Au-delà des cimes des toîts
Au-delà des cimes des toîts
Paris, 22 août
Je marchais d’un pas rapide, car le temps me manquait. Il me semblait décidément impossible d’arriver à l’heure pour une entrevue. Pourtant, tout avait si bien commencé. Je m’étais réveillée à 7 heures tapantes, j’avais même eu le temps de savourer un solide petit-déjeuner sur ma terrasse, le soleil jouant avec mes cheveux couleur tangerine. En sortant de chez moi, les choses s’étaient gâtées. J'étais entrée en collision avec Râleur, le chien-robot chargé de la dépollution des trottoirs de ma rue, dans le quartier du Marais. Je l’avais surnommé ainsi, car il se mettait à aboyer dès qu’un être vivant se retrouvait imprudemment sur son chemin ou laissait tomber un papier sur le sol. Les chiens-robots nettoyaient les rues avec assiduité, tandis que les robots-marsouins
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Erwann Avalach 10 mesi fa
Je viens de découvrir ce mot de paréidolie. Je crois que je vais le conserver à mon tour dans ma besace.
Risperdalice 10 mesi fa
Je l’avais intégré à mon histoire car je venais de le découvrir à l’époque également :) (ce texte a été écrit vers mai 2020)
Franck Labat 11 mesi fa
Si seulement...
Risperdalice 11 mesi fa
c’est beau de rêver…
Franck Labat 11 mesi fa
Oh, je fais ça tout le temps (rêver), mais malheureusement, ça reste de la science FICTION...