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La censure associative pour stigmatiser les minorités est une narration régulière
Il existe clairement des précédents comparables au cas français (avec la dissolution du CCIF) — où l’État a ciblé des associations de défense civique sous prétexte de sécurité, d’ordre public ou de « loyauté républicaine ». Les leçons à tirer sont assez dures : ces pratiques créent un vide démocratique, un brouillard statistique, et souvent un effet boomerang.
Exemples internationaux pertinents
1. Russie – ONG qualifiées « agents étrangers »
Depuis 2012, toute ONG recevant un financement extérieur et jugée « politique » a été stigmatisée et souvent forcée de fermer. Résultat : effondrement des capacités de monitoring indépendant (droits humains, minorités, violences policières). Le pays s’est retrouvé dans une quasi-opacité statistique.
2. Inde


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