Un texte difficile quand "des-noms-c'est", équivaut à dire des noms. Des noms de héros déjà oubliés, histoire de les encenser !

à Léa Du Maitillais

L'auteur pratique ici un style absurde et décalé de jeux-de-mots, partant de prénoms réels de pseudos-soignants associés à des noms fantaisistes, pendant la dernière pandémie. Le but de ce pré-texte : détendre le lecteur pour mieux tendre ce fil rouge de rendre une nouvelle fois hommage aux soignants et à leur professionnalisme.

Un parcours initiatique dans les limbes d'un hôpital fictif de province où les noms des protagonistes tant personnels de santé que patients ont été changés pour des raisons de discrétion et de sécurité...

...Sociale, la sécurité !

Témoignages :

-Personnel soignant de l'hôpital Larry Boiziaire, moi Alain Firmery j'y suis chez moi et Juste Tousseul aux brancards, -c'est dire de la pénurie de bras...cassés de nos hôpitaux, -tout au moins du côté des porteurs plus que déportés en dehors de l'établissement-, j'atteste du comportement professionnel exemplaire de mes collègues soignants qui savaient pourtant combien leurs patients, malgré eux, avaient du l'être !

-Moi Juste Tousseul comment avec Lucie Dittet, Jean Suivenu, Alex Trèmittey et Côme Jamet-Avent, Jules Courage, avec une certaine Aude Hass, de participer aux bons soins dispensés à Jacques Hun.

-Moi Jean Hébavey ; Emma Concy-Hans en fut bouleversée...

-Moi Aude Meurant, Jules Des Clik d'une Renée Sance et Amédée Pan, j'ai retrouvé cette Lucie Dittet qui m'avait quitté au profit d'une autre Félicité T. qui s'est avérée n'être que Béa Titude troublante, non sans ex à gérer. Et ainsi évité les foudres de Lise Théry, cheffe d'un service ou Ali Hennet et Lou Foc sévissaient, responsables désarmés devant cette Covid qui tuait ; comme Laura Atrapey à ses dépens...

-Moi Alain Verce, Remi Sion au service d'oncologie qui traitait d'affections malignes qui savent bien ce qu'elles font, dont souvent tumeurs. Pour Claude Ikan, Handi Capet avec Paul Liartrite ou Théo Rayonix, avec Luc Sassion en bras droit, ou Modeste Aumas avec Valérie Anne ou Dolly Prane, chacun savait son rôle et la covid aura été merveilleusement traitée comme tel, parasite de l'Humanité.

Souvent pour Anne Hémie, Justin Calman, pourquoi seul le cachet, soulageait le mal ; Elisée Lanotis avant ou prenez-la Angèle Apret (fille de Just' Apret), car "l'impotent hait de se soigner" ; une consigne toujours utile de Lara Peulet.

Alice Tairy nul n'est parvenu, elle en est partie on ne l'a pas retenue. Quand l'hôpital est en crise, même une crise de foi y aurait été soignée, voir Aubin Marie par lavements sans arrières pansés... Théo Couran ?

Remerciements de patients traités pour toutes pathologies :

-Anna-Lise Dessant ou Anne Alice du Rhineux sans Anne O'Mally, c'était Inès Perret, Sylvie Lontan, Grâce Homédoc, c'est du James Hévu...

-Maddie Centry, Aubin Dessiège, Elma Guéry, Léa Ricaud et Larissa Episset, Pacôme Havan, Sam Hépermy...

-Nathan Patrault, Lassie Fileau, Marc Latette, Eva Donvite, Sheila Dermateau, Yves Tombien, Sauveur Detapaux.

Quant à Pierre Tombal, il n'en a pas réchappé. La mort, c'est la vie aussi !