

Lettre d'un battement de tonnerre
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Lettre d'un battement de tonnerre
Ô comme il est terrible d'user d'évanescents et d'autant plus pesants "et si", à la manière des artistes incompris, qui, au travers d'une fenêtre libérée sur le monde, ne le subissent pas. Ô comme j'aimerais, peindre, chanter ou écrire comme ces ivrognes du cœur. Vivre de poésie, de femmes passagères, de vins d'enchère et de vagabondage. Errer sans errer, aller là où souffle le vent, et le respirer différemment ce vent, à chaque saison embrassée, au seuil de terres outrepassées.
Je ne connais aucun poète ; mon environnement s'envahissant depuis la première aube, d'athlètes seulement. Parfois, il m'arrive, au cours de soirées de solitudes violacées, d'entrevoir quelqu'un qui me ressemble et qui poétise l'univers comme s'il l'avait créé. Ces soirées-là, le papier constitue la mémoire, la


Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Cedric Simon il y a 7 mois
Un désespoir musical.
Les mots s'enroulent sur le lecteur, tels des tentacules libérateurs, comme une musique pour un novice, qui en ressent l'intensité sans pouvoir la définir.
Bravo et merci pour cet instant.
Marissa Brugallé il y a 7 mois
Merci beaucoup pour votre écoute et vos mots.
C'est toujours un plaisir de recevoir les sentiments que peuvent procurer ce type d'écriture.
Et ça me ravie !