Major Alexandre Foley et voici l’adjudante Clarisse Vasseur. Est-ce que vous allez bien ?

— Oui, monsieur, et vous ?

L’adjudante esquissa un sourire tout en jetant un œil dans l’interstice laissé par la porte ouverte.

— Je vais bien également. Lucien Baravon est-il votre fils ? Amélie votre belle fille ?

— Qu’est-ce qu’il a encore fait ce garnement ? Il a vendu ses herbes ?

— Pouvons-nous entrez madame Baravon, nous voudrions être certains que tout va bien chez vous et nous avons quelques questions à vous poser.

— Ho ! Si vous voulez, mais essuyez vos chaussures !


Couverte par la carrure du major, l’adjudante gardait une main sur la crosse de son SIG. Elle écoutait tout ce que la vielle dame ne disait pas et tout ce que les bruits de la maison laissaient entendre.

— J’ai fait du thé. Je fais toujours du thé à cette heure.

— Ça ira, madame, répondit le major, tout en constatant l’absence d’un fusil sur le râtelier du mur de la cheminée. Tiens, il ne vous manquerait pas quelque chose là, sur la cheminée ?

— Ho ! Vous êtes bien observateur jeune homme. J’avais pas vu. C’est pour ça que vous êtes là ? Sur quelles poules il a tiré encore ?

— Vous parlez de Lucien, votre fils ?

— Oui, il faisait ça quand il était petit. Il a été grondé vous savez. Alors, il en a tué combien cette fois ?

— Aucune gallinacée, madame, mais selon la loi Précrime, je dois vous signifier que votre fils va être mis en examen pour quatre homicides et selon l’amendement Retail, un cinquième lui sera imputé par précognition, que la victime décède ou pas. En l’occurence, il s’agit de lui-même, en état critique selon les médecins.

Le major observait la réaction de la vieille dame, tandis que l’adjudante l’aidait à s’assoir sur un fauteuil recouvert de pièces de tricots multicolores.

— Jésus, Marie, Joseph, expira Marguerite Baravon tout en s’effondrant sur le fauteuil. C’est pas possible. Pas mon petit Lucien.

— Il a ouvert le feu sur sa femme et sur son enfant avant de tenter de se suicider.

— Mais pourquoi lui mettre tant sur le dos alors ?

— La loi 2032 du ministre Retail, madame. Toutes les victimes dénombrées, celles à venir ou prévues par son auteur sont jugées comme effectives.

— Mais c’est qui les autres ?

— Justement, madame, nous les cherchons et je ne vous cache pas que nous pensions que vous étiez l’une d’elles.

— Non, non, non, pas moi.

— Personne d’autre n’est avec vous ?

— Non, je suis seule. Mon pari est parti il y a trois ans, vous savez.

— Permettez que je prenne des nouvelles de votre fils ?

— S’il vous plait.

Le major consulta son Pad, mais l’icône d’absence de réseau clignotait.

— Un endroit où le téléphone passe madame ?

— Au bout de l’allée. Le préposé des télécom nous a coupé notre téléphone à fil pour nous dire que le moderne ne passe qu’au bout du chemin.

— Bien madame, je vous laisse quelques instants avec l’adjudante Clarisse Vasseur et je reviens vers vous.


Le major sortit en ajustant son oreillette tout en consultant son Pad à la recherche d’un réseau. Il remonta une centaine de mètres avant de voir apparaitre les premières barres. Aucune notification d’urgence, aucune mise à jour. Il composa le numéro de son lieutenant qui répondit immédiatement.

— Foley ! Alors ?

— La mère du tireur va bien. Ça nous laisse donc un problème de comptabilité avec les victimes.

— Pas tout à fait, Amélie Baravon était enceinte, des jumeaux.

— Merde. Ça fait effectivement 4H et 1EC. Je m’incline, la gentiane avait raison. De ce fait, Lucien Baravon est toujours en EC ?

— Oui, toujours en état critique. Par contre, on a trouvé des traces vertes sur ses doigts. J’attends les résultats de l’analyse toxicologique.

— Sa mère nous a lâché qu’il touchait à l’herbe. Ça peut être ça ?

— Herbe ou toxique, on verra. Attends, j’ai une mise à jour IA.

Le lieutenant regardait défiler les lignes de mise à jour sur son écran :


> Procédure n° 2025/924 – Homicides volontaires (art. 221-1 et suivants CP – art. 1 Loi Retail)

> Code orange - 4H - 9 Quai Jean Vasse 40100 GASC

> Mise à jour : 4H 1EC (auteur)

> Mise à jour : 5H 1EC (auteur)


— Putain 5H !

— Lucien Baravon ?

— Non, j’ai 5H 1EC !

— La vielle ! Elle boit du thé toujours à cette heure ! Il aurait empoisonné son thé ? J’ai pas de réseau chez elle, je vous laisse gérer l’ambulance ! Je vous rappelle !


Le major se mit à courir vers la maison. Un cent mètres qui prenait des allures d’un quatre cents, mais chaque pas martelait au major qu’il ne devait plus ironiser sur les capacités précognitives de l’Agent IA. Il sauta pratiquement les cinq marches avant de s’engouffrer dans la maison. Au moment où il entra dans le salon, l’ordinateur affichait une nouvelle mise à jour.


> Procédure n° 2025/924 – Homicides volontaires sur cinq personnes (art. 221-1 et suivants CP – art. 1 Loi Retail)

> Code orange - 4H - 9 Quai Jean Vasse 40100 GASC

> Mise à jour : 4H 1EC (auteur)

> Mise à jour : 5H 1EC (auteur)

> Mise à jour : 5H 2EC


H6 2EC


La douleur était insupportable. L’aiguille à tricoter s’était enfoncée profondément au travers de l’un de ses poumons. Et, pendant qu’il s’affaissait lentement à côté du fauteuil, Marguerite Baravon le regardait avec un sourire diabolique. Une fois allongé au sol, il vit le corps de sa collègue, une autre aiguille à tricoter enfoncée de moitié dans l’une de ses oreilles. Son assaillante vînt s’accroupir sur lui tout en le désarmant.

— Je vais t’dire ce qui t’manque mon gars, en dehors de ton gilet pare-balle, c’est une bonne chatte au milieu d’ta paire de couilles.

Le souffle méphitique de la vieille avait la pestilence d’une démence prédatrice, carnassière, mais il restait le bienvenu pour tenter de soulever ses poumons perforés.

— T’as l’air complètement perdu mon pauvre. Le coup d’la vieille, tu l’as pas vu venir hein ! Mais vu c’que tu m’as balancé sur votre IA, va falloir que je mette les voiles. Ça avance trop vite votre truc.

Le major tentait de se raidir afin de tenir le plus longtemps possible. Ce qu’il craignait avant tout était que Marguerite lui retire l’aiguille pour précipiter sa mort. Alors, il la regardait en exagérant son incompréhension. Il devait gagner du temps pour que l’ambulance soit finalement pour lui.

— Puisque t’es foutu et qu’un jour votre saloperie d’IA va probablement recoller les morceaux, j’vais dire le truc. Le Serge était un vrai salopard. Son fils n’a jamais rien fait pour me tirer de ses griffes. Il a fallu que j’men occupe moi-même. Et oui ! Alors, le p’tit con qu’est son portrait craché j’allais pas le laisser s’en tirer avec sa jolie garce.

Le major n’écoutait qu’à moitié. Il essayait de contrôler sa toux, mais les premières quintes se manifestèrent. Un filet sanguin mousseux s’échappa de sa bouche dont les lèvres prenaient une teinte bleue.

— Reste encore un peu avec moi mon mignon. J’ai mis trois ans pour farcir la tête de conneries au mioche à propos de sa poule. Et cette conne, elle m’a bien aidée en se faisant engrosser. Convaincre le morveux qu’elle s’était envoyée en l’air avec son patron a été tellement facile ! Il est tombé dans le panneau plus vite que je l’espérais, convaincu que les mouflets à venir n’étaient pas de lui.


Une nouvelle quinte de toux du major projeta du sang sur le visage de Marguerite. Elle n’apprécia absolument pas et lui cracha au visage.

— Ça suffit pour les confidences mon con. Je vais pas te laisser t’en sortir, alors permets-moi de te retirer l’aiguille histoire que tu crèves avant que…

La balle qui projeta la cervelle de Marguerite Baravon ne lui laissa pas l’occasion de finir.

— Ici Bravo 1, suspect maîtrisé, annonça le tireur du GIGN dans son talkie-walkie. Deux gendarmes à terre.

— Reçu Bravo 1. Équipes, verrouillage complet de la zone. Médecins tactiques, avancez vers les gendarmes à terre.

Dans le salon, les lumières des viseurs laser cessèrent de danser sur les murs et les urgentistes prirent rapidement en charge les militaires. Le major Foley eut juste le temps de voir que les médecins prêts de sa collègue confirmaient le décès avant de sombrer dans l’inconscience.


🫆


Le major, pâle et en sueur, était allongé sur le brancard dans l’ambulance. Une médecin urgentiste, un infirmier et un ambulancier s’affairent autour de lui.

— Il est en train de faire un hémothorax massif ! Vite, le kit de drainage thoracique !

L’infirmier colla les électrodes sur la poitrine du major.

— Je branche le scope, je vous donne la saturation, 78 % en oxygène, fréquence cardiaque à 140, tension à 8/5. Il est en choc hémorragique.

L’ambulancier cherchait une veine accessible.

— Je pose une voie veineuse 14G, je balance du Ringer Lactate en large. Vous voulez que je prévienne le bloc pour une thoracotomie en urgence ?

La médecin secoua la tête en fronçant les sourcils.

— Trop tard pour le bloc, il va décompenser avant.

Elle palpa le cou du gendarme.

— Pouls carotidien filant. Tamponnade ! Préparez l’intubation !

— Sat’ à 70 %, lança l’infirmier. Il désature ! Je lui mets 15 litres d’O₂, je monte la FiO₂ à 100 %.

La médecin opina du chef.

— Merde, il perd sa voie veineuse. 1 mg d’adré en IO !

Couvrant le hurlement de la sirène, le moniteur cardiaque se mit à biper de manière erratique.

— FV ! cria l’ambulancier. Je charge le défib’ ! Il acheva de déchirer la chemise du major et plaça les palettes. Tout le monde en arrière ! Clair !

Le corps du major sursauta, mais le moniteur afficha une ligne désespérément plate. L’infirmier vérifia le pouls carotidien.

— Plus de pouls. Asystolie.

Le médecin commença le massage cardiaque.

— 1, 2, 3, 4…

Toujours rien.

— Adré 1 mg, atropine 3 mg !

— Putain, il saigne de partout, siffla l’ambulancier. C’est noirâtre !

— L’aiguille a dû aller jusqu’à l’aorte, constata la médecin. Pas de chance, vraiment.

— Toujours asystolie. On continue ?

La médecin regarda le corps sanguinolent et consulta sa montre en secouant la tête.

— Arrêt des manœuvres. Heure du décès 17 h 58.

Les trois urgentistes se sentir penaud autour du corps du major Foley.

— Pour le procès-verbal. Décès par hémorragie interne massive secondaire à une plaie pénétrante du thorax, avec arrêt cardio-respiratoire réfractaire.


L’ambulance décèlera. Les sirènes laissèrent place au silence relatif de la circulation. À quelques kilomètres de là, l’ordinateur du bureau du lieutenant Nolan émit quelques bips avant d’afficher une mise à jour sur l’écran.


> Procédure n° 2025/924 – Homicides volontaires (art. 221-1 et suivants CP – art. 1 Loi Retail)

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> Mise à jour : 5H 1EC (auteur)

> Mise à jour : 5H 2EC

> Mise à jour : 8H


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Crédit couverture : Rohan,Unsplash.

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📚 : jcmojard.fr



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