¡Felicidades! Tu apoyo al autor se ha enviado correctamente
Chapitre 11 - Tout le monde ment

Chapitre 11 - Tout le monde ment

Publicado el 26, abr, 2024 Actualizado 20, jul, 2024 Crime stories
time 15 min
1
Me encanta
0
Solidaridad
0
Wow
thumb comentario
lecture leer
3
reacción

En Panodyssey, puedes leer hasta 10 publicaciones al mes sin iniciar sesión. Disfruta de 9 articles más para descubrir este mes.

Para obtener acceso ilimitado, inicia sesión o crea una cuenta haciendo clic a continuación, ¡es gratis! Inicar sesión

Chapitre 11 - Tout le monde ment

— Ah, vous voilà ! s’exclama Carter en les voyant revenir. Vraiment, vos petites sorties impromptues me mettent dans une situation très embarrassante, Strange ! Ces gens nous accordent leur temps dans une période difficile, faites preuve d’un minimum de respect et accélérez un peu la cadence !

En guise de réponse, l’enquêteur roula des yeux en soupirant, comme exaspéré.

— Je me permets de vous rappeler que parmi tous ces braves gens effondrés, il y a un tueur qui se délecte de la situation ! Et croyez-le ou non, mais ces gens n’ont vraiment rien d’autre à faire ! Bien, nous pouvons passer au fils aîné !

Les deux colocataires retournèrent ensemble dans le salon, suivis par le Chief Inspector, pendant que Patel allait chercher leur potentiel suspect : Charles Pembroke. Contrairement à Sinclair, qui avait paru plutôt nerveux et agité de tics, le jeune homme qui les rejoignit semblait parfaitement serein. Il s’installa d’un air majestueux sur le fauteuil en face des deux compères, le visage figé dans une expression indéchiffrable. Pas la moindre sensation de tristesse ne semblait l’ébranler, il se tenait comme si sa journée était totalement ordinaire. Mais lorsque son regard se posa sur Strange, Alexander y décela une lueur méprisante et dédaigneuse.

— On m’a dit que vous aviez des questions à me poser, déclara-t-il avec froideur en croisant les jambes. Je vous écoute.

Sa voix avait le timbre grave d’un jeune adulte qui approchait de la trentaine d’années. Mais son attitude hautaine et condescendante la rendait plutôt désagréable. Il donnait véritablement l’impression qu’il pensait perdre son temps avec des gens qui n’étaient pas de son milieu. En face de lui, le « détective » esquissa un sourire démoniaque.

— Est-ce que vous êtes satisfait de la mort de votre père ? demanda-t-il sans préambule.

— Je vous demande pardon ?! se scandalisa Charles avec colère. Comment osez-vous ?

— Je suis enquêteur, j’ose dire tout et n’importe quoi, répliqua Strange avec un rictus. Par exemple, je pourrais très bien vous demander combien de femmes vous avez courtisées avant que l’une d’elles ne s’intéresse finalement à vous. Mais je me doute que le nombre serait assez embarrassant, alors je vous épargne l’obligation de devoir répondre à cette question-ci.

Un petit silence suivit sa déclaration, ses anciens collègues étant simplement médusés par son culot enfantin, son colocataire étant surpris par l’assurance de sa voix, et le jeune noble étant manifestement occupé à passer en revue dans sa tête toute les insultes qu’il connaissait pour choisir la plus adéquate à cette situation.

— Je ne vous permets pas de me parler ainsi ! gronda-t-il, son visage prenant une couleur rouge de fureur. Pour qui vous prenez-vous, sale petit coq prétentieux ?!

— Pour quelqu’un qui est allé mettre son nez dans les affaires des autres, répondit Sullivan sans s’énerver. Le notaire de votre père était plutôt bavard et ne tarissait pas d’anecdotes sur vos défaites amoureuses. Cependant, pour les besoins de notre enquête, je préférerais que nous parlions de votre récente… conquête, si je puis dire.

— Je n’ai pas à répondre à cela, grogna Charles, les dents serrées et les poings crispés.

— Oh, c’est comme vous le voulez, répliqua l’enquêteur avec légèreté. Je me permets simplement de vous rappeler que votre père essayait d’interrompre ce qui semblait être un début d’idylle avec votre jeune amie. Étant donné que vous partez au quart de tour à la moindre provocation, ce que je viens de vérifier à l’instant, je ne serais pas si surpris si vous aviez décidé de tuer votre père dans l’une de vos sautes d’humeur. Saviez-vous que vous êtes le principal bénéficiaire de son testament ?

— Oui, je le savais, grommela le jeune homme sans comprendre où il voulait en venir.

— Il est bien possible qu’il en ait fait un nouveau à la suite de votre dernier conflit et que son meurtrier ait décidé de le brûler. Sachant que vous étiez son bénéficiaire, il me semble logique que vous fussiez celui qui avait le plus à perdre en cas de modifications dans la répartition de ses biens. Et j’ai le privilège de vous annoncer que pour le moment, vous êtes le suspect numéro un aux yeux de Scotland Yard !

Alors le visage de son interlocuteur se figeait dans une expression de choc, les deux policiers manquaient de s’étrangler avec leur salive.

Décidément, Strange est plus en forme que je ne le pensais !

— Ce n’est pas moi ! protesta Charles Pembroke avec empressement. On ne tue pas quelqu’un pour si peu ! Et puis, j’ai quitté la réception avant la nuit, au moment des faits, j’étais déjà parti depuis un moment !

— Dans les situations les plus compliquées, l’homme agit toujours de manière très prévisible, sourit l’enquêteur. Avez-vous la moindre idée du nombre de meurtriers que j’ai entendu me dire « ce n’était pas moi, je le jure » ? Si vous souhaitez réellement prouver votre innocence, vous auriez peut-être intérêt à vous montrer un peu plus coopératif, ne croyez-vous pas ?

Alexander devait bien s’avouer qu’il avait sous-estimé son compère. Il l’avait trouvé un peu trop détaché des interrogatoires, alors qu’en réalité, il trouvait à chaque fois la corde sensible pour obtenir ce qu’il désirait.

— Que voulez-vous savoir ? soupira finalement le noble en passant une main lasse sur son visage. Quand j’ai quitté la maison ? Ce que j’ai fait de la soirée ?

— Passons ces banalités, répliqua calmement Sullivan. J’ai appris par le valet… j’ai oublié comment il s’appelle…

— Sinclair, répondit Carter d’un ton machinal.

— Il m’a dit que vous étiez en discorde avec votre père à cause d’une certaine dame. Quel était exactement le problème avec cette femme ?

Les joues de Charles prirent une vive couleur rose sous la gêne. Devoir rentrer dans les détails de sa vie sentimentale devant quatre inconnus ne devait pas être une perspective très réjouissante.

— J’ai… j’ai rencontré Maggie un peu par hasard. Son père tient une épicerie dans une petite rue commerçante de Westminster, et elle travaille comme vendeuse en journée. Après la fermeture, elle est serveuse dans un pub près de chez elle. Je m’étais arrêté une fois là-bas avec des amis, et c’est comme ça que nous nous sommes rencontrés. Je suis revenu et nous sommes devenus un peu plus proches avec le temps. Elle ne roule pas sur l’or, mais cette une fille vraiment bien.

— Mais cela ne convenait pas à votre père ? supposa l’inspecteur-en-chef.

— Quand il l’a appris, il a voulu me forcer à arrêter de la voir, confirma le jeune homme en se tordant les mains. Il a dit qu’il me déshériterait et qu’il me chasserait de la famille si j’osais la demander en mariage. Pour lui, elle n’était qu’une fille d’épicier sans intérêt… il voulait que je trouve quelqu’un… de mon rang.

— Il vous a probablement dit pourquoi, intervint Strange en haussant un sourcil. Une alliance utile ou une grosse dot à la clé ?

— Les… les investissements de mon père n’ont pas toujours été très productif, hésita Charles. Je pense qu’il en avait après les dots, ne serait-ce que pour couvrir ses arrières. Mais je ne suis prêt en aucun cas à sacrifier mon bonheur pour ces histoires sordides de chemins de fer !

— Où êtes-vous allé lorsque vous avez quitté la maison l’autre jour ? interrogea l’enquêteur en passant ses mains dans sa tignasse sombre. Voir votre dulcinée ?

— Elle n’était pas de service ce soir-là, répondit le noble en secouant la tête. J’ai loué une chambre pour la nuit dans un hôtel de Mayfair. Le lendemain, j’ai reçu un télégraphe qui m’apprenait la mort de mon père.

— Est-ce qu’un de vos proches était au courant de votre présence dans cet hôtel ?

— Non.

— C’est parfait ! conclut Strange avec un sourire satisfait. Je reviendrais vous voir si j’ai d’autres questions, mais pour l’instant, je pense en avoir terminé. Juste une dernière chose : vous êtes bien revenu en fiacre hier après-midi, n’est-ce pas ?

— Eh bien, oui.

— Excellent, murmura le noiraud en se levant du canapé. Merci de votre aimable collaboration !

Il tendit une main au jeune homme pour le remercier et, bien que surpris par ce geste, Charles la serra dans la sienne en esquissant un sourire timide. Il put finalement sortir du salon, laissant derrière lui quatre hommes en pleine réflexion.

— Tout le monde ment, soupira Sullivan en se laissant retomber sur les coussins d’un air fatigué, renversant sa tête par-dessus le dossier.

— Chef, lança Patel en se tournant vers l’inspecteur, personnellement, je n’y crois pas trop à cette histoire d’hôtel. Peut-être pourrions-nous vérifier leur registre, pour voir s’il a vraiment séjourné dans l’un d’eux. Qu’en pensez-vous ?

— Je ne sais pas trop quoi penser de ce jeune homme, marmonna Carter sans répondre à sa question. Au début, je le trouvais très froid et méprisant, mais après, il est devenu beaucoup plus ouvert et tellement touchant que cela frisait le ridicule. Peut-être jouait-il la comédie de l’amoureux désespéré, comme s’il interprétait Roméo et Juliette.

— Qu’est-ce que c’est ? interrogea son ex subordonné en se redressant.

— Tu ne connais pas Roméo et Juliette ? demanda le sergent en haussant un sourcil sceptique, comme s’il n’en croyait pas ses oreilles.

— C’est une tragédie de William Shakespeare, expliqua Alexander. Roméo et Juliette sont deux amants qui ne peuvent s’aimer à cause de la rivalité entre leurs deux familles.

— Ah, c’est sans doute pour ça que je ne la connais pas, souffla Strange en remettant sa tête en arrière tout en fermant les yeux. Les histoires d’amour, ce n’est pas ma tasse de thé.

— Charles Pembroke est un suspect intéressant, reprit le Chief Inspector. Il a un, et même deux excellents mobiles pour le meurtre, et si on trouve la preuve qu’il n’était pas dans un hôtel, alors son alibi pour le crime tombe à l’eau. Il aura sans doute réservé sa chambre, mais rien ne nous garantit qu’il y soit effectivement resté. Sergent, commençons par les hôtels le long de Park Lane, ce n’est pas très loin.

Sans même se soucier de la présence des deux colocataires, les policiers sortirent d’un pas pressé. En se tournant vers son compère, le soldat remarqua le sourire amusé qui étirait ses lèvres.

— Un esprit sain aurait dit que vous êtes content d’avoir fourni cette piste à Scotland Yard, commenta le blond avec le ton d’un scientifique menant son expérience, et que vous êtes fier d’avoir pu aider la police. Mais je pense que je commence à suffisamment vous connaître pour comprendre à votre rictus victorieux que l’hypothèse de Carter ne tient pas la route et que vous êtes en réalité satisfait qu’il parte sur une mauvaise piste. Ai-je raison ?

Strange se redressa lentement en rouvrant les yeux, et lorsque son regard croisa celui d’Alexander, ce dernier sut qu’il avait vu juste.

— C’est exact, Wilson ! confirma l’enquêteur avec admiration. Certes, le fils aîné avait une excellente raison pour tuer son père, mais très honnêtement, je pense que ça s’arrête là.

— Alors pourquoi avez-vous dit « tout le monde ment » si vous croyez ce qu’il a dit ? s’étonna son interlocuteur sans comprendre.

— Il n’est pas resté à l’hôtel, ou tout du moins, il a passé un long moment à l’extérieur, probablement à boire pour noyer ses problèmes.

— Et c’est maintenant que je dois vous demander comment vous pouvez affirmer cela avec autant d’assurance ? supposa le blond, avant de croiser son regard amusé. Bon, très bien. Ô brillant esprit, voulez-vous bien fournir vos savantes explications au simple mortel que je suis ?

Il avait pris une voix volontairement implorante, mais il avait tellement forcé le trait que son discours relevait plutôt de la comédie qui ne fit qu’amplifier le sourire de son colocataire.

— Quand je lui ai serré la main, ce n’était pas par politesse, mais simplement pour me rapprocher un peu de lui. Et il sentait l’alcool, c’était assez léger, mais bel et bien présent. S’il est revenu ici hier, il a pu se changer entre-temps mais…

Il s’interrompit brusquement dans sa phrase en se redressant au bord du canapé, faisant sursauter son voisin.

— Mais quoi ? interrogea celui-ci en sentant la curiosité grandir.

— Venez, Wilson…

Strange quitta les coussins moelleux et se dirigea vers la porte à grands pas. Sans comprendre quelle mouche avait encore pu le piquer, Alexander se leva également et le suivit. Ils regagnèrent le hall d’entrée, désert depuis le départ des policiers, et le noiraud prit la direction des escaliers. Il monta furtivement les marches et prit le couloir dans la direction opposée à la chambre de Lord Pembroke.

— Mais où est-ce que vous allez ? feula le militaire pour ne pas attirer l’attention.

— Père et fils ne s’entendaient pas, donc il serait logique de penser que leurs chambres sont assez éloignées, murmura l’enquêteur en ouvrant les portes au hasard. Avec un peu de chance, les domestiques ne seront pas encore passés… Ah !

Il se glissa dans la chambre qu’il venait d’ouvrir, mais son compère préféra rester sur le pas de la porte.

— Strange, vous pouvez vraiment fouiller comme ça dans les affaires des gens ? chuchota-t-il en le voyant inspecter les lieux comme un chien de chasse. Il ne vous faut pas un mandat ?

— C’est l’avantage de ne plus être de Scotland Yard, jubila l’intéressé avec un sourire. Je suis un civil, je ne peux pas demander un mandat de perquisition. Dommage !

Il se redressa de derrière le lit, une chemise blanche à la main, satisfais, et s’approcha de son colocataire.

— Sentez, dit-il en lui mettant le tissu sous le nez.

Alexander s’apprêta à protester, avant qu’une puissante odeur de whisky ne lui agresse les narines. Il se détourna en plaquant une main sur son nez.

— Ça empeste, n’est-ce pas ? ricana Sullivan. C’est exactement l’odeur d’une personne qui a bu un peu trop, et dont les vêtements se sont bien imprégnés de cette douce senteur !

Il montra ensuite une pile de linges déposés sur une malle, là où il avait récupéré la chemise malodorante.

 — C’est une tenue de soirée, et si elle est toujours là, c’est qu’il la portait il y a peu de temps encore. Je suis presque certain qu’hier soir, il en était toujours vêtu !

Il examina les manches immaculées de l’habit, avant de le remettre à sa place. Se faufilant en dehors de la chambre, il referma la porte derrière lui et fit signe à son complice de le suivre. À son grand soulagement, Alexander vit qu’ils repartaient en direction du salon.

— Rappelez-vous ce que j’avais dit hier, reprit Strange en s’autorisant à parler à voix haute tandis qu’ils descendaient les escaliers, quelqu’un a poignardé la victime en plein milieu de sa soirée mondaine, entouré de plein de gens ! Mais le meurtrier a bien dû cacher son stylet quelque part, n’est-ce pas ? Le plus évident est de le cacher dans sa manche, est-ce vrai ?

— En effet, confirma le soldat avec un hochement de tête. Cela dit, vous avez déclaré vous-même que le coupable avait préparé son coup, et peut-être n’a-t-il pas choisi la solution de l’évidence. Il l’a peut-être dissimulé ailleurs.

— Voyons Wilson ! s’amusa l’enquêteur. Imaginez un instant que vous êtes le tueur !

— Très flatteur, grimaça le blond.

— Est-ce que, juste après que vous ayez poignardé un homme en plein cœur, entouré de dizaines de personnes, vous n’auriez pas un peu hâte de dissimuler votre arme ? Je l’ai dit tout à l’heure : dans les situations les plus compliquées, l’homme agit toujours de manière très prévisible.

— Bon très bien, céda son colocataire en ouvrant la porte du salon. Le tueur l’a caché dans sa manche, et alors ?

— Et alors les manches du fils aîné sont propres, répondit immédiatement Sullivan. Donc il ce n’est pas lui qui l’a poignardé au cours de la soirée.

— Mes sincères félicitations, Strange, se moqua Alexander. Vous venez d’éliminer un suspect ! Il n’en reste plus qu’une petite centaine ! En outre, vous parliez de deux meurtriers, et le second s’est glissé dans la chambre de Lord Pembroke bien après la fin de la soirée. La chemise de Charles Pembroke ne l’innocente pas.

— Ça, c’est vous qui le dites, répliqua son interlocuteur. Moi, je peux vous dire que si ces habits sentaient autant l’alcool, celui qui les portait devait être fortement imbibé. Et s’il était aussi ivre que ses vêtements le laissent penser, il a dû avoir beaucoup de difficultés à retourner à son hôtel. Alors entrer discrètement dans la maison, se glisser dans la chambre sans se faire voir et poignarder à plusieurs reprises un homme, n’en parlons même pas !

— Ainsi, vous êtes certain de l’innocence du fils aîné, résuma le blond alors qu’ils s’installaient en même temps sur le canapé.

— Non, pas exactement, soupira l’ex-inspecteur. Ce que je viens de vous exposer, Wilson, ce n’est pas la vérité. C’est l’explication qui a la plus grande probabilité d’être la vérité. C’est la mince chance que je me sois fourvoyé qui me permet de ne pas me braquer sur une hypothèse et de ne pas être aveugle aux autres pistes. Auriez-vous l’heure, par hasard ?

Le soldat sortit sa montre à gousset de la poche de son gilet et lui annonça qu’il était presque dix heures.

— Excellent, je vais encore interroger le fils cadet et la veuve ! Après, nous pourrons rentrer et réfléchir ensemble et calmement à toute cette histoire !

lecture 113 lecturas
thumb comentario
3
reacción

Comentario (0)

Puedes hacer una donación a tus escritores independientes favoritos para apoyarlos

Seguir descubriendo el universo Crime stories
L'Egorgeur : Chapitre 8
L'Egorgeur : Chapitre 8

Le Commissaire Demesy ne manqua pas d’être interpelé par la situation originale de l’inst...

Daniel Muriot
5 min
CHAPITRE XXIV
CHAPITRE XXIV

Où certains placards finissent par s’ouvrirMonsieur DUPONT, di...

Cedric Simon
6 min
Chap 9
Chap 9

Sa course ne lui avait pas fait que du bien. Certes il respirait de manière régulière, pr...

Claire Brun
3 min
Chap 8
Chap 8

Il attendit que le bruit du moteur du taxi s’éloigne pour sortir de son lit. Il n’avait p...

Claire Brun
5 min
Chap 7
Chap 7

La comparaison de la photographie de l’individu sortant de l’immeuble avec la banque de d...

Claire Brun
2 min

donate Puedes apoyar a tus escritores favoritos

promo

Download the Panodyssey mobile app