Craindrions-nous de mourir au point de cesser de vivre ?
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Craindrions-nous de mourir au point de cesser de vivre ?
Les masques sont en train de tomber
Pas (encore) les « suffocateurs » portés par les foules qui se sont laissé convaincre d’entrer en quasi-religion en s’affublant d’un « voile » covidiste, au motif que ce geste barreau sauverait des vies…. surtout entre personnes en bonne santé (snif). Non, je parle des masques de vertu qu’ont arboré sans vergogne jusqu’il y a peu nos dirigeants lorsqu’ils tentaient encore de nous faire croire que les mesures liberticides qu’ils nous imposaient étaient pour notre bien et que nous faisions acte de civisme en les respectant. Prétendument pour des motifs sanitaires, voulaient-ils nous faire avaler, en même temps que nos miasmes et notre CO2 exhalés et régurgités en boucle grâce au bout de tissu entravant nos orifices respiratoires.
Ce n’est pas tant parce que les statistiques indiquent désormais que les régions ou pays qui ont infligé les confinements, masques, couvre-feu, tests PCR, etc…. ne s’en tiraient pas mieux sur le plan de la santé (et bien plus mal sur le plan économique et moral) que ceux qui ne les ont pas imposés, qu’il est devenu moins opportun, stratégiquement parlant, d’insister outre-mesure sur leur nécessité. Pourtant la dernière étude, qui a porté sur des dizaines de millions de sujets, a démontré que les personnes asymptomatiques, y-compris testées positives (certes par la méthode des tests PCR aujourd’hui contestée même par l’OMS) ne sont pas contagieuses. A partir de là, porter des masques entre personnes non symptomatiques devrait en toute logique se limiter aux bals masqués qui, paradoxalement d’ailleurs, restent interdits. Car s’amuser avec trop de monde n’est plus toléré de nos jours. A moins de considérer, sans doute avec justesse (et une pointe de cynisme), que c’est notre monde actuel qui a tourné à la mascarade généralisée, à un bal masqué planétaire où les princes et princesses ont été remplacés par des moutons et des autruches.
Car nos caciques ne cherchent même plus à prétendre qu’il y aurait encore un enjeu sanitaire suffisant pour continuer cette mascarade. Non, car la partie a évolué. On est dorénavant passé à l’étape suivante : celle de l’introduction du passeport sanitaire, qu’on ne se donne même plus la peine d’appeler sanitaire, puisqu’on le dote maintenant de l'adjectif « vert », comme si cela faisait plus écologique ou positif (c’est vrai que de l’appeler passeport rouge, n’aurait vraisemblablement pas reçu l’aval de ces consultants que nos gouvernements rémunèrent à grands frais pour mieux faire passer leurs « messages »). Et puis vert, ça fait penser à feu vert, cette symbolique du « allez-y, vous pouvez passer » que tout bon citoyen devrait se réjouir d’entendre après qu’on lui ait demandé « Ausweiss, Papiers ! » comme le fait si bien Gérard Jugnot dans Papy fait de la Résistance.
Un scenario minutieusement déroulé
Car l’objectif, sans doute prévu de longue date, est dorénavant de planter un clou supplémentaire dans le cercueil de nos illusions de liberté et de choix, en s’assurant que nous puissions être tracés partout où nous irons. Puisque la transition d’être humain à bête-à-traire ne pouvait raisonnablement s’effectuer en un tournemain, il fallait utiliser une stratégie efficace, mélangeant astucieusement le bâton et la carotte. D’abord le bâton en apeurant les foules et en les menaçant de tous les maux de la terre au nom d’un virus à la mortalité surestimée, puisqu’on sait aujourd’hui qu’il n’a pas causé de surmortalité par rapport aux années précédentes chez les moins de 65 ans. Puis quelques carottes en laissant croire aux masses que le bout du tunnel est proche, avec une entourloupe diablement bien ficelée permettant de faire d’une pierre trois coups : la parodie du vaccin faisant miroiter le retour à la normale et engrangeant simultanément de juteux revenus pour l’industrie pharmaceutique, lui donnant une opportunité unique de tester sur la population des thérapies nouvelles en cours d’approbation - sans encourir de responsabilité en cas de problèmes - et offrant parallèlement aux autorités le tremplin idéal pour promouvoir leur agenda de contrôle des populations au travers du fameux passeport vert.
Imaginez en effet qu’on vous ait dit il y a deux ans que votre gouvernement chéri avait concocté une loi prévoyant que vous ne pourriez plus voyager, aller au théâtre ou au concert ou faire toutes les choses que vous aviez l’habitude de faire, sans présenter un document digital qui démontrerait que vous avez obtempéré à un certain nombre de diktats de l’Etat, à vos risques et périls et à vos frais. Et pas des moindres, puisqu'on parle de diktats touchant à votre intégrité physique et psychologique, en particulier des actes qui supposeraient, aux termes de la loi, que vous y donniez votre consentement éclairé. Vous auriez immanquablement bondi au plafond, n’est-ce pas ?
Bien comprendre la partie qui se joue sous nos yeux
Mais après des mois de maltraitance psychologique et de restrictions de libertés imposées à sa population, brandir la perspective de jouer les prolongations s’est avéré une tactique redoutablement efficace de la part de l'Etat, au point de même pousser certains à faire la queue pour se faire piquer le plus vite possible. Aidés en cela par une campagne de soutien au vaccin et de rabâchage de ses prétendues vertus (prétendues, car les vaccins sont encore en phase expérimentale). Une campagne dont les méthodes pourraient bien offrir aux avocats les munitions nécessaires pour soutenir leurs allégations de crime contre l’Humanité basées sur le Code de Nuremberg, ainsi que le rappelle d’ailleurs une lettre ouverte admirablement rédigée d’un courageux médecin au bien nommé Varan, Sinistre des Maladies (bien que pompeusement appelé et trompeusement connu sous le titre de Ministre des solidarités et de la santé). En effet, apeurée et abreuvée de publicité gouvernementale, la population était-elle encore en mesure de donner son consentement éclairé ?
En attendant, fort de ce constat pavlovien, L’Etat ne prend même plus la peine de prétendre qu’il y aura un retour à la normale puisqu’il affirme dorénavant ouvertement que le vaccin ne donnera aucune garantie d’être protégé contre le virus et ses variants et aucune garantie de ne plus être contagieux. Ainsi l’Etat précise-t-il sans fard qu’il faudra continuer les mesures de distanciation sociale, les masques et tout le tintouin. Le vaccin ne servira qu’à permettre à ceux qui le prennent de circuler librement. Mais bien sûr, il n’est pas obligatoire….
Le but n’était donc pas de gérer au mieux et dans l’intérêt de la population une « guerre », comme l’a appelée le Marron et Manuel qui préside aux destinées de la Gaule (devenue depuis République de la Branle, avec Jean CacheSex comme Premier Sinistre, trop étroit pour dissimuler la burne se cachant derrière, malgré la capote faciale qu’il arbore et semble affectionner, même dans ses rapports avec son maître). Non, le but était de tirer parti d’une situation arrivée à point nommée (mais dont on peut aussi légitimement se demander si elle n’a pas été créée pour l’occasion) afin d’endoctriner une partie suffisante de la population à accepter ce qui aurait été impensable auparavant. A savoir, pas d’inoculade, pas de sortie !
Le marchandage insidieux
Le psychiatre Fréderic Badel a bien décortiqué la partie qui se joue en identifiant deux catégories de citoyens. Ceux qui, de peur, par lassitude ou parce qu’ils ne peuvent envisager, par principe, que l’Etat se comporte comme les faits le démontrent, ont décidé qu’ils feraient ce qui leur sera demandé. Et ceux qui ont décidé qu’ils ne s’en laisseraient pas conter. Les premiers ne seraient pas aptes, selon Badel, à changer d’avis, même si l’Etat leur avouait en pleine face qu’il les avait abusés. On pense au suicide collectif des membres de l’Ordre du Temple Solaire qui, incapables d’avoir un sursaut de dernière minute, dicté par l’instinct de survie, obtempèrent aveuglément à l’injonction finale de leur leader, bien que celle-ci représente par nature même la négation de la vie.
Les seconds, les incrédules, ne seront plus rattrapables par les boniments des autorités. Ils ont compris et toute tentative d’enfumage supplémentaire ne prendra pas. Mais dans les deux cas, L’Etat a réalisé qu’il ne valait plus la peine d’insister plus que de mesure sur la mascarade consistant à nous faire prendre le vaccin comme une solution à un virus. Les premiers en sont en effet déjà convaincus et les deuxièmes ne mordront pas à l’hameçon. D’où le passage à l’étape suivante : faire encore vaguement semblant de prétendre que le vaccin est une bonne chose pour nous, histoire de sauvegarder les apparences, mais axer le débat sur le talon d’Achille des masses, à savoir jouer sur notre crainte de ne plus pouvoir recouvrer certaines libertés, même rabotées, contre la concession recherchée, la vaccination généralisée et le contrôle des populations.
Le vaccin n’est dès lors plus un traitement, mais un sésame pour la liberté, du moins ce qu’il en restera. Car certaines de nous avoir réduits à leur manger dans la main, les autorités ne se cachent même plus de nous expliquer que c’est elles qui se réserveront la prérogative de définir ce qu’elles autoriseront sous ce vocable qu’elles n’ont désormais plus peur d’avoir dévoyé de son sens.
Il est ainsi devenu clair que le virus, et même à certains égards le vaccin, sont devenus des instruments utilisés par nos dirigeants afin de façonner le nouveau monde, selon leur vision, à savoir un monde où les droits et privilèges des citoyens seront non seulement définis par cette classe dirigeante mais également octroyés par elle, mais aux seuls citoyens acceptant de se conformer. Un récent sondage organisé par le CESE (le Conseil Economique Social et Environemental) auprès de 110'000 citoyens en France le montre bien. Si le sondage fait apparaitre que les trois quarts des sondés sont contre le passeport vaccinal, il permet de constater que le 25% des sondés en faveur de son introduction ne le sont pas pour des raisons de santé, mais bien dans l'espoir de pouvoir circuler librement à nouveau. On aurait pu penser que 25% des sondés croyaient au vaccin parce qu'il pemettrait de se protéger d'un virus, alors qu'en réalité, même ceux prêts à le prendre n'ont pas la naïveté d'y être favorable pour des raisons de santé, mais uniquement parce qu'ils conservent l'espoir de regagner leur liberté. Fort de ce constat, on peut considérer que tout est dit sur l'étendue de la mascarade du processus vaccinal.
La vaccination ne saurait causer de discriminations, dit la Loi
Nos gouvernements savent pourtant pertinemment que cet odieux marchandage est non seulement immoral mais surtout illégal. L'assemblée parlementaire européenne ne vient-elle pas de voter en janvier dernier à 115 voix pour 2 contre et 13 abstentions un texte de loi sur le Covid-19 qui s’impose à tous les états membres ? Cette nouvelle législation européenne, à la portée pourtant conséquente, est passée complètement "inaperçue" dans les médias dominants (on se demande pourquoi), alors qu’elle contient au moins deux articles qu'il convenait de signaler :
- La résolution 2361 adoptée le 28/1 par le Conseil de l’Europe stipule en l’article 7.3.1 que la vaccination NE DEVRA PAS ÊTRE OBLIGATOIRE et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres, pour se faire vacciner, si il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.
- L’article 7.3.2 stipule que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.
Il est primordial de connaître et de faire connaître ces dispositions. Soit pour prendre la pleine mesure de nos droits, si jamais le projet illégal de "passeport sanitaire" était poussé plus loin. Soit pour comprendre que de se faire vacciner de peur de ne plus pouvoir circuler à l'avenir ne fait aucun sens sur le plan juridique. Soit enfin pour prendre conscience une fois pour toute de la malhonnêteté de nos dirigeants et des Merdias qui continuent d'affirmer que nous devons aller vers un passeport vaccinal alors que les pays qu’ils sont censés servir sont pourtant liés par ces dispositions qui ne les autorisent pas à avoir ce discours.
Les autorités ont beau prendre leurs précautions en affirmant que le passeport vaccinal tolérera la preuve de votre bonne santé par tests PCR, à défaut d’exhiber votre certificat vaccinal, il n’en demeure pas moins qu'il leur sera difficile de prétendre qu'il ne serait pas discriminatoire pour ceux qui ne veulent pas se faire vacciner d'exiger de produire des tests PCR négatifs chaque fois qu'ils veulent se déplacer. En effet, les vaccinés (mêmes contagieux ou contaminables) n’auraient à priori pas cette obligation. Et s’ils devaient aussi l'avoir, on pourrait alors se demander pourquoi on les aurait poussés à se faire vacciner en premier lieu.
Anguille sous roche
N’oublions pas non plus que les vaccins disponibles n’ont pour le moment reçu qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, valable un an. Conditionnelle à la démonstration de leur efficacité et innocuité. La réglementation européenne est claire sur ce point. Leur mise sur le marché anticipée est une mesure exceptionnelle justifiée par l’urgence en réponse à des menaces graves pour la santé publique constatée officiellement par un organisme tel que l’OMS. L’article 4 du Règlement de la Commission prévoit aussi et surtout qu’une telle autorisation avant que les labos n’aient fourni toutes les données usuelles n’est possible que pour des médicaments qui répondent à des BESOINS NON SATSIFAITS.
On peut se demander si cette exigence est à mettre en lien avec le fait que, comme par hasard, aucun traitement contre le Covid-19 n’a été reconnu par la Commission Européenne à ce jour, sauf le ……Remdesivir (oui, oui, le traitement qui introduirait des mutations du virus et que l’OMS a lui-même reconnu ne pas être efficace, mais dont la société mère, Gilead, est accusée d'avoir rémunéré de nombreux experts, dont certains siégeant au sein de conseils scientifiques à l’influence apparemment plausible).
En revanche, il n'y a eu aucune approbation des nombreux protocoles ayant fait leur preuve dans le traitement de la maladie, pourtant validés par des milliers de médecins sur le terrain. Ainsi, avec un traitement approuvé qui ne marche pas et des traitements non-approuvés qui marcheraient, l’exigence des « besoins non satisfaits » prévue par le Règlement de la Commission s'en trouverait-elle miraculeusement remplie ? Pour opportunément laisser la voie libre à l’approbation, certes conditionnelle, de thérapies vaccinales expérimentales ?
Et l’on voudrait aujourd’hui généraliser cette vaccination, avant les résultats finaux, au travers d’une obligation de présenter un passeport vaccinal pour avoir le droit de circuler librement, tout en ayant le toupet d’affirmer que cette mesure ne serait en aucune façon une tentative discriminatoire de contourner l’exigence du caractère non obligatoire du vaccin. Moi qui déteste qu’on me veuille du bien (comme tout le monde, bien sûr) et qui adore en revanche qu’on me prenne pour un imbécile, j’ai le sentiment que nos autorités essaient de marquer un maximum de points sur ce coup-là !
Faut-il aussi faire tomber les têtes, après les masques ?
C’est une habitude bien de chez nous que de vouloir rechercher les coupables, d’avoir besoin de désigner un bouc émissaire pour porter la responsabilité de nos maux. Mais est-ce souhaitable et efficace? S’il s’agit de déverser sa frustration sur autrui, de punir les perpétrateurs pour avoir le plaisir de les voir se balancer au bout d'une corde, le sentiment qui inspirerait de telles motivations ne paraît pas être des plus nobles. Il relève sans doute d’un atavisme malsain hérité de siècles de relations conflictuelles avec le pouvoir, marquées par l’Ère du Poisson (Vive l'arrivée de l'Ère du Verseau alors).
De plus, ce réflexe contribue-t-il peut-être à la hantise que paraissent avoir nos dirigeants de voir la vérité découverte par leurs administrés. Reconnaître ses erreurs semble difficile si la conséquence peut potentiellement vous mener à l’échafaud. Plutôt s’enfoncer dans une fuite en avant, quitte à surenchérir dans le mensonge et la manipulation.
Si la colère ou le désir de justice peuvent sembler légitimes et même souhaitables par moments, ils ne nourrissent pas nécessairement la part d’Humanité en nous qui demande à évoluer vers les valeurs d’altruisme, de partage et d’amour que beaucoup ressentent comme susceptibles de nous mener à l’éveil nécessaire pour nous sauver de nous-mêmes. Et de nous permettre de dépasser les limites des veaux d’or que nous avons érigés en valeurs sociétales – l’argent, le pouvoir, les apparences, la compétition, etc…., malgré les impasses évidentes auxquels ils nous conduisent.
En revanche, s’assurer que les coupables de ce qui pourrait s’avérer un des plus importants crimes perpétré contre l’Humanité depuis la Deuxième Guerre Mondiale ne puissent plus poursuivre ou recommencer leurs méfaits apparaît indispensable. Punir non pas pour assouvir un désir de faire expier le crime mais pour s’assurer que l’Histoire ne se répétera pas. Nous avons bénéficié d’un sursis de quelques décennies après la réaction courageuse des révolutionnaires de mai 68 face à la tyrannie. Nos jeunes devront-ils se soulever à nouveau ou saurons-nous régler la situation autrement, avec fermeté mais sans céder à nos émotions - ou reculer devant nos peurs - pour assurer un rééquilibrage des forces en présence ?
Se poser la bonne question
Il apparait dès lors futile de s’époumoner sur le débat de quel vaccin est le moins mauvais ou si l'on est en présence de thérapies géniques ou pas. Il conviendrait plutôt de se demander si nous irons jusqu'à nous laisser con-vaincre, sous la menace de perdre notre liberté de mouvement, de prendre un traitement, pour le moment en phase d'autorisation conditionnelle, malgré les doutes que l'on puisse aujourd'hui sérieusement avoir quand à son utilité, son efficacité et sa non-dangerosité sur le plan de la santé. On peut en effet se demander si le vaccin est vraiment encore utile à ce stade d'évolution de nos connaissances de la maladie, car il convient d'être assurément malchanceux pour décéder aujourd'hui du Covid-19, avec tous les protocoles de traitements qui ont fait leur preuve (à moins d'avoir de tels facteurs de co-morbidité que même la prise du vaccin pourrait s'avérer dangereuse, les tests sur ces catégories à risques n’ayant pas été entrepris)? Et le vaccin est-il véritablement efficace puisque de l'aveu même des autorités, sa prise ne garantit pas que l'on ne soit plus contagieux ou contagié? Enfin n'est-il pas potentiellement dangereux, car vu le nombre de victimes d'effets secondaires, allant jusqu’au décès, certains pays ont d’ores et déjà décidé de retirer de la circulation au moins un de ces vaccins?
Pourquoi cette question de savoir si nous allons capituler ou pas est-elle essentielle ? Parce que la réponse que nous apporterons pourrait nous définir en tant qu’Humanité, pour les éons à venir, à l’aube d’enjeux qui sans doute de notre vivant n’ont jamais été aussi cruciaux qu’aujourd’hui. Ces enjeux nous mettent en face d’une question finalement simple : qu’est-ce que la Vie pour chacun de nous ? Quel est son sens ou plutôt, à quelle vie aspirons-nous ? A une vie où notre condition d’humain se résume à un numéro de sécurité sociale, un compte en banque, un titre sur une carte de visite et bientôt un statut validé par un passeport vert ? Ne serions-nous que cela, en d’autres termes qu’un numéro que le système voudrait catégoriser, suivre, gérer et actionner selon le bon plaisir de bureaucrates bientôt remplacés par une Intelligence Artificielle, aux mains de quelques sociopathes soucieux de ne pas voir le contrôle de ce système en déliquescence leur échapper ? Soucieux et en même temps arrogants au point de publier sous la plume d’un de leur plus vils sbires un manifeste intitulé le « Great Reset » expliquant par le menu leur projet de nous pucer pour faire de nous à terme des terminaux de Microsoft.
Ne nous trompons pas de combat
Si nous considérons que la vie est tout autre chose, qu’elle est avant tout une bénédiction ou un privilège, celui d’incarner et d’exprimer pleinement, en notre âme et conscience, tout le potentiel de magie de l’Etre dont nous sommes dotés, pouvons-nous concevoir de donner à une poignée d’individus le pouvoir de nous reprendre progressivement tout ce qui compose la Vie dans toute sa beauté ? Le pouvoir de nous amener par la manipulation, la peur, la contrainte, à renoncer à nos prérogatives essentielles d’être humain ? Au point où la crainte de mourir d’un virus nous ferait renier la vie elle-même dans son acceptation fondamentale. Pour la remplacer par un ersatz dont seuls un mental bien déconnecté du cœur pourrait se convaincre qu’il s’agit encore d’une vie, toujours préférable au pire scénario que ses projections l'amèneraient à envisager ! Sûrement sommes-nous nombreux à ne pas estimer que nous en avons été réduits à cette extrémité.
Il est possible que les marionnettistes aux commandes de ce monde à la dérive parviennent à entrainer une partie de l’Humanité dans leur sillage. Mais rien n’empêche ceux qui ne se reconnaitraient pas dans cette dystopie de refuser de jouer une partie où les dés sont pareillement pipés. Et plutôt que de s’évertuer à convaincre des dinosaures de changer ou d’espérer réveiller des congénères en hibernation, pourquoi ne pas simplement dédier nos énergies à créer le nouveau monde auquel il nous est encore permis de rêver. Et qui sait si la force du rêve, quand il est lumineux, ne se révélera pas bien plus puissante que tous les égrégores alimentés par nos parts d’ombre ?
Philippe Szokoloczy-Syllaba, le 15 mars 2021
PS: la rédaction, la validation, la recherche des reférences et des images libres de droit, la mise en page et la publication d'un article me prennent généralement deux jours pleins environ. Je n'entends pas être rémunéré pour ce travail, car le plaisir que je retire de l'écriture est une forme de rémunération en soi. En outre je peux me permettre, encore pour le moment, cette activité sur mon temps libre. De plus les sujets que je prétends aborder me semblent suffisamment importants pour assumer bénévolement la contribution que je tâche d'apporter à une reflexion utile, espérons-le, pour ne pas dire nécessaire, en cette époque charnière.
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Les éco-lieux et projets de Longo Mai https://www.prolongomaif.ch/longo-maï/
Le mouvement Slow Food https://www.slowfood.ch/fr/slow-food