¡Felicidades! Tu apoyo al autor se ha enviado correctamente
 Avec Julien Clerc, la plénitude du « Terrien »

 Avec Julien Clerc, la plénitude du « Terrien »

Publicado el 18, feb, 2021 Actualizado 18, feb, 2021 Música
time 2 min
1
Me encanta
0
Solidaridad
0
Wow
thumb comentario
lecture leer
1
reacción

En Panodyssey, puedes leer hasta 10 publicaciones al mes sin iniciar sesión. Disfruta de 9 articles más para descubrir este mes.

Para obtener acceso ilimitado, inicia sesión o crea una cuenta haciendo clic a continuación, ¡es gratis! Inicar sesión

 Avec Julien Clerc, la plénitude du « Terrien »

« Comment vas-tu ? »

Dans ce nouvel album, avec cet « amour des gens » qui a toujours animé celui qui voulait être « utile », Julien semble s’adresser à nous autres, ses fans… Mais il s’adresse aussi à tous les hommes, et surtout à tous ceux qui ont besoin de réconfort, à « ceux qui se noient », à ceux « qui coulent » ou qui ont « nagé quand le récit s’obscurcit ». À ces « femmes vacillantes », surtout à ces « jeunes filles en feu, brûlées adolescentes », à ces filles de véranda qu’il a toujours aimées, « femmes je vous aime »…  

Par l’image, « Terrien » transporte le connaisseur vers le passé et plus précisément l’album n°7 qui affirmait à sa façon que « souffrir n’était pas souffrir ». Par les textes et par leurs mélodies, « this melody », il offre un « refuge », un terrier, une « petite terre ». Et son « souffle d’air » « transforme l’âme en ruisseau » et le « cœur en bateau »… Il suffit du premier mot, « Emmène-moi », et « dans ma tête et dans mes reins », « je voyage »…

Voyage de plein été en « Terre de France » ou vers cette « soufrière », son « paradis sur mer ». Voyage d’automne tâchant d’effacer ces « cœurs à la craie » dessinés d’une main torturée, dans une cour de récré. Mais il y a derrière ce cœur, les « sanglots longs des violons de l’automne », le son de la voix d’une maitresse d’école dont la « note de cristal grimpe encore, légère et fragile » et capte les échos de La Fontaine, de Victor Hugo et de Paul Verlaine. Une « Mademoiselle » qui « embellit la vie » et qui dit au chanteur et à son auditeur : « tu ne seras pas venu pour rien », « la vraie vie est ailleurs »…

Grâce à elle, il comprend que l’essentiel est invisible pour les yeux et qu’il faut regarder, en même temps que « les montagnes, les neiges éternelles » « la rose et le bourdon », et la rose et le réséda. « Demain, dès l’aube », derrière « les petites sorcières malades », « la brume à l’horizon », « les forêts sombres où nous nous perdons », c’est la promesse « des cerisiers en fleurs », « des sirènes » et du plein soleil d’été. « Let the sunshine » !

lecture 182 lecturas
thumb comentario
1
reacción

Comentario (0)

¿Te gustan las publicaciones de Panodyssey?
¡Apoya a sus escritores independientes!

Seguir descubriendo el universo Música
Jour 23
Jour 23

C'est la MUSIQUE qui adoucit les mœurs, pas le RAP. — Franck Labat

Franck Labat
1 min
PAULOMANIA
PAULOMANIA

PréliminairesCela faisait quelques semaines que la date du 4 décembre me trottait dans la tête. Et p...

Joseph-Marc Francois
2 min
Métronome
Métronome

Un mot d'un dictionnaire, ma définition, votre sourire, ma joie.

Bernard Ducosson
1 min
No Fun
No Fun

Par ici la musique :

Benjamin Mimouni
1 min
Requiem
Requiem

Un mot d'un dictionnaire, ma définition, vôtre sourire, ma joie.Parmi les textes chantés...

Bernard Ducosson
1 min

donate Puedes apoyar a tus escritores favoritos

promo

Download the Panodyssey mobile app