PROLOGUE ET LE POÈME I
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PROLOGUE ET LE POÈME I
Textes de 2020 :
Nous sommes, sans aucun doute, à un tournant de notre civilisation.
Les progrès techniques sont tels que l'information peut être récoltée, stockée.
Et surtout utilisée par, autant, les dirigeants de nos pays que par toutes sortes de mafias.
Il est temps de se lever comme citoyens libres et de s'opposer à cet esclavage numérique.
Les politiciens, qui sont plus des gestionnaires que des politiques, veulent votre bien.
Et comme, ils sont les seuls à savoir ce qui vous convient, il est urgent, pour eux de vous gérer.
Je vous offre la lecture d'un peu de poésie.
En espérant que le sens de ces textes, trouve l'écho indispensable, touche ceux qui ressentent venir ce futur enfermement.
Chacun pourra en retenir les termes, à lui utiles, pour convaincre son entourage.
Il est toujours plus facile d'aller vers la servitude, d'abandonner des libertés, que de les retrouver !
Le grand suffisant, le pygmalion au petit pied, le bavard inutile et le vilain puant
Dans les arcanes d’un pouvoir, fort bien introduit,
De prendre la place, d’occuper l’espace, il rêvait.
De son Maître sans pensée, les espoirs il bannit
Pour ses banquiers et par eux, l’orgueil il avait.
De sa vieille compagne, de pygmalion pâle copie,
Comment ses mentors apparents savoir trahir,
Dès son jeune âge déjà, il avait bien appris,
Et pour les marches de la célébrité gravir,
A défaut de laisser mémoire de renommée.
Tous les écarter, par ses dossiers, il pouvait
Et les autres, disponibles, par un fier poste, acheter.
Après avoir, celui qui se croyait père, tué.
Son couple cumulant vices, trouvait grande pureté,
Pour le Louvre, par musique et lumières, traverser
Et du Palais garder image de majesté,
Que, sans ce faste ridicule, seul il ne pouvait.
Celle qui, depuis long, dans cette voie le soutient,
Par expérience solide, lui passe tous ses désirs
Et l’exercice d’un pouvoir excessif maintient,
En y trouvant, sans aucun doute, un grand plaisir.
Nombreux collaborateurs il fallait choisir
Un premier transfuge, grand par sa taille seulement
L’opportunité unique d’un poste sut saisir
De son premier ministre de ce gouvernement.
Malgré discours maternels dans la presse acquise,
De comparaison, il ne pouvait que souffrir
Malgré les qualités mineures et sans maitrise
De gens qu’au fin fond, il avait fallu quérir.
Il se devait de sa position l’écarter
Une épidémie, lui permit, surprise exquise,
Ce qu’annonçait sa femme et au peuple de montrer
Sont, de Jupiter, toutes les solutions, requises.
Si affolé, le ministre organise sa fuite
Vers des rivages municipaux beaucoup plus stables
Où ses fautes oubliées, dans un espoir de suite,
Vers la fonction que seul l’orgueil rend concevable.
Après quelques essais et surtout des erreurs
Créations de comités et d’institutions
D’incompétence et petits chefs, il ne demeure,
En non gouvernementale organisation.
Des désirs du bavard inutile, cet objet,
Qui perdant ses lunettes et restant sans vision,
Pris pour l’absence de risque ou de quelconque projet
De gloire inespérée, venir en Matignon.
De pandémie, user de façon éhontée,
Pour la peur instiller, la panique installer,
Par silence des agneaux, le pouvoir protéger
De toute liberté ou de se voir critiquer
Les prétendues compétences du vilain puant,
Si incapable de son ministère diriger
Tel un ministre délégué du grand suffisant
Occupait toutes les ondes amies ou payées
Missionnée, la mauvaise copie de la Joconde
Poursuit l’action indispensable de division
Avec des associations aux idées fécondes
Pour éviter le risque d’éventuelles élections.
De ce monde de politiciens, sont nés des monstres
Dont la présence trop constante sur tous les écrans
Leur manque de tenue, l’absence de statut démontrent
Qu’ils sont, de lectures, gavés, copiées sans talent.
Des bassesses, mensonges mesquins des sinistres bouffons
Il n’est nul besoin pour le Grand Homme d’une Nation,
Du pouvoir indu acquis de mauvaise façon
Avantage n’est maintenu que par division.