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TEMACOATZL

TEMACOATZL

Publicado el 8, may, 2025 Actualizado 8, may, 2025 Horror
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TEMACOATZL

Quand trois étrangers sont recrutés de force pour enquêter sur une drogue

hallucinogène dans une ville oubliée, ils découvrent que l’ennemi n’est ni humain ni

divin, mais linguistique : une entité ancienne réécrit le monde en infectant la syntaxe

humaine. Ce que vous lisez, vous lit.

PARTIE I — TRAITEMENT ESTHÉTIQUE ET INTENTION

GENRE : Thriller ésotérique / Horreur psychologique / Enquête paranormale

FORMAT : Long-métrage cinéma (100 à 120 minutes)

LANGUE : Français

LIEU : France (transposition imaginaire d’un Maine américain)

INTENTION

*Temacoatzl* est un film limite, un vortex narratif où l’image devient rituel, et le son,

possession. Conçu comme un objet cinématographique toxique, il cherche moins à

raconter qu’à contaminer, moins à divertir qu’à murmurer. C’est un long-métrage d’auteur hybride, fusionnant thriller d’investigation,

horreur chamanique, cybernétique paranoïaque et symbolisme linguistique. Sa géométrie n’est pas linéaire

mais spiralaire, son moteur n’est pas l’action mais la vibration du langage lui-même,

dans sa capacité à devenir autonome, incarné, et hostile.

PITCH SYNTHÉTIQUE

Trois étrangers à eux-mêmes — Alex, un hacker adolescent et mutique ; Simon, un

ésotériste effondré en perte de foi ; Dwight, un ex agent d’élite rongé par la culpabilité

— sont capturés par une cellule clandestine d’Interpol. Leur mission : enquêter sur

une série de disparitions dans une ville oubliée, Piney City. Très vite, l’enquête

rationnelle cède la place à une révélation insidieuse : une drogue artisanale à base

d’insectes, le Big Bug, propage des rêves collectifs connectés à une entité nommée

Temacoatzl. Ni dieu ni bête, Temacoatzl est un verbe autonome, un esprit archaïque

de syntaxe, une contamination lexicale agissant à travers les souvenirs, les visions, les

dialogues. Ceux qui le croisent ne meurent pas — ils se réécrivent.

ESTHÉTIQUE SENSORIELLE

- Textures : suintement, craquelure, fourmillement

- Lieux : forêts industrielles, motels désertés, tunnels vivants, architectures oubliées

- Image : contrastes charnels, lumières mentales, motifs cryptés dans le cadre

- Son : basse vibrante, silence bourdonnant, langue inversée, radios mortes

Chaque plan glisse du réel vers l’obsession. La lumière est consciente. L’espace est

malade. Le cadrage suggère un hors-champ agissant.

THÈMES NOYAUX

- L’émergence du langage comme entité autonome

- La perte de la souveraineté mentale

- Le mythe comme virus refoulé dans les marges du progrès

- La mémoire comme organe contaminable

- La lecture comme acte à double sens

NOTE D’AUTEUR

Je veux un film qui vous lit. Un film qui parasite votre esprit lentement, sans éclat,

mais de manière irréversible. Temacoatzl ne veut pas vous divertir. Il veut vous

écrire.

Chaque scène, chaque son, chaque mot contient une charge rituelle. Les protagonistes

n’en sont pas les héros, mais les relais. Le spectateur n’est pas témoin : il est cible.

Si vous êtes arrivé à la fin de ce document sans fermer les yeux, sans détourner le

regard, alors vous êtes déjà porteur.

Temacoatzl n’est pas un projet. C’est un organisme. Ce fichier est sa première

mutation.

Ce document n’est pas une lecture. C’est une première contagion.

PARTIE II — SCÉNARIO INTÉGRAL AVEC DIALOGUES

"Temacoatzl"

Préambule du Scénariste pour "Temacoatzl"

Le scénario de "Temacoatzl" que vous allez découvrir se distingue par une démarche

artistique singulière : bien que l'histoire s'inspire des paysages et de l'atmosphère du

Maine aux États-Unis, elle est conçue pour être entièrement réalisée en France. Cette

décision n'est pas seulement une question de commodité ou de logistique, mais un

choix délibéré, visant à créer une expérience cinématographique unique.

Notre vision est de faire de "Temacoatzl" un film qui, tout en étant profondément

enraciné dans le cinéma français, offre une interprétation fantasmée et réinventée du

Maine. Les dialogues en français et le tournage en France ne sont pas seulement des

éléments narratifs, mais des outils qui nous permettent de tisser un lien entre deux

mondes : la réalité américaine mythifiée et la sensibilité artistique française.

Cette fusion culturelle et géographique crée une texture narrative riche, une aspérité

visuelle, qui renforce le mystère et l'atmosphère du film. En brouillant les frontières

entre la réalité et la fiction, entre la France et l'Amérique, "Temacoatzl" devient une

terre de mystères et de légendes, sublimée par l'esthétique et la sensibilité du cinéma

français. L'idée du "Maine en France" est au cœur de cette démarche, contribuant à

épaissir le mystère de l'ambiance du film et à créer une aspérité assumée et

heuristique.

En rendant hommage au cinéma américain tout en célébrant les particularités du

cinéma français, "Temacoatzl" aspire à être un film qui se distingue par son

originalité, sa capacité à surprendre, et son approche novatrice de narration. L'objectif

est de capturer l'essence du suspense et de l'aventure caractéristiques des

productions américaines, tout en y infusant la sensibilité, l'humour et l'esthétique

propres au cinéma français.

"Temacoatzl" est donc une invitation à explorer un monde où le passé et le présent, le

réel et l'imaginaire, la France et l'Amérique se rencontrent et se transforment, offrant

ainsi une expérience cinématographique à la fois unique et universelle.

Temacoatzl (Piney City)

SCÈNE 1 : INTRODUCTION D'ALEX KIMBELS DANS SA CHAMBRE - ENLÈVEMENT

INT. CHAMBRE D'ALEX - JOUR

Alex habite une chambre qui est un véritable sanctuaire pour un jeune prodige de

l'informatique. Des affiches de films de science-fiction et de super-héros recouvrent les

murs, tandis que son bureau est un champ de bataille de gadgets technologiques

dernier cri. ALEX KIMBELS, 17 ans, un adolescent au visage fin et aux yeux pétillants

d'intelligence, est absorbé par l'univers virtuel, ses doigts volant sur le clavier.

ALEX : (murmurant avec concentration) "Ce code… Il semble presque prendre vie sous

mes doigts..."

Soudain, un bruit sourd et presque inhumain rompt le calme de la pièce. Alex

sursaute, ses yeux scrutant la pièce, cherchant l'origine du son. La porte de sa

chambre vole en éclats, projetant des fragments de bois dans toutes les directions.

Trois silhouettes massives en tenue paramilitaire noire font irruption, leurs visages

dissimulés derrière des masques, seuls leurs yeux perçants trahissent leur présence.

Une musique tendue et dramatique accompagne leur entrée, intensifiant l'urgence de

la situation.

ALEX : (se levant d'un bond, la voix empreinte de peur) "Qui êtes-vous ? Que

voulez-vous de moi ?"

Le premier homme, un colosse, s'approche d'Alex avec une détermination glaciale. Un

autre, vif comme l'éclair, sort une seringue et injecte rapidement à Alex une substance

énigmatique. Alex résiste, mais ses gestes deviennent lents, ses paupières lourdes.

HOMME PARAMILITAIRE : (parlant dans un talkie-walkie, voix étouffée) "Cible

sécurisée. Exfiltration en cours."

Le colosse soulève Alex sans peine, le portant sur son épaule comme une simple

marionnette. Les autres fouillent la chambre avec précision, effaçant toute trace de

leur passage.

EXT. MAISON D'ALEX - CONTINU

La porte de la maison s'ouvre brusquement. Les hommes en noir se hâtent vers un

véhicule noir stationné discrètement, Alex toujours inerte. La caméra suit leur

mouvement rapide, capturant le visage endormi d'Alex. La tension monte, un mélange

de mystère et d'angoisse enveloppe la scène.

CONCLUSION DE LA SCÈNE

La voiture s'éloigne rapidement, se fondant dans le paysage urbain de l'aube. La

demeure d'Alex demeure silencieuse, témoignant muettement de l'enlèvement

spectaculaire qui vient de se produire. La caméra s'élève pour une vue aérienne,

montrant la voiture s'évanouissant au loin, annonçant le début d'une aventure

périlleuse et inattendue pour Alex. Dans ce monde où réalité et mystère se mêlent, le

jeune homme est emporté vers une destinée incertaine, marquant le début d'un

périple où le danger et l'inconnu seront ses seuls compagnons.

La scène se clôt sur une image aérienne de la voiture s'enfonçant dans le dédale

urbain, un symbole fort du passage d'Alex d'un monde ordinaire à un autre, empreint

de secrets et de défis insoupçonnés. La caméra s'éloigne lentement, laissant le

spectateur avec un sentiment de curiosité palpitante et une anticipation haletante

pour la suite de son histoire.

SCÈNE 2 : INTRODUCTION DE SIMON CARTER DANS SON SALON - ENLÈVEMENT

INT. SALON DE SIMON CARTER - SOIR

Dans le salon de Simon Carter, chaque recoin est un hommage à l'histoire et au

mystère. Les étagères croulent sous le poids de livres anciens et de manuscrits rares.

Grimoires occultes et éditions originales de textes anciens voisinent avec des objets

d'art classiques et des sculptures exotiques, preuves de voyages lointains et d'une vie

dédiée à la quête du savoir.

SIMON CARTER, élégant dans la quarantaine, est absorbé par un épais volume relié

de cuir. Assis dans un fauteuil Chesterfield, symbole de son goût pour le raffinement, il

murmure, fasciné par sa lecture.

SIMON : "Ces textes anciens… un puits sans fond de connaissances..."

Un plan serré dévoile les trésors du salon : une mappemonde antique, un globe céleste

finement ouvragé, des artefacts de cultures lointaines. Les flammes de la cheminée

projettent des ombres dansantes sur les murs, créant une atmosphère vivante et

chaleureuse.

Soudain, un bruit sourd, tel un grondement lointain, rompt le calme. Simon lève les

yeux, intrigué. Les fenêtres éclatent, la porte vole en éclats sous un assaut brutal.

Trois hommes en tenue paramilitaire noire, le visage masqué, équipés de lunettes de

vision nocturne, font irruption. Le temps semble ralentir, la tension atteint son apogée.

SIMON : (se levant, l'air incrédule) "Que diable… ?"

Simon esquive habilement le premier assaillant, révélant une maîtrise inattendue en

autodéfense. Mais les deux autres le maîtrisent rapidement. L'un le saisit fermement,

tandis que l'autre lui administre une injection rapide et précise.

HOMME PARAMILITAIRE #1 : (voix grave et autoritaire) "Cible sécurisée. Procédons

à l'exfiltration."

Simon s'effondre, son regard empli de confusion et de résistance avant de sombrer

dans l'inconscience. Les assaillants, efficaces et silencieux, le soulèvent et s'éclipsent

rapidement.

EXT. MAISON DE SIMON - CONTINU

La tranquillité de la rue contraste fortement avec la violence intérieure. Une berline

noire aux vitres teintées s'échappe dans la nuit. Des voisins, alertés par le bruit,

observent depuis leurs fenêtres, partageant des regards perplexes et inquiets.

CONCLUSION DE LA SCÈNE

La caméra retourne à l'intérieur du salon, désormais vide. Elle se focalise sur le livre

que Simon tenait, tombé au sol, ses pages éparpillées à côté d'un verre de vin

renversé, dont le contenu carmin se répand lentement sur le tapis. Une mélodie

mélancolique et envoûtante s'élève, accentuant l'ambiance de rupture brutale de la

tranquillité et préludant aux énigmes et dangers qui attendent Simon. La scène se

termine sur cette image poignante, laissant présager un périple où secrets et périls

s'entremêlent inextricablement.

SCÈNE 3 : INTRODUCTION D'ALFRED DWIGHT DANS

SA CHAMBRE -

ENLÈVEMENT

INT. CHAMBRE D'ALFRED DWIGHT - NUIT

Dans sa chambre spacieuse baignée d'une lumière tamisée, ALFRED DWIGHT, un

homme dans la quarantaine d'une carrure athlétique et aux traits résolus, repose dans

un sommeil paisible. L'espace, un mélange harmonieux de luxe moderne et de confort

classique, est le reflet de sa personnalité complexe et accomplie. Des œuvres d'art

contemporaines côtoient des meubles vintage, créant une ambiance élégante et

accueillante.

Un sourire en coin illumine le visage d'Alfred, évoquant un rêve agréable ou une

pensée réjouissante. La caméra glisse doucement dans la pièce, révélant des souvenirs

personnels chéris : des photographies de voyages lointains, des trophées sportifs

rappelant ses exploits, et une collection de montres de luxe. Une bibliothèque bien

fournie, offrant des ouvrages sur l'histoire, la littérature et la science, suggère une

curiosité intellectuelle insatiable.

Soudain, un silence oppressant s'installe. La porte s'ouvre silencieusement, laissant

entrer trois silhouettes en tenue paramilitaire noire. Leur progression, d'une précision

et synchronisation quasi fantomatiques, témoigne d'un entraînement rigoureux.

Un des hommes, d'une efficacité remarquable, sort une seringue et injecte

promptement une substance étrange dans le bras d'Alfred. Ce dernier s'éveille en

sursaut, ses yeux s'écarquillant en signe d'alerte, avant de se troubler sous l'effet du

sédatif.

ALFRED : (balbutiant, voix empreinte de confusion) "Qui... êtes-vous ? Que... me

voulez-vous ?"

Alfred lutte pour rester conscient, mais ses mouvements ralentissent, vaincus par la

puissance de la drogue. Les hommes l'immobilisent avec une précision chirurgicale,

chaque geste témoignant de leur expertise militaire.

HOMME PARAMILITAIRE #1 : (parlant dans un dispositif de communication discret)

"Cible Dwight neutralisée. Prête pour l'exfiltration."

Les assaillants, méthodiques et silencieux, portent Alfred, désormais semi conscient,

et prennent soin de ne laisser aucune trace de leur intrusion.

EXT. RÉSIDENCE D'ALFRED - CONTINU

La caméra accompagne les hommes quittant la maison d'Alfred avec calme, se

dirigeant vers un véhicule noir élégant, stationné dans une rue tranquille sous un ciel

étoilé. Ils chargent Alfred à l'arrière, et la voiture s'éloigne discrètement dans la nuit,

se fondant sans bruit dans l'obscurité.

CONCLUSION DE LA SCÈNE

Le calme revient sur la résidence d'Alfred, contrastant fortement avec le tumulte de

l'enlèvement. Un chat traverse la rue d'un pas nonchalant, indifférent à l'événement

dramatique qui vient de se dérouler. La caméra s'attarde sur la fenêtre entrouverte de

la chambre d'Alfred, où les rideaux se laissent bercer doucement par la brise nocturne.

Le silence qui règne désormais dans la chambre laisse derrière lui une énigme, un

indice subtil d'un mystère plus profond qui commence à se dévoiler.

SCÈNE 4 : LE RÉVEIL DANS LE SANCTUAIRE SOUTERRAIN DE DRAKUNEVITCH

INT. SANCTUAIRE SOUTERRAIN - BUREAU DE VICTOR DRAKUNEVITCH - NUIT

Dans les profondeurs d'un sanctuaire souterrain, le bureau de Victor Drakunevitch

surgit comme une chambre de secrets d'un autre âge. Des boiseries finement

sculptées s'entrelacent dans un style gothique, plongeant la pièce dans une ambiance

à la fois sombre et grandiose. Les murs sont ornés de tableaux anciens et de trophées

exotiques, témoignant de quêtes lointaines et périlleuses.

Au cœur de cette alcôve, un bureau en bois sombre, imposant, est parsemé d'objets

mystérieux et d'instruments anciens. Victor Drakunevitch, figure imposante et

charismatique, se tient derrière. Ses cheveux blancs et son costume d'une autre

époque contrastent avec son regard intense, révélant une intelligence vive et une

force indomptable.

Face à lui, Alex Kimbels, Simon Carter et Alfred Dwight sont assis, encore ébranlés

par leur récente captivité. Leurs visages reflètent diverses émotions : Kimbels est

visiblement perturbé, ses yeux grands ouverts trahissant son angoisse, tandis que

Carter tente de camoufler son inquiétude derrière un masque de calme. Dwight, quant

à lui, conserve une allure plus maîtrisée, bien que son regard vigilant trahisse une

méfiance constante.

Drakunevitch : (avec un accent des pays de l'Est, voix imposante) "Messieurs, votre

présence ici n'est pas le fruit du hasard. Vous avez été choisis pour une mission

cruciale. Nos méthodes peuvent paraître radicales, mais les circonstances l'exigent.

Tout refus pourrait avoir des conséquences… fâcheuses."

Les hommes échangent des regards, un mélange de crainte et d'intérêt dans leurs

yeux. Kimbels trépigne sur sa chaise, une nervosité palpable dans son corps. Carter

fixe Drakunevitch, son esprit analytique en éveil. Dwight écoute attentivement, pesant

soigneusement chaque mot prononcé.

Drakunevitch : "Vous, M. Kimbels, êtes un virtuose de la technologie. M. Carter, votre

expertise en occultisme est vitale. Et vous, M. Dwight, excellez dans l'infiltration.

Ensemble, vous formerez une équipe redoutable, capable de contrer les plus grandes

menaces."

Drakunevitch se met à arpenter autour du bureau, la lumière douce mettant en valeur

les traits marqués de son visage.

Drakunevitch : (continuant) "Vous rejoindrez la Black Room, une division secrète

d'Interpol. Votre mission consistera à percer des mystères insondables, à affronter des

forces ténébreuses, à démanteler des cultes secrets, à résoudre des disparitions

énigmatiques. Le monde extérieur ne doit jamais soupçonner l'existence des ténèbres

que vous combattrez."

Dwight : (interrompant, la voix assurée) "Et notre sécurité dans tout cela ?"

Drakunevitch : "Votre alliance avec Interpol sera officialisée. Votre identité et votre

sécurité seront protégées… tant que votre loyauté reste inébranlable."

Dwight acquiesce silencieusement, tandis que Kimbels se crispe, apparemment

perturbé par ces révélations. Carter, allumant une cigarette, trouve un répit

momentané dans la flamme de son briquet.

Drakunevitch : (revenant à son bureau, la voix solennelle) "Cette mission transcende

une simple affectation. Elle est l'appel de votre destin. Des ressources exceptionnelles

vous seront octroyées. Des pauses entre les missions vous permettront de reprendre

souffle. Chacun de vous jouera un rôle crucial dans la préservation de notre monde. M.

Kimbels, un laboratoire de pointe vous attend. M. Carter, des trésors occultes

inestimables seront à votre portée. Et M. Dwight, ce rôle stimulera toute votre

perspicacité et votre bravoure."

Les trois hommes, submergés par l'ampleur de leur nouvelle réalité mais intrigués par

les opportunités, sont escortés hors du bureau par un garde silencieux. Leur marche

est lente, empreinte de réflexions et d'anticipation pour les défis à venir.

FIN DE LA SCÈNE

La caméra s'éloigne lentement, dévoilant les profondeurs mystérieuses du sanctuaire

souterrain. Dans cet antre, où passé et présent se mêlent, une aventure aussi

dangereuse qu'exaltante attend nos protagonistes.

SCÈNE 5 : ADAPTATION À LA NOUVELLE VIE DANS LE COMPLEXE D'INTERPOL

INT. COMPLEXE SOUTERRAIN D'INTERPOL - JOUR

Le complexe souterrain d'Interpol, un univers de haute technologie et d'énigmes,

s'ouvre devant les trois hommes. Alex Kimbels, Simon Carter et Alfred Dwight suivent

un guide de sécurité à travers un labyrinthe de couloirs éclairés de lumières tamisées.

Les murs, ornés d'art contemporain, de moniteurs affichant des flux de données

cryptées et de cartes interactives, évoquent un film d'espionnage moderne.

Guide de sécurité : (fier) "Vos chambres ont été personnalisées selon vos goûts. Vous

allez vous y sentir comme chez vous."

1. Chambre d'Alex

La porte s'ouvre sur un espace futuriste. Un bureau équipé d'un ordinateur de pointe

jouxte une bibliothèque remplie de livres anciens et de manuels de jeux de rôle. Des

affiches de films de science-fiction et de fantasy décorent les murs.

Alex : (émerveillé) "C'est incroyable… Comme si mes rêves prenaient vie."

2. Chambre de Simon

L'espace de Simon est un havre de connaissances et de mystères. Des étagères

regorgent de livres rares et de reliques occultes, à côté desquels se trouvent des

gadgets technologiques avancés. Une fausse fenêtre s'ouvre sur un jardin zen, invitant à la

sérénité.

Simon : (impressionné) "C'est au-delà de mes espérances. Mes livres les plus précieux

sont ici."

3. Chambre d'Alfred

La chambre d'Alfred mêle luxe moderne et fonctionnalité. Un coin entraînement avec

des équipements high-tech côtoie un bureau sophistiqué. Les murs sont agrémentés de

photos de paysages grandioses et d'art contemporain.

Alfred : (satisfait) "Ils ont visé juste. C'est tout à fait mon style."

EXT. ZONE COMMUNE DU COMPLEXE - CONTINU

Le guide conduit les hommes dans une zone commune animée. Des agents d'Interpol

de diverses nationalités interagissent dans un cadre convivial équipé de cafés, de

zones de détente et de points de rencontre.

Guide de sécurité : (désignant la foule) "Voici le cœur battant d'Interpol. Vous

collaborerez avec les meilleurs."

CONCLUSION DE LA SCÈNE

Les trois hommes, désormais immergés dans ce nouvel univers, échangent des regards

qui traduisent leur anxiété et leur excitation. Ils prennent conscience de l'importance

cruciale de leur rôle au sein de cette organisation internationale et des défis

imminents qu'ils devront relever.

SCÈNE 6 : INTERACTION ENTRE LES PERSONNAGES DANS LA CAFÉTÉRIA

INT. CAFÉTÉRIA DU COMPLEXE D'INTERPOL - SOIR

La cafétéria du complexe d'Interpol mêle avec subtilité modernité et élégance. Les

lumières douces mettent en valeur une décoration épurée et des œuvres d'art abstrait.

Les tables, agencées avec soin, encouragent les interactions tout en offrant des

espaces plus intimes pour des échanges plus personnels.

Alex Kimbels, Simon Carter et Alfred Dwight sont assis à l'écart, leur solitude

contrastant avec l'effervescence cosmopolite de la cafétéria où des agents de diverses

nationalités et disciplines partagent idées et sourires.

Alex Kimbels : (jouant nerveusement avec sa cuillère, la voix incertaine) "Vous croyez

vraiment qu'on peut leur faire confiance ? Après tout, ils nous ont enlevés pour nous

recruter."

Simon Carter : (fixant son café, voix pragmatique) "La confiance est un luxe que nous

n'avons pas. Nous sommes ici, il faut s'adapter pour survivre et découvrir leurs

intentions."

Alfred Dwight : (regardant attentivement la salle, la voix grave) "Ce n'est pas une

question de choix, mais de nécessité. Nous avons été choisis pour nos compétences. Il

y a forcément un but."

Un silence lourd s'installe, rompu par le brouhaha des agents discutant de missions

complexes et d'enjeux internationaux. L'ambiance rappelle un carrefour stratégique

mondial, un lieu de rencontre pour les esprits les plus brillants.

Alfred Dwight : (se levant, déterminé) "Nos interrogations importent peu maintenant.

Nous sommes des pièces d'un jeu plus grand. Bonne nuit."

Dwight s'éloigne, sa démarche révélant une résolution inébranlable. Carter et Kimbels

restent assis, absorbés dans leurs réflexions.

Simon Carter : (soupirant, fatigué) "Bonne nuit, Alex. Demain marque le début d'un

nouveau chapitre."

Alex Kimbels : (observant Dwight s'éloigner, pensif) "Bonne nuit, Simon."

EXT. CAFÉTÉRIA - CONTINU

La caméra suit Dwight quittant la cafétéria. Il passe devant des agents immergés dans

l'analyse de cartes, d'écrans et de documents cruciaux, soulignant la gravité et

l'importance de leur mission.

FIN DE LA SCÈNE

Un plan élargi dévoile la cafétéria, symbole d'un lieu de convergence et de formation

des destinées au sein d'Interpol. L'écran affiche une carte mondiale ponctuée de

points lumineux, représentant les missions en cours et la portée internationale de

l'organisation. Un sentiment profond de responsabilité et de détermination imprègne

l'atmosphère, tandis que ces hommes et ces femmes se préparent à affronter les défis

de l'avenir et à influencer le cours de l'histoire.

SCÈNE 7 : PREMIÈRE MISSION À PINEY CITY - RÉUNION PRÉPARATOIRE DE LA

MISSION

INT. SALLE DE RÉUNION PRÉPARATOIRE DU COMPLEXE D'INTERPOL - JOUR

La salle de réunion, dotée d'équipements technologiques de pointe, s'anime sous les

yeux d'Alfred Dwight, Simon Carter et Alex Kimbels. Des écrans interactifs recouvrent

les murs, dévoilant des données complexes et des vues satellites. Au centre, une table

de conférence ultramoderne entoure les agents, captivés par les images de Piney City

projetées sur un écran géant : des rues sereines et des parcs tranquilles contraste

avec des portraits de personnes disparues, créant un tableau inquiétant.

Victor Drakunevitch, imposant et éloquent, se tient devant eux. Son autorité et son

charisme sont mis en évidence par un éclairage soigneusement choisi.

Victor Drakunevitch : (voix grave et solennelle) "Messieurs, votre première mission

vous mène à Piney City, dans le Maine. Des disparitions mystérieuses et inexpliquées y

défient toute logique."

La lumière s'atténue, focalisant sur les images projetées. Des cartes interactives de

Piney City apparaissent, montrant les sites des disparitions, les lignes temporelles et

les profils des victimes.

Victor Drakunevitch : "24 individus ont disparu en quelques semaines. Pas de liens

apparents, pas de motifs clairs. Les scènes sont immaculées, sans traces de lutte ou de

violence."

Les agents, absorbés par les informations, affichent une concentration intense. La

tension est palpable, chacun mesurant l'ampleur de la tâche à accomplir.

Victor Drakunevitch : "Votre mission : élucider un schéma, une raison derrière ces

événements. Vous travaillerez avec les autorités locales, mais c'est votre enquête qui

prévaut."

Drakunevitch distribue des dossiers remplis de détails, de cartes et d'analyses. Les

agents les scrutent attentivement, intégrant chaque détail, chaque théorie.

Victor Drakunevitch : "Départ immédiat pour Piney City. Soyez discrets, mais prêts à

toute éventualité."

Alfred Dwight : (confiant et résolu) "Nous sommes prêts pour ce défi."

Victor Drakunevitch : (confiant) "Je n'en doute pas. Bonne chance, messieurs."

Les agents se lèvent, leurs visages empreints de détermination. Ils avancent vers la

sortie, prêts à plonger dans les mystères de Piney City.

FIN DE LA SCÈNE

En quittant la salle, un sentiment mêlé de tension et d'anticipation accompagne leur

départ.

Ils sont maintenant en route pour Piney City, conscients des défis et de l'importance

cruciale de leur mission, armés de détermination et d'une volonté inébranlable de

découvrir la vérité derrière ces disparitions mystérieuses.

SCÈNE 8 : VOYAGE VERS PINEY CITY ET ARRIVÉE AU MOTEL

EXT. ROUTE FORESTIÈRE - SOIRÉE

La nuit enveloppe une route sinueuse qui serpente à travers une forêt dense. La

voiture noire, élégante et discrète, fend l'obscurité, ses phares disséquant le brouillard

léger. La pluie fine, tombant doucement, ajoute une touche mélancolique à l'ambiance

déjà chargée de mystère.

INT. VOITURE - CONTINU

Alfred Dwight, un homme dans la quarantaine aux yeux déterminés, conduit avec une

concentration intense. À ses côtés, Simon Carter, élégant et contemplatif, fixe la forêt

qui défile, une cigarette entre les lèvres dessinant une volute de fumée. À l'arrière,

Alex Kimbels, jeune et brillant, est absorbé par son portable, son visage s'illuminant

par moments.

Simon Carter : (regardant le GPS, légère inquiétude dans la voix) "Nous devrions

bientôt arriver. Espérons que Piney City nous révèle ses secrets."

Alfred Dwight : (confiant) "Ils le doivent. Nous sommes là pour découvrir la vérité."

La voiture émerge de la forêt, révélant les lumières lointaines de Piney City. La ville,

calme et paisible, contraste avec l'urgence de leur quête.

EXT. PINEY’S MOTEL - NUIT

Ils arrivent au Piney’s Motel, une structure modeste sous une enseigne rouge

clignotante. Les trois hommes descendent, leurs pas résonnant sur le sol humide.

INT. RÉCEPTION DU MOTEL - CONTINU

La réception, un peu désuète mais propre, baigne dans une lumière douce. La

réceptionniste, une femme d'âge moyen au visage marqué par la fatigue, les accueille

avec un sourire poli.

Réceptionniste : (voix légèrement tremblante) "Bienvenue à Piney City. Vous avez une

réservation ?"

Alfred Dwight : (présentant une carte d'Interpol) "Oui, pour Interpol. Trois chambres,

s'il vous plaît."

La réceptionniste, son expression passant de l'indifférence à une curiosité mêlée

d'inquiétude, leur remet les clés.

Réceptionniste : (avec un soupir) "Vous êtes ici pour les disparitions ? La ville est en

émoi."

Simon Carter : (regardant Dwight puis la réceptionniste, voix professionnelle)

"Exactement. Avez-vous remarqué quelque chose d'inhabituel ?"

Réceptionniste : (soupirant, l'expression inquiète) "Les gens disparaissent sans laisser

de trace. C'est comme si la ville cachait un secret."

Les agents acquiescent, prenant les clés, leurs esprits déjà plongés dans l'enquête,

analysant chaque mot de la réceptionniste, cherchant des indices dans ses paroles.

FIN DE LA SCÈNE

La caméra suit les agents le long du couloir, leurs pas résonnant sur le sol. Chaque

porte qu'ils passent semble renfermer une part du mystère de Piney City. Leur arrivée

dans cette ville tranquille marque le début d'une enquête complexe et dangereuse, une

quête de vérité qui pourrait bien changer leur vie à jamais.

SCÈNE 9 : RENCONTRE AU MOTEL AVEC LE SHÉRIF BACON

INT. SALLE DE RESTAURANT DU MOTEL PINEY'S - SOIR

La salle de restaurant du motel Piney's baigne dans un charme rétro, rappelant les

diners des années 60. Des candélabres vieillots sur les tables diffusent une lumière

tamisée, projetant des ombres mouvantes sur les murs ornés de photos décolorées et

de souvenirs de la ville.

Alfred Dwight, Simon Carter et Alex Kimbels entrent, leur présence moderne

tranchant avec l'ambiance nostalgique du lieu. Ils absorbent l'atmosphère, comme

pour saisir l'esprit de Piney City à travers ces vestiges du passé.

Au fond, le shérif Alan Bacon, un homme corpulent à l'allure décontractée, se lève de

son siège, vacillant légèrement, un verre de whisky à la main.

Shérif Bacon : (voix enrouée, ivresse perceptible) "Bienvenue à Piney City, messieurs.

Je suis le shérif Bacon. Ces disparitions, c'est tout un mystère, n'est-ce pas ?"

Dwight s'approche du shérif, adoptant une attitude à la fois professionnelle et ouverte.

Dwight : "Exactement, shérif. Nous cherchons toute information utile."

Le shérif Bacon retombe lourdement sur sa chaise, entouré de bouteilles vides et de

plats à moitié consommés.

Shérif Bacon : (faisant tourner son verre, regard empreint de désillusion) "Le FBI a

abandonné. Mais j'ai encore espoir. Vous avez tout mon soutien."

Kimbels, incliné vers l'avant, la curiosité piquée, interroge.

Kimbels : "Shérif, avez-vous remarqué des signes avant-coureurs, des anomalies dans

la ville ?"

Shérif Bacon : (secouant la tête, regard morose) "Rien de concret. On dirait que la ville

elle-même cache ses secrets."

Carter échange un regard significatif avec Dwight, acquiesçant.

Carter : "Nous mènerons notre enquête. Merci, shérif, pour votre franchise."

Le shérif Bacon lève son verre dans un toast muet, son sourire trahissant un mélange

de résignation et d'espoir.

Shérif Bacon : "Bonne chance, messieurs. Piney City a besoin de réponses."

FIN DE LA SCÈNE

Les agents se lèvent et quittent la salle, laissant le shérif seul avec ses pensées et son

whisky. Dehors, la nuit enveloppe Piney City, accentuant le mystère qui entoure ces

disparitions.

La caméra suit les agents marchant silencieusement vers leurs chambres, leurs

silhouettes se détachant dans la lumière faiblement éclairée du motel. Le calme de la

nuit offre un contraste frappant avec la tension qui les entoure, un sentiment de

mystère et d'inconnu pesant dans l'air.

SCÈNE 10 : PREMIÈRE NUIT À PINEY CITY ET RITUEL OCCULTE DE CARTER

FADE IN:

EXT. PINEY CITY MOTEL - NUIT

Sous un ciel nocturne, le motel Piney’s se dresse, isolé et mystérieux. La pluie fine

crée une aura autour de l'enseigne rouge qui clignote dans le silence, intensifiant

l'atmosphère lourde de secrets.

INT. CHAMBRE DE MOTEL DE SIMON CARTER - NUIT

Dans sa chambre, Simon Carter est absorbé dans un rituel occulte. Autour de lui, des

bougies forment un cercle, projetant des ombres vivantes sur les murs. Son torse nu

dévoile un tatouage de serpent noir, symbole envoûtant de mystère et de

connaissance.

Carter : (lisant en arabe littéraire, la voix imprégnée de concentration) "Par les voies

secrètes, par les murmures anciens, révélez moi les vérités cachées…"

Le livre ouvert devant lui est un grimoire ancien, ses pages couvertes de symboles

ésotériques et de textes mystérieux. Le son de la pluie contre la fenêtre accompagne

ses incantations, tissant une atmosphère presque hypnotique.

INSERT : LIVRE ANCIEN

Les pages du grimoire semblent vibrer d'une énergie ancienne, regorgeant de secrets

prêts à être révélés.

RETOUR À LA SCÈNE

Carter, les yeux fermés, s'immerge complètement dans le rituel. L'énergie de la pièce

s'intensifie, créant une brume visuelle de mystère et de puissance.

CUT TO :

INT. CHAMBRE D'HÔPITAL - NUIT (VISION DE CARTER)

Carter, dans une vision, se voit allongé inconscient dans une chambre d'hôpital aux

côtés de Dwight et Kimbels. L'espace autour d'eux semble distordu par une force

invisible.

FLASHBACK :

EXT. FORÊT AUTOUR DE PINEY CITY - NUIT (VISION DE CARTER)

Carter se fraye un chemin dans une forêt sombre et vivante. Des yeux brillants le

fixent depuis les ténèbres, porteurs de secrets millénaires.

RETOUR À LA SCÈNE

Carter revient brusquement à la réalité, haletant, les yeux grands ouverts. Il réalise

qu'il est toujours dans sa chambre de motel. Le rituel a révélé plus que prévu.

EXT. PINEY CITY MOTEL - AUBE

L'aube pointe, illuminant le motel d'une lumière nouvelle. Carter, Dwight et Kimbels

se préparent pour une journée décisive, marquée par des défis et des révélations qui

pourraient changer le cours de leur enquête.

FADE OUT.

Note du Scénariste : Cette scène plonge le spectateur dans une ambiance sombre et

énigmatique, essentielle à l'intrigue de "Temacoatzl". Le rituel de Carter, mêlant

occultisme et introspection, sert de prélude à une quête de vérité qui s'annonce

complexe. La transition entre la réalité et la vision offre un aperçu des dimensions

cachées de Piney City, soulignant la dualité entre le monde tangible et les mystères

insondables.

SCÈNE 11 : RENCONTRE AVEC MARY PIPERS ET DÉCOUVERTE DE LA COMMODE

MYSTÉRIEUSE

EXT. MAISON DE MARY PIPERS - JOUR

La berline noire d'Interpol se gare devant une maison qui, malgré sa modestie, dégage

un charme intemporel. Le jardin, bien que négligé, est égayé par des fleurs sauvages

qui jaillissent des herbes hautes.

INT. SALON DE MARY PIPERS - CONTINU

Mary Pipers, une femme d'âge mûr aux yeux empreints de mélancolie, ouvre la porte.

Elle conserve une dignité imperturbable malgré la tristesse visible dans son regard. Le

salon est un écrin de souvenirs personnels, avec des murs tapissés de photographies

de famille et d'objets chargés d'histoires.

Alfred Dwight : (avec compassion) "Madame Pipers, nous compatissons sincèrement

pour la disparition de votre mari, Boby Pipers."

Mary Pipers : (acquiesçant, une lueur de tristesse dans les yeux) "Oui, c'est bien de lui

que vous parlez. Il a disparu sans laisser de trace…"

L'émotion est palpable dans la pièce, les agents ressentant son chagrin.

Simon Carter : (avec douceur) "Il ne faut jamais perdre espoir, madame. Les réponses

peuvent se trouver là où on ne les attend pas."

Mary Pipers : (d'une voix empreinte d'espoir) "Peut-être avez-vous raison. Entrez, je

vous en prie."

INT. SALON - CONTINU

Le salon, empli de nostalgie, est dominé par une commode en pin ornée de sculptures

délicates, trônant fièrement au centre de la pièce.

Alex Kimbels : (s'approchant de la commode, intrigué) "Cette commode a quelque

chose de particulier."

Mary Pipers : (caressant la commode, un sourire mélancolique aux lèvres) "Elle est

apparue le soir de la disparition de mon mari, comme un signe énigmatique."

Alfred Dwight : (intrigué) "Apparue, dites vous ? Cela pique notre curiosité."

Les agents échangent des regards, comprenant l'importance de cet indice.

Alex Kimbels : "Je vais prélever un échantillon de ce bois. Il pourrait cacher un secret."

Simon Carter : (se tournant vers Mary, rassurant) "Nous ferons tout notre possible

pour résoudre cette affaire. Vous serez tenue informée."

FIN DE LA SCÈNE

Les agents quittent la maison, laissant Mary Pipers seule avec ses souvenirs et la

commode mystérieuse. La caméra se focalise sur la commode, suggérant son rôle

potentiel dans le mystère de Piney City. À l'extérieur, le soleil baigne la façade de la

maison, offrant un contraste saisissant avec les ombres des mystères qui pèsent sur la

ville et ses habitants.

SCÈNE 12 : ANALYSE DE L'ÉCHANTILLON DE BOIS DANS UN LABORATOIRE

DÉLABRÉ DE L'HÔPITAL

INT. LABORATOIRE DÉLABRÉ DE L'HÔPITAL - NUIT

Le laboratoire, baigné dans une lumière blanche et froide, dépeint une scène de

délabrement. Les murs, où la peinture s'écaille, et l'équipement vétuste contrastent

avec la mallette de haute technologie d'Alex Kimbels. Alfred Dwight et Simon Carter,

dans une posture d'observation intense, assistent à la préparation minutieuse de

Kimbels.

Alex Kimbels : (installant son équipement avancé) "Même dans cet endroit abandonné,

notre technologie peut révéler des secrets insoupçonnés."

Il crée une oasis de modernité au cœur d'un environnement désuet. Kimbels,

concentré, examine l'échantillon de bois sous un microscope électronique, son visage

éclairé par l'écran lumineux.

Alex Kimbels : "Voyons si ce bois apparemment banal dissimule quelque chose

d'extraordinaire."

Après un moment de silence, un air de perplexité se dessine sur son visage.

Alex Kimbels : "C'est surprenant… Rien d'atypique. Juste du bois de pin, sans

anomalie."

Les agents ressentent une pointe de déception, mais leur détermination à résoudre le

mystère reste intacte.

Alfred Dwight : "On espérait un indice évident. Cependant, la complexité est souvent

la clé de ces énigmes."

Simon Carter : (contemplatif) "Peut-être devons nous chercher au-delà de l'évidence.

Les réponses les plus profondes sont souvent dissimulées."

Kimbels acquiesce, reconnaissant la complexité de leur mission.

Alex Kimbels : "Je vais ranger tout cela. Notre présence ici doit rester discrète."

Ils emballent soigneusement leur matériel, préservant la confidentialité de leur

investigation tout en respectant le sanctuaire médical.

FIN DE LA SCÈNE

En quittant le laboratoire, ils emportent avec eux non seulement leur équipement mais

aussi une résolution renouvelée de déchiffrer le mystère. La caméra les suit quittant le

lieu, l'écho de leur quête se répercutant dans les couloirs silencieux de l'hôpital.

SCÈNE 13 : ATTAQUE AU MOTEL ET HOSPITALISATION DE DWIGHT

INT. SALLE DE RESTAURANT DU MOTEL - NUIT

La salle, baignée dans une atmosphère calme, est soudainement secouée par une

intrusion brutale. Alfred Dwight, Simon Carter et Alex Kimbels, interrompus en pleine

discussion, lèvent les yeux, alarmés.

EXTÉRIEUR DU RESTAURANT - CONTINU

Helena Twist et Arold Beckerman, les yeux injectés de sang et les traits tirés par la

folie, font irruption. Helena, un fusil de chasse à la main, et Arold, armé d'une hache,

dégagent une aura de violence brute.

Helena Twist : (hurlant avec une rage incontrôlable) "Personne ne nous arrêtera !"

Le fusil tonne, une détonation assourdissante. La serveuse, touchée par le tir,

s'effondre, une mare de sang se formant rapidement sous elle.

LE COMBAT S'INTENSIFIE

Alfred Dwight, son instinct de survie prenant le dessus, saisit son arme avec une

vitesse fulgurante. Il tire en direction d'Helena, son visage marqué par la

détermination.

Alfred Dwight : (criant avec urgence) "Protégez vous !"

Simon Carter, son pistolet déjà en main, rejoint Dwight. Ils tirent ensemble sur

Helena. Chaque balle frappe avec précision, la faisant chanceler, puis s'effondrer dans

un gémissement de douleur.

Arold, sourd aux tirs, charge avec fureur. Sa hache s'abat avec une force terrifiante

sur Dwight, lui ouvrant une plaie profonde au torse. Le sang gicle, maculant le sol et

les murs.

Simon Carter : (criant, sa voix teintée de rage) "Recule, Dwight !"

Il continue de tirer, ses balles s'enfonçant dans la chair d'Arold. Malgré les impacts,

Arold avance, jusqu'à ce qu'une balle finalement le neutralise. Il s'effondre, sa hache

tombant avec un bruit sourd.

INTÉRIEUR, CHAMBRE D'HÔPITAL - PLUS TARD

Dwight est allongé, son torse bandé, chaque respiration lui arrachant une grimace de

douleur. Le médecin, l'air grave, termine de soigner la blessure sanglante.

Médecin : (d'un ton sérieux) "Vous avez de la chance d'être en vie. Restez immobile."

Dwight, son visage marqué par la douleur mais résolu, se force à se lever, soutenu par

Carter et Kimbels.

Alfred Dwight : (voix rauque mais déterminée) "Il nous reste du travail. On ne s'arrête

pas maintenant."

FIN DE LA SCÈNE

Les agents, visiblement éprouvés par l'attaque, quittent la chambre d'hôpital, leurs

visages reflétant à la fois la douleur et la fermeté de leur engagement.

SCÈNE 14 : INTERROGATOIRE D'AROLD BECKERMAN ET DÉCOUVERTE DE

TEMACOATZL

INT. CHAMBRE D'HÔPITAL - JOUR

Une lumière crue éclaire la chambre d'hôpital, soulignant son atmosphère austère.

Alfred Dwight, Simon Carter et Alex Kimbels entrent, leurs insignes brillant sous les

néons. Kimbels, le benjamin, présente son insigne d'un geste assuré au policier en

faction.

INT. CHAMBRE D'HÔPITAL - CONTINU

AROLD BECKERMAN, imposant par sa stature, gît menotté au lit, les yeux vides,

comme égaré dans un autre monde.

Alfred Dwight (examinant un dossier, sa voix grave résonnant dans la pièce) : "Arold

Beckerman, 43 ans, disparu depuis le 3 mai. Silence radio depuis. Qu'avez-vous à dire,

Arold ?"

Beckerman, bavant légèrement, fixe le plafond avec des yeux hagards. Il émet un

grésillement, semblable à un signal radio défectueux.

Alfred Dwight (affichant une impatience croissante) : "Parlez, Beckerman. Carter, un

peu de persuasion."

Simon Carter, impassible, presse un oreiller sur le visage de Beckerman. Kimbels

observe, la tension visible sur son visage jeune.

Alfred Dwight (hausse le ton, secoue Beckerman) : "Parle maintenant !"

Voyant aucun résultat, Dwight, frustré, signale à Carter de retirer l'oreiller.

Beckerman reprend péniblement son souffle, son visage toujours figé dans une

grimace absurde.

Alfred Dwight (exigeant une réponse) : "Allez Beckerman, il est temps de parler."

Beckerman continue de produire des sons incohérents, son regard perdu. Dwight se

tourne vers Carter, prêt à intensifier l'interrogatoire, quand Kimbels intervient.

Alex Kimbels (fermement) : "Arrêtez. Il a besoin d'aide médicale. Je vais chercher de

quoi le stabiliser."

Kimbels revient avec une seringue et des médicaments, qu'il administre à Beckerman.

Le regard de Beckerman devient moins trouble, sa grimace s'atténuant.

Alfred Dwight (insistant) : "Maintenant, Beckerman, parlez !"

AROLD BECKERMAN (voix faible, presque inaudible) : "Je suis sous contrôle…

Temacoatzl… vient… de la carrière…"

Dwight, Carter et Kimbels échangent des regards interrogateurs. Le nom

"Temacoatzl" ouvre un nouveau chapitre de mystère.

Alfred Dwight (intrigué) : "Temacoatzl ? C'est quoi ça ? Clarifiez !"

Alex Kimbels (avec une pointe de résignation) : "Trop tard. Il est perdu dans son

esprit. Il ne nous dira rien de plus."

Dwight souffle, frustré mais résolu.

Alfred Dwight (déterminé) : "Bien, messieurs. Temacoatzl est notre prochaine piste. En

avant."

Les agents quittent la chambre, leurs esprits en ébullition face aux mystères non

résolus.

FIN DE LA SCÈNE

La caméra capte la fermeture lente de la porte de la chambre d'hôpital, symbolisant

les secrets et les énigmes encore non élucidés de l'affaire Piney City.

SCÈNE 15 : RECHERCHE À LA CARRIÈRE ET DÉCOUVERTE DE LA PIERRE À

CAFARD

INT. CHAMBRE D'HÔTEL DE SIMON CARTER - NUIT

Dans sa chambre d'hôtel, baignée par la lumière de la lune, Simon Carter se livre à

une danse tribale intense, son corps nu orné de symboles ésotériques. Chaque

mouvement, inspiré des danses Masaï, est imprégné de signification. La pièce,

enveloppée de silence, ne vibre qu'au rythme de sa respiration.

INT. DINER DE PINEY CITY - SOIR

Dans un diner presque désert, Alfred Dwight et Alex Kimbels mangent des hot dogs

dans un silence contemplatif. Simon Carter rompt le silence.

Simon Carter : " Beckerman a mentionné une carrière, peut-être celle qui se trouve au

nord de Piney City. Nous devrions enquêter demain."

Alex Kimbels : "C'est notre seule piste."

Alfred Dwight : "Reposons nous. Demain sera une longue journée."

INT. SALLE DE RESTAURANT DU MOTEL - MATIN

Le matin suivant, les agents prennent un petit déjeuner taciturne. Kimbels, perdu dans

ses pensées, grignote des Rice Crispies.

Alex Kimbels : "Je regarde un peu ma série et nous nous retrouvons dans une

demi-heure."

Il se lève, laissant Dwight et Carter seuls.

EXT. FORÊT AUTOUR DE PINEY CITY - MATIN

La voiture des agents serpente à travers une forêt sombre et mystérieuse, le paysage

s'imprégnant de l'aura de leur mission.

EXT. ENTRÉE DE LA CARRIÈRE - CONTINU

Arrivés à une carrière isolée, ils aperçoivent un ouvrier aux yeux hagards, plongé dans

"La Métamorphose" de Kafka, une bouteille d'alcool de pin à la main. Dwight tente de

communiquer, mais ne reçoit en réponse que des murmures gutturaux.

Alfred Dwight : "Il est perdu dans ses pensées. Concentrons nous sur notre mission."

EXT. CARRIÈRE AU NORD DE PINEY CITY - CONTINU

Pénétrant dans la brume matinale, ils rencontrent un travailleur épuisé, couvert de

terre et de sueur.

Alfred Dwight : "Avez-vous remarqué des phénomènes étranges ici ?"

Le travailleur lève les yeux, intrigué.

Travailleur : "Il y a bien cette pierre à cafard, inhabituelle et intrigante."

Les agents, piqués de curiosité, échangent des regards entendus.

Simon Carter : "Montrez nous cette pierre."

EXT. DERRIÈRE LA CAHUTE - CONTINU

Ils découvrent derrière la cahute un amas de pierres verdâtres. Les cafards y

fourmillent, attirés par une force inconnue.

Alex Kimbels : "Fascinant... Ils sont tous attirés par ces pierres."

Il commence à prélever des échantillons, captivé par cette découverte.

Simon Carter : "Il y a une force surnaturelle ici. Ces pierres, ces cafards… ils

pourraient détenir des réponses."

Alfred Dwight : "Restons vigilants. Ce mystère est plus profond qu'il n'y paraît."

Le travailleur les regarde s'éloigner, un sourire énigmatique flottant sur ses lèvres.

FIN DE LA SCÈNE

La caméra s'éloigne, laissant les agents immergés dans leur enquête, entourés par les

mystères de la carrière et les énigmatiques pierres à cafards, symboles des secrets de

Piney City.

SCÈNE 16 : ANALYSE DE LA PIERRE ET COMMUNICATION AVEC DRAKUNEVITCH

INT. LABORATOIRE DE L'HÔPITAL - JOUR

Dans le laboratoire, baigné d'une lumière froide, Alex Kimbels se concentre sur

l'échantillon de pierre. Son microscope sophistiqué crée une atmosphère de recherche

avancée contrastant avec l’aspect vieillot de l’hôpital. Alfred Dwight et Simon Carter,

légèrement en retrait, observent avec une anxiété palpable.

EXT. CARRIERE - JOUR (FLASHBACK)

En flashback, on voit Kimbels, au milieu d'une nuée de cafards, prélever

méticuleusement

l'échantillon

avec

des

instruments

spéciaux,

préservant

scrupuleusement la pierre.

INT. LABORATOIRE DE L'HÔPITAL - JOUR (RETOUR À LA SCÈNE)

Kimbels place la pierre verte dans un terrarium transparent rempli de cafards.

Instantanément, les insectes se rassemblent autour de la pierre dans un ballet

captivant. Dwight et Carter se penchent pour observer de plus près.

Alex Kimbels : (Impressionné) "Cette pierre est hors du commun. Composés

minéraux inédits… Je la baptise l'émeraude Kimbels. Son attraction sur les cafards est

remarquable, et sa solidité, exceptionnelle."

Le téléphone d'Alfred Dwight sonne. Il répond, mettant l'appel en haut-parleur.

Victor Drakunevitch : (À travers le haut-parleur) "Qu'avez-vous découvert

avec cette pierre, Kimbels ?"

Alfred Dwight : "Une pierre atypique attirant les cafards. Intrigante, mais

pas directement utile à notre enquête pour l'instant."

Victor Drakunevitch : "Faites moi parvenir un rapport détaillé. Par ailleurs,

la DEA enquête sur un trafic d'alcool de pin à Piney City. Une drogue non identifiée

semble impliquée. Rejoignez l'agent Steve Desmond au 112 Darkwood Street pour

coordonner vos actions."

Alfred Dwight : "Nous y allons de ce pas."

INT. VOITURE DES AGENTS - JOUR

La caméra suit Dwight et Carter quittant le laboratoire pour rejoindre Kimbels dans

leur véhicule. Ils se préparent méticuleusement, chargeant leur équipement, prêts

pour la suite de leur mission.

FIN DE LA SCÈNE

L'intensité de leur mission s'intensifie, chaque découverte les rapprochant du cœur du

mystère de Piney City. La caméra s'éloigne lentement, capturant le véhicule des

agents qui s'éloigne, tandis que la musique souligne la gravité de la situation.

SCÈNE 17 : RENCONTRE AVEC L'AGENT STEVE DESMOND ET DÉCOUVERTE DU

FREAKY BAR

INT. RUELLE SECRÈTE - JOUR

La berline noire d'Interpol se gare dans une ruelle discrète. Alfred Dwight, Simon

Carter et Alex Kimbels, en tenue civile mais clairement prêts pour une intervention,

descendent du véhicule et avancent vers une maison délabrée.

INT. MAISON SECRÈTE - CONTINU

Trois policiers en civil, aguerris, accueillent les agents. La pièce est équipée d'écrans

de surveillance et de matériel de communication. Steve Desmond, de la DEA, les

attend, imposant et sérieux.

Steve Desmond : "Bonjour, messieurs. Steve Desmond de la DEA. Nous avons une

situation compliquée au Freaky Bar."

Alfred Dwight : "Alfred Dwight. Voici Simon Carter et Alex Kimbels d'Interpol. Que se

passe-t-il ?"

INT. QG IMPROVISÉ - CONTINU

Desmond les conduit à un ensemble de jumelles sophistiquées pointées sur le Freaky

Bar, un établissement miteux à l'enseigne grésillant.

EXT. VUE SUR LE FREAKY BAR - À TRAVERS LES JUMELLES

Dwight observe le bar à travers les jumelles. L'intérieur est chaotique : des personnes

sous l'emprise d'une drogue puissante gesticulent de manière incontrôlable, certaines

s'effondrent au sol, d'autres marchent de manière erratique, leur comportement

imprévisible et violent.

Alfred Dwight : "C'est une scène de chaos total. Ils sont clairement sous l'effet d'une

substance dangereuse."

INT. MAISON SECRÈTE - CONTINU

Steve Desmond : "Nous avons surveillé le bar, mais une intervention directe est

risquée. Ils peuvent être dangereux."

Alex Kimbels : "Nous avons l'autorisation d'Interpol. Nous prenons le contrôle de

l'opération."

EN ROUTE VERS LE FREAKY BAR

En marche vers le Freaky Bar, l'ambiance est tendue. Dwight est concentré sur son

fusil à pompe, Carter murmure une prière exotique, et Kimbels vérifie son arme de

poing, prêts à affronter le danger qui les attend.

FIN DE LA SCÈNE

Les agents s'approchent discrètement du Freaky Bar, la tension monte. Les visages

des agents reflètent un mélange de détermination et d'appréhension face à l'inconnu

qui les attend. La musique souligne l'intensité de la situation, alors que l'écran

s'assombrit, préfigurant la confrontation imminente.

SCÈNE 18 : ASSAUT DU FREAKY BAR ET DÉCOUVERTE DE LA DROGUE BIG BUG

EXT. RUELLE PRÈS DU FREAKY BAR - CRÉPUSCULE

La nuit enveloppe Piney City d'une ombre menaçante alors que les agents d'Interpol se

rapprochent par une ruelle déserte. Le ciel, chargé de nuages lourds, promet une

tempête imminente.

Alfred Dwight, son expression grave trahissant la tension de l'instant, se cramponne

fermement à son shotgun. Alex Kimbels et Simon Carter, chacun plongé dans ses

pensées, vérifient une ultime fois leurs armes, la gravité de la situation se lisant

clairement sur leurs visages.

INT. FREAKY BAR - CONTINU

D'un coup de pied ferme et décidé, Dwight fracasse la porte du bar. L'intérieur offre

une vision d'apocalypse : des clients ivres gisent dans des positions torturées, certains

inconscients, d'autres gémissant faiblement.

Le barman, au visage marqué par les épreuves de la vie, tente de saisir une arme

dissimulée. Dwight, d'un geste rapide et implacable, le neutralise d'un tir précis. Le

corps du barman s'effondre, inerte, sur le sol souillé.

Alfred Dwight : « Restez vigilants ! Carter, suivez moi. Kimbels, sécurise l'entrée. »

Kimbels, bien que tremblant, se poste à l'entrée, son arme fermement en main, prêt à

faire face à tout danger.

INT. ARRIÈRE DU FREAKY BAR - CONTINU

Dwight et Carter avancent vers l'arrière-salle où ils découvrent une scène d'horreur

encore plus grande. Trois hommes, les yeux rougis et hagards, entourent une femme

en robe rouge, inconsciente, son corps tordu dans une pose grotesque.

Alfred Dwight : « Ne bougez pas ! »

Malgré l'ordre, les hommes continuent de convulser, perdus dans un état second, leurs

yeux révélant une peur indicible. Carter, d'une efficacité glaçante, les menotte

rapidement.

Alfred Dwight : « Elle respire encore. Kimbels, appelle une ambulance, vite ! »

EXT. DEVANT LE FREAKY BAR - PEU APRÈS

La scène est éclairée par les lumières des véhicules de police et des ambulances. Les

secouristes s'affairent autour de la femme inconsciente, tandis que les agents

discutent avec le shérif.

Alex Kimbels : « C'est un carnage… Qu'est-ce qui a pu les conduire à ça ? »

Simon Carter, scrutant les alentours : « Il y a quelque chose de plus sinistre que de

l'alcool en jeu ici… »

INT. FREAKY BAR - CONTINU

En fouillant le bar, les agents découvrent des bouteilles étiquetées "Big Bug". Chaque

bouteille contient un cafard vivant, nageant dans un liquide sombre et visqueux.

Alex Kimbels, examinant une bouteille avec dégoût : « C'est abominable… Chaque

bouteille a son propre cafard vivant. »

Alfred Dwight, avec une gravité pesante : « Ce n'est pas seulement une drogue… C'est

une perversion de la nature. Nous devons creuser plus profondément. »

FIN DE LA SCÈNE

La caméra s'éloigne lentement du Freaky Bar, capturant les agents devant cette

découverte macabre. Leur expression grave souligne la profondeur de la menace qui

pèse sur Piney City.

Scène 19 : Exploration du laboratoire souterrain et capture de Janet Dark

INT. LABORATOIRE SOUTERRAIN – NUIT

Dans l'obscurité suffocante du sous-sol clandestin, Alfred Dwight, charismatique et

déterminé, se tourne vers Simon Carter, expert en occultisme à l'œil vif, et Alex

Kimbels, jeune prodige de la technologie.

Alfred Dwight : « J’y vais. Carter, couvrez moi. Kimbels, suivez de près. »

Ils avancent avec prudence dans le dédale souterrain, leurs lampes torches dévoilant

un décor hétéroclite. Les murs sont couverts de croquis mystérieux et d'équations

complexes, tandis que des cuves renfermant des cafards bruissent étrangement. Au

centre, une scène irréelle se présente.

Une femme, Janet Dark, d'une beauté envoûtante, vêtue de vinyle noir moulant, son

imposant chignon rouge dominant, manipule une pierre émettant une lueur verdâtre

surnaturelle. Des notes et des schémas entourent son espace de travail, témoignant de

son obsession.

Alfred Dwight : « Au sol ! Mains sur la tête ! »

Janet Dark, indifférente, continue son travail. Les murmures provenant des cuves

ajoutent à l'ambiance angoissante.

Alfred Dwight : « Maintenant, je ne le répéterai pas ! »

Janet reste absorbée dans sa tâche, ignorant les avertissements. Kimbels, alerte, tient

fermement son arme.

Face à son indifférence, Simon Carter intervient avec rapidité, menottant Janet qui se

laisse faire, le regard perdu dans le vide.

Alfred Dwight : « Emmenez là. Kimbels, explorons les lieux. »

Carter acquiesce et emmène Janet pour un interrogatoire ultérieur. Dwight et Kimbels

examinent minutieusement le laboratoire, découvrant des substances inédites et des

appareils complexes. Un carnet de notes attire l'attention de Kimbels.

Alex Kimbels : « Intéressant… une drogue à base de cafards et de cette pierre…

l'émeraude Kimbels ? »

Il regarde une pierre lumineuse, conscient de l'importance de sa découverte.

FIN DE LA SCÈNE

La caméra s'éloigne lentement, laissant les agents face à un mystère encore plus

complexe.

Scène 20 : Interrogatoire de Janet Dark et découverte des plans de Temacoatzl

INT. LABORATOIRE SOUTERRAIN - NUIT

L'obscurité du laboratoire souterrain, un sanctuaire de mystères et de révélations

sinistres, enveloppe les agents Alfred Dwight, Simon Carter et Alex Kimbels. Ils font

face à Janet Dark, menottée mais dégageant une aura de calme déconcertante.

Alfred Dwight : « Janet, cette jeune fille inconsciente, tu sais pourquoi elle est dans cet

état ? Comment la sauver ? »

Janet esquisse un sourire mystérieux, sa voix basse et assurée révélant une

connaissance occulte profonde.

Janet Dark : « Cette femme s’appelle Betty Monroe. Elle a défié le grand cafard,

consommant sa substance interdite… Elle est perdue. Mais il existe un moyen de la

ramener… le test du grand cafard. »

Des bruits subtils et troublants émanent des murs, intensifiant le mystère et le danger

imminent de l'endroit.

Simon Carter : « Compris. Nous avons une chance de la sauver. Suivez moi. »

Carter, d'un pas décidé, prend la tête, suivi par les autres. Dwight s'arrête un instant,

se retournant vers Janet, son regard déterminé et inébranlable.

Alfred Dwight : « Vous allez nous accompagner, Janet. Vos secrets sont trop précieux

pour rester ici. »

Les agents saisissent Janet avec fermeté. Elle offre peu de résistance, son regard

fixant un point invisible, comme en communication avec une force inconnue.

Tandis qu'ils avancent, des ombres semblent se mouvoir sur les murs, suggérant la

présence d'observateurs cachés. Les agents, conscients de l'importance de chaque

pas, se dirigent vers des révélations potentiellement bouleversantes.

FIN DE LA SCÈNE

La caméra se retire doucement, capturant les agents emmenant Janet, clé du mystère

enveloppant Piney City. Leur progression est observée par des yeux luisants, cachés

dans l'obscurité, signe d'une menace encore inconnue et terrifiante.

Scène 21 : Sauvetage de Betty Monroe et Voyage dans l'Alter Monde

INT. CHAMBRE D'HÔPITAL - NUIT

La chambre d'hôpital est plongée dans une lumière tamisée, où règnent le silence et

une atmosphère chargée de mystère. Betty Monroe gît dans un coma profond, son

visage paisible contraste avec la tempête intérieure de son esprit. Alfred Dwight,

Simon Carter et Alex Kimbels entrent, leurs visages mêlant détermination et

appréhension. Carter serre une bouteille de Big Bug, dernier espoir pour sauver Betty.

Simon Carter : « Asseyons nous et unissons nos mains. Nous devons nous connecter à

son esprit pour la sauver. »

Dwight et Kimbels s'installent autour du lit de Betty, formant un cercle. Leur union

crée une atmosphère d'intense solidarité. La lumière de la pièce vacille subtilement,

réagissant à leur présence et intention collective.

Carter entame la bouteille de Big Bug, son regard devenant vitreux sous l'effet de la

substance. Dwight suit, buvant avec une résolution inébranlable, et passe la bouteille à

Kimbels, qui consomme le reste avec une hésitation palpable.

Leurs corps commencent à trembler sous l'influence de la drogue, et ils s'écroulent,

inconscients mais unis dans leur quête pour sauver Betty.

TRANSITION ALTER MONDE

La réalité se distord, transportant les agents dans un monde monochrome. Ils se

retrouvent dans un ascenseur luxueux, vêtus avec élégance, évoquant l'ère des années

50. Leur confusion se mêle à une détermination renouvelée.

L'ascenseur s'arrête au huitième étage. Ils marchent dans un couloir qui évoque une

époque révolue, chaque pas résonnant sur le marbre dans un silence pesant de ce

monde alternatif.

Guidés par l'intuition de Carter, ils s'avancent vers une porte entrouverte, d'où émane

une lumière stroboscopique envoûtante. Ils pénètrent avec audace dans cet univers

inconnu, qui pourrait détenir les clés pour sauver Betty et élucider les mystères de

Piney City.

FIN DE LA SCÈNE

La caméra se retire lentement, saisissant l'instant où les agents s'aventurent plus

profondément dans cet alter monde. Leurs silhouettes se détachent nettement contre

la lumière stroboscopique, symbolisant leur descente audacieuse dans l'inconnu.

Scène 22 : Confrontation avec la Femme et le Chien Parasite, et Découverte de la

Localisation de Temacoatzl

INT. SUITE LUXUEUSE - ALTER MONDE - NUIT

Dans une suite aux confins du luxe et du surnaturel, Alfred Dwight, Simon Carter et

Alex Kimbels, élégants mais armés, s'avancent avec une prudence teintée de courage.

Le décor somptueux est chargé d'une atmosphère étrange. La Femme Parasite, une

apparition en blanc, siège majestueusement, sa cigarette créant des volutes dans l'air.

Le Chien Parasite, aux traits presque humains, les observe avec une intelligence

troublante.

Chien Parasite : (voix grave) "Vous êtes ici pour la fille, n'est-ce pas ?"

Simon Carter : (avec une assurance calme) "Où est-elle ?"

La Femme Parasite, lentement, lève ses yeux vers Carter. Ils sont deux abysses de

mystère. Son sourire énigmatique semble cacher des vérités insondables.

Femme Parasite : (voix glaciale) "Le chien vous guidera, après que vous aurez

désamorcé la bombe mentale."

Les agents, conscients du défi, échangent des regards déterminés.

INT. COULOIR LABYRINTHIQUE - ALTER MONDE - NUIT

Leurs pas les mènent à travers un labyrinthe de couloirs, décorés de tapisseries

anciennes et de toiles mystérieuses. Chaque pas résonne, soulignant le silence

oppressant du couloir.

INT. CHAMBRE MYSTÉRIEUSE - ALTER MONDE - NUIT

Dans cette pièce où le surréel flirte avec l'art, six danseuses exécutent une danse

envoûtante, leurs couronnes d'épines libérant de fines gouttes de sang. Une vieille

télévision, au centre, dévoile une pierre verte pulsante sur fond de musique

hypnotique.

Simon Carter : (confiant) "C'est là, dans cette télé. Kimbels, à toi."

Alex Kimbels s'approche, ses yeux concentrés sur son objectif. Il démantèle le panneau

arrière de la télévision, révélant un cœur mécanique complexe. Ses mains, guidées par

une expertise aiguisée, désactivent la bombe, préservant la musique et l'image.

Alex Kimbels : (soulagé) "C'est fait… la bombe est désamorcée."

INT. SUITE LUXUEUSE - ALTER MONDE - NUIT

De retour dans la suite, ils font face à nouveau à la Femme et au Chien Parasite.

Chien Parasite : "La fille est au bar, en bas."

Femme Parasite : (sourire troublant) "Temacoatzl se cache au nord de Piney City, dans

une cabane de chasseur isolée."

Simon Carter, son visage marqué par une détermination inébranlable, mène les agents

vers le bar.

INT. BAR DU GRATTE-CIEL - ALTER MONDE - NUIT

Dans un bar somptueux et désert, Betty Monroe, perdue dans ses pensées, tient un

verre de whisky. Le barman, au visage sinistre et diabolique, leur offre un verre d'une

voix onctueuse.

Barman : (voix suave) "Un whisky, la spécialité de la maison."

Alors que Dwight et Kimbels sont hypnotisés par le barman, Carter reste concentré.

D'un geste rapide et précis, il sort son Magnum Python et abat le barman. La tête de

celui-ci explose dans un éclat sanglant et macabre.

FIN DE LA SCÈNE

La caméra capture le moment où le barman s'effondre, un symbole brutal de la

violence et de l'intensité de leur confrontation dans l'alter monde. Les agents, bien que

secoués, restent résolus, prêts à affronter les dangers obscurs de l'univers de

Temacoatzl.

Scène 23 : Bataille Finale dans la Forêt et Mort de Temacoatzl

INT. CHAMBRE D'HÔPITAL - JOUR

La lumière du jour filtre à travers les stores, illuminant les visages tendus d'Alfred

Dwight, Simon Carter et Alex Kimbels. Victor Drakunevitch, leur leader imposant, les

regarde avec une gravité pesante.

Victor Drakunevitch : (voix profonde) "Bien joué, Betty est sauvée. L'heure est venue.

Temacoatzl et ses horreurs doivent être anéantis, je sais que vous savez où les trouver

à présent."

EXT. FORÊT DENSE - AUBE

La forêt, baignée dans la lumière de l'aube, est le théâtre silencieux où les agents,

armés et vigilants, s'avancent. Kimbels, les yeux derrière ses lunettes thermiques,

murmure :

Alex Kimbels : "Là, cachés dans la cabane, tels des animaux traqués."

Dwight, d'un geste, ordonne à l'équipe SWAT de se positionner. Le calme est rompu

par le bruit de leurs mouvements coordonnés.

EXT. CABANE BARRICADÉE - CONTINU

Soudain, la porte de la cabane explose, libérant une vague de fidèles enragés. Leurs

yeux, rougis par la folie, brillent d'une lueur meurtrière. Une fusillade éclate,

transformant la clairière en un enfer de balles et de cris.

Au cœur du chaos, une créature surgit : Temacoatzl se dresse comme une incarnation

cauchemardesque, un hybride grotesque mêlant l'homme et le cafard. Sa stature est

imposante, dépassant largement la taille moyenne d'un homme, avec une envergure

qui évoque une menace prédatrice.

Son corps est une fusion abominable de caractéristiques humaines et insectoïdes. La

peau, où elle est visible, est d'un gris terne et semble être dure et coriace, rappelant la

chitine d'un insecte. Elle est parcourue de veines sombres et pulsantes, conférant à

Temacoatzl un aspect encore plus sinistre.

La tête de la créature est peut-être l'élément le plus terrifiant. Elle combine de

manière perturbante les traits d'un visage humain et ceux d'un cafard. Les yeux,

grands et globuleux, possèdent une brillance noire et profonde, reflétant une

intelligence maligne. Des mandibules puissantes et acérées, semblables à celles d'un

cafard, entourent une bouche humaine tordue dans une expression perpétuelle de

rage et de faim.

Les bras de Temacoatzl sont longs et déformés, terminés par des mains qui ont gardé

une forme humaine mais avec des doigts allongés et terminés par des griffes noires et

tranchantes comme des rasoirs. Ces mains semblent capables de manipuler avec une

précision terrifiante autant que de déchirer la chair avec une brutalité inhumaine.

Le torse de la créature est un amalgame grotesque de caractéristiques humaines et de

plaques chitineuses, donnant l'impression d'une armure naturelle. Des segments

articulés, rappelant l'abdomen d'un cafard, courent le long de son dos, se terminant

dans une queue segmentée qui se meut avec une agilité effrayante.

Les jambes de Temacoatzl sont fléchies et coudées de manière insectoïde, lui

conférant une posture prédatrice. Elles se terminent par des pieds élargis, équipés de

griffes qui lui permettent une adhérence et une mobilité exceptionnelles, aussi bien

sur le sol que sur des surfaces verticales ou même au plafond.

En somme, Temacoatzl est une abomination contre nature, un monstre sorti des pires

cauchemars, une fusion effroyable et parfaite de l'homme et du cafard. Sa simple

présence évoque une terreur primale, un rappel que certaines choses ne devraient

jamais exister.

Il se jette sur les agents du SWAT, ses griffes tranchantes lacérant chair et os. Six

agents tombent, déchiquetés par ses assauts féroces, leurs hurlements se mêlant au

vacarme des tirs.

Simon Carter : (cri d'horreur) "C'est lui, Temacoatzl ! Feu à volonté !"

Dwight et Carter, imperturbables, tirent sur la bête. Les balles semblent peu l'affecter,

mais sous l'assaut continu, elle commence à faiblir.

Temacoatzl, blessé mais encore dangereux, se lance dans une ultime attaque. Ses

mandibules claquent, projetant un acide corrosif. Les agents esquivent, répondant par

un déluge de balles.

Un dernier coup de feu, puissant et décisif, résonne. Temacoatzl s'effondre, poussant

un cri qui déchire le silence de la forêt. Son corps, mutilé et grotesque, se tord dans

ses derniers spasmes.

Alfred Dwight : (reprenant son souffle) "C'est terminé… Temacoatzl est mort."

FIN DE LA SCÈNE

La caméra s'élève, révélant l'étendue du carnage dans la forêt. Les agents, debout

dans le silence, portent les stigmates de l'affrontement brutal. Bien que la menace soit

éliminée, les échos de cette bataille resteront gravés en eux.

Scène 24 : Conclusion et Départ des Agents pour leurs Vacances

EXT. CLAIRIÈRE DANS LA FORÊT - MATIN

La clairière, baignée dans la lumière dorée du matin, porte les cicatrices de la nuit.

Alfred Dwight, Simon Carter et Alex Kimbels, leurs visages révélant à la fois

l'épuisement et la résolution, se tiennent au milieu des débris.

Alfred Dwight : (avec un soupçon de mélancolie) "Nous avons fermé un chapitre, mais

chaque fin annonce un nouveau commencement."

Victor Drakunevitch apparaît, sa présence imposante contrastant avec la fragilité

environnante. Son regard sur les agents mêle fierté et anticipation secrète.

Victor Drakunevitch : (d'une voix grave mais chaleureuse) "Vous avez défié les ombres,

mais gardez à l'esprit, la lumière attire souvent de plus sombres secrets."

Les agents, dans un échange de regards, reconnaissent l'inévitabilité de futurs défis.

Alex Kimbels : (les yeux brillants d'un désir de savoir) "Cette aventure a ouvert de

nombreuses portes. Je sens que derrière chacune se cache une énigme à résoudre."

Simon Carter : (le regard introspectif) "Je sens l'appel d'anciens mystères. L'Orient,

avec ses secrets cachés, m'attend."

Alfred Dwight : (un sourire énigmatique aux lèvres) "Et moi, je pars en quête de

réponses dans le silence. Qui sait quelles vérités m'attendent dans l'isolement ?"

Victor Drakunevitch : (un clin d'œil complice) "Reposez vous, mais restez vigilants.

Les graines que nous semons aujourd'hui pourraient bien germer en défis inattendus

demain."

Les agents, leurs mains jointes dans une poignée de main ferme, évoquent une unité

indestructible. Ils se séparent, empruntant des chemins qui promettent autant de

révélations que de nouvelles énigmes.

FIN DE LA SCÈNE

Alors que la caméra s'éloigne, elle capture les silhouettes des agents s'évanouissant

dans leurs directions respectives. Leurs pas résonnent d'une promesse tacite de

retrouvailles, chaque agent portant en lui les germes de futures aventures. La musique

s'élève, tissant un voile de mystère et d'espoir, signalant non seulement la fin de cette

épopée, mais aussi l'éveil de nouvelles quêtes.

FIN

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