Hehyrath Asherah
Su Panodyssey puoi leggere fino a 10 pubblicazioni al mese senza effettuare il login. Divertiti 9 articles da scoprire questo mese.
Per avere accesso illimitato ai contenuti, accedi o crea un account cliccando qui sotto: è gratis!
Accedi
Hehyrath Asherah
j'ai tout donné.
pour toi j'aurais tout laissé.
mais tu m'as trahi alors tout est fini.
toutes ces années je me suis exposé dans la brume,
pour toi j'ai délaissé famille et amis.
j'ai tout perdu mais obtenu,
la force de la chaos.
tout était là mais il fallait que je meure,
puis renaitre accompagné de toi.
hier où j'étais ?
au paradis des sans terres.
j'ai recherché pouvoir et démantelé mon savoir pour entre-apercevoir une vérité.
chaos magick autour des lettres insensées,
elles sont en moi, ma confiance intime lorsque je griffe la réalité.
portée occulte de la musique des sphères subliminales en clefs de rouah.
maintenant je reste là mais j'ai vu des infra-mondes,
des endroits où l'on ne m'attendais pas,
j'en suis revenu hors de moi, shaman à camisolé à 18ans pour voir la nuit de mes 19 à l'asile
nyabinghi brisé je me suis suicidé.
pour revenir 24 ans plus tard en dévot soldat de Vanadiz,
runester révélé, adepte vitki auto-initié
mais aussi skalde confirmé où d'outre-tombe je suis tel un Wottan :
je me suis laissé tombé pour apprendre à me soigner.
chaoïsme, lumière,
aucun dieu n'est éternel.
catholicisme, secte infernale qui se croit tout permis
Jeshua n'est pas mon prophète,
je suis ma propre poèsie.
pénombre, souffrance
ici rien n'est réel.
et on s'engraine les uns les autres sur des chemins de déviance.
toute logique est inutile tant la vie est ténèbres, et les archanges en fait des archontes du Démiurge,
mais au dessus de lui s'élève Asherah dans son Plerôme,
je sais qu'elle me sauvera d'ici à l'Akashah,
là où je suis le surnaturel me préserve de vous Djoons et Shaytans
et mon Daïmon reste vigile pour vous faire taire.
car nous sommes des potes à Lucifer....
à l'unisson des éléments rien à ses chœurs indemmes.
et où s'achèvent les sens commence la conscience.
là où l'on encre son amesprit, là où s'arrête la vie.