haum ha nash aya
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haum ha nash aya
À force d'écrire les larmes de ma vie,
j'étreindrais les flammes de l'oubli.
Égaré, emmerdé, le raisonment entravé, je dérive,
je subis l'amour fou, mais je n'en suis plus un bouc émissaire.
Tout était en moi et je ne le savais pas.
Je ne suis contre personne et l'amour n'est qu'une illusion, un mirage, une chimère.
Au fond de mon être je n'éxiste pas.
Au fond de moi, je ne sais plus quoi penser.
Destin cruel d'un être perpétuellement assassiné.
Quel avenir pour demain ?
Je n'y croie pas et l'art est une hydre qui me pompe le pouvoir.
Je m'accroche, j'insulte, je perssifle et je ne m'en sors pas.
De mal en bien et de bien en mal mes humeurs sont incontrôlables.
À la haine et au mépris ça fait 13 ans que je t'allumes, mais tu m'ignores toujours..
De bien en mal je me rempli de ma compréhension de l'amour sombre
Je me nourris d'amitié, j'ai besoin d'amitiés.
Faucheurs de libido, allez vous-en ailleurs.
Mercenaire et condamné je fais la guerre aux esprits malins.
Démissionaire et fou à lier je ne sais pas quoi faire de mes journées.
Enfin libre d'aller où je le souhaîte, je reprends ma liberté après avoir tellement pratiqué le jyhad du chaos.
Je me retire et prends ma vie d'écrivain sorcier en place au Valhala
L 'existence est une merveilleuse chose et on en dispose que d'une.
Je me suis sabré les pensées tant d'années que j'en avais brisé mon âme sur l'autel du chaos.
Guerre métaphysique mais pas térrienne, les fanatiques ne peuvent pas le comprendre.
Je conspire à l'écart dans mon satori.
Surtout je respires enfin, Chaoïste et Rinzai, seul shikantatza et wipassana m'aident à y voir clair dans ce bordel que sont mes vies.
On m'enferme, on m'interne mais je reviens chaque fois plus puissant et déterminé contre les fascistes de l'asile psychiatrique.
Mon amour est suprème, je le comprends maintenant : c'est mon pouvoir que de ne pas me laisser aimer, de saborder toute histoire qui sent la mort.
Tapis dans mon sanctuaire, j'ai pris le maquis et me fais respecter autant que je peux mais je reste le seul wiccan dans cette ville morte.
Intemporel, j'asservis ces hyprocrites à mon silence sacré, ensuite je vérrais quoi faire.
Ma vie de Dyho, personne ne me l'enleveras et au fond de mom âme je sais que tôt ou tard je trouverais ma Dyha.
En weekend perpétuel depuis si longtemps j'occupe mes journées à boire du thé ; composer, et rédiger mon livre dont je pose les rush sur ce blog,
Tel un cut-up beatnick, écriture sincère et vengeresse.
Perfide insomnie qui m'enpêche de dormir ou d'exister en magicien heureux.
Paris est violente envers moi alors je me rends ailleurs : à Paname.
Je suis en weekend depuis l'éthérité.
Tes orreilles saignent, ton souffle fuit et je suis là à te ridiculiser depuis un nombre incalculable de saisons.
Magistral, je m'étais trompé : il ne faut pas être illuminé mais sublime, corrosif et médisant voire impitoyable envers les violeurs d'intentions..
Ma vie n'est qu'un livre à rédiger, un label à former et un jyhad court-circuité. Je reste un rasta blanc, un païen urbain.
Au final un être humain schizophrêne et dément.
Ma hargne se répend dans le médiasphère et je sais que les iwas, djinns et autres halfs sont à mes côtés pour me voir enfin exister.