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Le Divin
Enfers

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Publié le 12 déc. 2024 Mis à jour le 12 déc. 2024 Ésotérisme
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Le Divin

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Enfers


Note de l'Auteur

Dans le cadre de la rédaction de cet article, j'ai utilisé l'intelligence artificielle ChatGPT/DALL·E pour la mise en forme, l'illustration et certaines comparaisons. J'ai pris soin de croiser mes sources avec des informations issues de recherches non assistées par l'IA afin de garantir l'exactitude et la rigueur de mon propos. J'emploie une technique personnelle que j'ai nommée "l'assistant censeur et copiste" : je pars du principe que c'est toujours à moi de lui apporter la substantifique moelle. Lui, il rabote, polit et censure. Et cela me convient parfaitement, car mon imaginaire brûlant m'empêchait autrefois de produire des formats courts, qui sont désormais ma lubie !


FEU


Dans le gouffre strident des spirales assombrées,

Les hydres, gargouillant, se mirent en noirs miroirs,

Des chairs, aux os tordus, pourrissent ensombrées,

Tandis que l’âme hurle au fond des roux couloirs.


Aux banquets de Béhémot, les chairs empoisonnées,

S’amassent, lourds fardeaux, dans mille abattoirs,

Là, le poison de Majuj, de lueurs déraisonnées,

Corrompt les lames des bourreaux, horribles reposoirs.


Dans le cycle infernal, des âmes lacérées,

L’on broie jusqu’à la moelle dans sombres territoires,

Les suppliciés, leurs peaux pourrissantes macérées,

Courbent l’échine aux verdicts des vastes prétoires.


Sous l’œil du Très Haut, les haines se font forgées,

Démons et larves dansent parmi les grimoires,

Les injures, dans le sang, s’écoulent gorgées,

Drapant l’enfer des fols échos de mémoires.

-

(À travers la gorge brunâtre des serpents dépecés — bave iridescente, coulant sur des canines d’écume —,

Des membres recousus à l’envers, saignant l’eau claire,

Béhémot rit d’un rire équarrisseur, tandis que Majuj, en crachant sa semence pestilentielle,

Déchire la moelle des anges dégringolant en charpie, herbe pourrie sous les ongles d’un monde infâme.)

-




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