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Les flots de l'amour

Les flots de l'amour

Publié le 31 août 2025 Mis à jour le 1 sept. 2025 Poésie et chanson
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Les flots de l'amour

À l’origine, elle fut là,

Mais mon regard ne fit que l’effleurer.


Plus tard, elle vient à moi,

Mais mon apprêté se heurta à la bonté de son cœur.


Je continuais avec arrogance mon existence,

Mais avec quelques intentions pour celle qui m’en avait porté.


Puis survient lors d’une semaine l’échec d’une entreprise,

Mais elle cherchait l’amusement, et moi je fuyais la tristesse.


Alors nous nous sommes rencontrés,

Et très vite attiré, au point de nous aimer.


Au fil de nos balades, nous nous rapprochions,

Et de la simple étreinte, aboutit l’union.


Nous plongions dans la passion,

Et mon être sombra dans la jouissance.


Elle émergea la première,

Et je m’y restreignais et tentai de la submerger de nouveau.


Par amour, elle accepta de maintenir cette passion,

Mais la mer finie bien par nous rejeter sur son rivage.


Alors que la réalité subtilise notre amour,

Elle dut partir deux mois à l’étranger.


Nous nous vîmes après quelques semaines en Pologne,

Et jamais alors l’amour ne fut si fort.


Je rentrais confiant malgré son absence,

Mais le mois qui suivit fut un éloignement sans fin.


Je me donnais pleinement à elle,

Mais c’est cela qui me la fit perdre.


Quand elle revint,

J’étais devenu un étranger.


Face à ma détermination

Elle voulut essayer de m’aimer de nouveau.


De cet amour imparfait,

Ne résulta chez moi que de la peine.


Nous jouions impuissant,

La scène de deux amants perdus dans les flots.


Gardant toujours l’espoir que sa flemme se maintienne,

Je m’obstinais et elle souffrait.


Elle que j’admirais pour sa joie et son engouement,

Je l’ai réduite à la tristesse et la fatigue.


Accepter que ma présence lui soit nuisible, sans tenter de la récupérer,

Ce doit être cela l’Amour.



Matteo



Joseph Vernet : "Une tempête avec le naufrage d'un vaisseau", 1770



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