English
Français
Deutsch
Italiano
Español
Mes enregistrements
Apotheose Des Nichts
Publié le 30 juil. 2024
Mis à jour le 30 juil. 2024
Poésie et chanson
1 min
Poésie et chanson
Publié le 30 juil. 2024
Mis à jour le 30 juil. 2024
1 min
2
J'aime
0
J'adore
0
Solidaire
0
Waouh
2 commentaires
51 lectures
Sur Panodyssey, tu peux lire 10 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 9 articles à découvrir ce mois-ci.
Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Apotheose Des Nichts
Contribuer
Un peu d’allemand pour l’exotisme.
Mon camarade de classe Marc venait d’une petite région au nord du Luxembourg où la population parle Allemand. Il jouait dans un groupe de Pagan Black Metal et chantait donc en allemand. Nous étions les deux bêtes curieuses d’une classe de six élèves en section d’art, ce qui est plutôt un bon quotat.
Ce texte délicieusement absurde est très court en raison des particularités des techniques de chant utilisées par Marc. C’est assez difficile même avec une bonne technique et de l’entraînement.
Bei endlos Dunkelheit
Ich singe mein Lied
Orpisch Apotheose
Des unbedingtes Nichts
Nichts ist alles
Dies alles
Zu unbedingte Lüge
Und endloss Warheit
Ich bevorzuge
Die tiefsten Nacht
Nichts ist alles
Dies alles
Illustration : Daniel C. Muriot, tous droits réservés.
Il s’agit d’une publication Prime
Pour en profiter, abonne-toi à la Creative Room
Donkel Liddbuch
de
Daniel Muriot
Tu pourras :
Accéder à des contenus exclusifs et aux archives complètes
Avoir un accès anticipé à des contenus
Commenter les publications de l’auteur et rejoindre la communauté des abonnés
Être notifié à chaque nouvelle publication
S’abonner, c’est soutenir un auteur dans la durée
S’abonner à la Creative Room
51 lectures
2 commentaires
Publication précédente
2 min
Tu peux soutenir les auteurs qui te tiennent à coeur
Jackie H il y a 4 mois
Très sombre,je dirai même nietzschéen...
Daniel Muriot il y a 4 mois
Mais vous déchiffrez mes références comme si vous étiez dans ma tête, Jackie !