CHAPITRE III
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CHAPITRE III
AVERTISSEMENT : SUJET SENSIBLE / SUICIDE/DEUIL
Chapitre III : Renouveau pour le meilleur ?
Fut un moment où j’étais obligé de retourner au lycée, je ne pouvais plus me cacher, mes pairs me
regarde avec effrois, d’autre me disent « on sait Théo, on sait ce que tu as fait ! » ces mots accusateurs mis ensemble était comme une bombe, comment savait-il ? Je compris que c’était la CPE qui a dit à ma classe de bien m’accueillir car « il a fait une tentative », maintenant, j'avais l’école qui se fichait de moi, j’étais seul en classe, à la récréation, partout. Je continue mon année scolaire il
Il faut bien le faire, il faut bien étudier pour savoir que faire plus tard. Je ne sais pas, à cet instant mon unique but était de vivre chaque jour, chaque heure, donc je ne me préoccupais pas du lendemain ou encore de mon futur lointain. J’ai fait par la suite une classe spéciale pour enfant en difficulté même si je n’étais pas difficulté scolaire, cela m’a permis de me reposer un peu et de réfléchir à ma relation avec mes parents par exemple.
*
Mes parents m’aident oui, mais pas comme il faudrait en même temps qui saurait aider une personne en détresse mentale ? J’avais beau leur expliquer le foutoir qu’était ma tête, ils me disaient " bouge-toi, fait un effort !" Is ne me comprenait vraisemblablement pas, ma sœur qui normalement devrait être me mon « côté » là se foutait de moi en disant « tiens voilà le dépressif » ou d’autre foutaise de ce genre. Entendu, non, je ne l’étais pas. D’autres idées noires me venait à l’esprit, car pour moi, il ne restait plus que cette solution encore, encore et encore. Mon esprit était comme enfermé dans cette agitation permanente, par la même occasion mon père Marc me dit « c’est bien, tu vas avoir des antidépresseurs, il y a que cela qui marche sur toi puisque tu ne fais aucun effort » oui, j'allais avoir des antidépresseurs, car mon psychiatre me les a prescrits, cela m’aidait, au début...
J’ai pris ces antidépresseurs pendant huit mois, cela ne s’améliorait pas, comme ces soirs ou coucher sur mon lit, j'entendais mes parents parler en fond, je regardais mon plafond vide de sens, comme en état d’ébriété, mon corps ne me répondait plus, j'étais couché et enfermé en moi-même.