Terrorisme et cohésion nationale
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Terrorisme et cohésion nationale
« Nécessaire et inexcusable, ainsi le meurtre leur apparaissait ». Dans Les Justes (1949), Albert Camus met en scène le révolutionnaire Kaliayev qui renonce à son entreprise terroriste d'assassiner le grand-duc Serge en raison de la présence d'enfants dans sa calèche. Kaliayev n'est pas prêt à aliéner les valeurs humanistes qui l'imprègnent même si la cause qui l'anime vise un plus grand bien pour le peuple tout entier. Il remarque en outre qu'une atteinte à des enfants innocents pourrait empêcher la nation de supporter sa cause. Le terrorisme est ici vu comme un moyen nécessaire, bien qu'inexcusable, d'améliorer le sort et l'unité de la nation. Toutefois, le terrorisme semble avoir changé de visage depuis quelques décennies et vise à inspirer la peur pour déstabiliser les régimes
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