Des orques à Marseille !
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Des orques à Marseille !
La rade de Marseille est un lieu emblématique de la Méditerranée, reconnu pour ses eaux calmes et ses paysages époustouflants. Un couple, Émilie et Thomas, navigue paisiblement sur leur voilier, savourant la tranquillité et la beauté des environs. Le soleil brille haut dans le ciel, et une légère brise marine souffle doucement, gonflant les voiles blanches de leur bateau. L’air est rempli du parfum salin de la mer, et les reflets du soleil dansent sur la surface de l’eau, créant une atmosphère idyllique.
Alors qu’ils avancent tranquillement, Émilie aperçoit au loin un groupe de dauphins qui se rapproche du voilier. « Regarde, Thomas ! Des dauphins ! » s’exclame-t-elle avec enthousiasme. Les dauphins commencent à nager autour du voilier, plongeant et sautant dans un ballet aquatique fascinant. Le couple observe avec émerveillement ces animaux gracieux, enchantés par cette rencontre inattendue.
Soudain, les dauphins deviennent agités et s’éloignent rapidement du voilier, laissant Émilie et Thomas perplexes. « C’est bizarre, pourquoi s’en vont-ils si vite ? » murmure Thomas, légèrement inquiet. Leur inquiétude grandit lorsqu’ils aperçoivent un phénomène rare à l’horizon : plusieurs grandes nageoires dorsales noires tranchent la surface de l’eau. « Oh non ! des orques ! » s’écrie Émilie, la voix tremblante.
Les orques sont très rares dans ces eaux, et encore moins en groupe. L’inquiétude se lit dans les yeux de Thomas tandis qu’il tente de s’éloigner de ces redoutables prédateurs marins. Mais il est trop tard. Le groupe d’orques se dirige droit vers le voilier. Le cœur du couple bat la chamade réalisant l’ampleur du danger. Les orques encerclent rapidement le voilier, et deviennent de plus en plus agressives. Un premier frappe violemment la coque avec sa tête, il fait tanguer le bateau dangereusement. « Accroche-toi ! » crie Thomas en s’agrippant fermement au bastingage.
Les orques semblent coordonner leurs attaques. Ils frappent à tour de rôle le voilier contre la coque. Les forces conjuguées de ces puissants prédateurs endommagent sérieusement le bateau. L’eau commence à pénétrer dans l’habitacle.
Émilie tente frénétiquement d’envoyer un signal de détresse avec la radio, mais les secousses constantes rendent la tâche presque impossible. « Mayday, mayday ! Nous sommes attaqués par des orques dans la rade de Marseille ! » crie-t-elle désespérément dans le microphone. Elle répète l’appel à l’aide plusieurs fois, espérant que quelqu’un l’entendra.
Thomas réalise que le voilier ne tiendra pas longtemps à ce rythme. « Émilie, il faut qu’on quitte le bateau, maintenant ! » hurle-t-il au-dessus du vacarme des coups. Ils se précipitent vers la survie, leurs mouvements précipités par la panique. Avec une coordination désespérée, ils réussissent à déployer le canot et à y monter. Une nouvelle attaque particulièrement violente fait craquer la coque, qui commence à sombrer.
Assis dans le canot, le couple se serre l’un contre l’autre, terrifié. Les orques tournent maintenant autour du canot, mais leur comportement semble avoir changé. Peut-être intrigués par ce nouveau petit bateau ou satisfaits de leur destruction du voilier, ils finissent par s’éloigner lentement, laissant Émilie et Thomas en état de choc, mais vivants. Le couple, tremblant, regarde le voilier couler lentement.
Émilie, la voix tremblante, reprend la radio. « Ici Émilie, nous avons été attaqués par des orques. Nous sommes dans un canot de sauvetage. S’il vous plaît, aidez-nous. » La détresse dans sa voix est palpable, chaque mot empreint d’une urgence désespérée. Après quelques minutes qui semblent une éternité, une réponse grésille dans le haut-parleur : « Émilie, ici les garde-côtes. Nous avons reçu votre signal. Un bateau de secours est en route. Tenez bon. »
Enfin, à l’horizon, ils aperçoivent un bateau des garde-côtes se rapprocher rapidement. Les larmes de soulagement coulent sur les joues d’Émilie. Lorsque les garde-côtes les hissent à bord, ils sont accueillis avec des couvertures chaudes et des mots apaisants. Le couple, épuisé et ébranlé, trouve un semblant de réconfort dans la sécurité.
À l’abri des secours, Émilie et Thomas se tiennent la main, profondément marqués par cette expérience terrifiante. Les eaux calmes de la rade de Marseille, qui semblaient autrefois si accueillantes, ont révélé une face inattendue et impitoyable de la nature.
Ce texte fut rédigé sur ChatGPT de OpenAI de manière interactive en plusieurs passages pour régler la longueur du texte à 5 minutes de lecture orale. Le thème de lancement de l'IA était un voilier dans la rade de Marseille est sujet à une attaque exceptionnelle d'orques...
Photo de Maël BALLAND sur Unsplash