J’ai pas vu l’année se passer.
Je l’ai pas assez regardé.
On a déjà dépassé juillet ?
Combien de mois ma tête à effacé ?
Nous sommes en août c’est bientôt la fin de l’été.
De l’été, j’ai rien fait.
Je provoque pas j’entends le succès.
Même si ça n’arrivera sans doute jamais.
Je ne crois plus en mes rêves.
Et je suis trop vieux pour en refaire.
Qu’est-c’que j’ai peur de l’échec.
J’ai tendance moi-même à me priver de la fête.
J’essaye d’être positif.
Mais à long-terme c’est difficile.
Dans ma tête la comparaison est automatique.
Vingt-et-un ans… j’déteste mon anniv !
Je veux pas qu’on parle d’avenir.
D’jà l’présent n’est pas acquis.
R’garde la vie elle passe vite.
Flemme de faire un taff qui pousse p’t’être au suicide.
Je ne crois plus en mes rêves.
Et je suis trop vieux pour en refaire.
Qu’est-c’que j’ai peur de l’échec.
J’ai tendance moi-même à me priver de la fête.
1650 textes quand est-c’ j’vais cesser ?
Jamais ! Je m’appelle verligne.
Je commence tout juste à exister,
Donc, veillez à me laisser tranquille !
J’ai l’temps j’ai l’temps en fait j’suis p’tit.
En fait elles sont pas si grosses mes plaies.
J’m’améliore dans la ive et puis dans mes écrits.
À force j’te promets qu’un jour tu vas m’appeler.
Je crois toujours en mes rêves.
Et je suis jeune pour en refaire
Qu’est-c’que j’ai peur de l’échec.
J’vais tout tenter pour éviter q’des regrets restent.