Quo vadis ?
Quo vadis ?
En pauvre lygie
Encornée par un blanc auroch
Mes flancs s’effondrent, affaiblis
Sous mes râles battant la breloque
Il y a un plaisir à être malmené
Et laisser ton amour m’éviscérer
Mais s’estompent aussi les magies
Fatalement foudroyées du sort de l’ennui
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