English
Français
Deutsch
Italiano
Español
Violeur
Veröffentlicht am 28, Mai, 2025
Aktualisiert am 28, Mai, 2025
Drama
1 min
Drama
Veröffentlicht am 28, Mai, 2025
Aktualisiert am 28, Mai, 2025
1 min
0
Gefällt mir
0
Liebe ich
0
Solidarität
0
Wow
Kommentar
Lesezeit
Auf Panodyssey kannst du bis zu 10 Veröffentlichungen im Monat lesen ohne dich anmelden zu müssen. Viel Spaß mit 9 articles beim Entdecken.
Um unbegrenzten Zugang zu bekommen, logge dich ein oder erstelle kostenlos ein Konto über den Link unten.
Einloggen
Violeur
Beitragen
Un mot d'un dictionnaire, ma définition, votre sourire, ma joie
A sa façon un amoureux des femmes ; en tous cas pas un gars lent !
Photo de Pexels
27 Aufrufe
Kommentar
Vorherige Veröffentlichung
min
Du kannst deine Lieblingsautoren unterstützen
Jean-Christophe Mojard vor einem Tag
Je voulais dire « désolé, je n’adhère pas », mais je vais retirer le « désolé ».
Je n’adhère pas, tout court, voire je dénonce.
Violé par mon grand-père, mort libre et innocent.
Mon père condamné par contre.
Des dizaines d’amies victimes. Pour l’une d’entres elles, j’ai visité l’intérieur de ses poignets et j’ai dû tenir jusqu’à l’arrivée des secours.
Alors non.
Non, le violeur n’est pas le gars lent qui aime les femmes à sa façon.
Le violeur c’est le gars dont on devrait couper les couilles. Tout comme on devrait le faire à ses propagandistes.
Juliette Norel vor einem Tag
À la question "Peut-on rire de tout, et avec tout le monde ?" J’aurais eu tendance à dire oui. Mais non. Il y a des sujets où "l’humour" devient une insulte, une gifle aux victimes sous prétexte de provocation. Ici, c’est un humour cisgenre, dépassé et aveugle aux réalités d’aujourd’hui. Un vestige d’un autre temps, rétrograde et sans conscience, qui se maquille en audace... et qui, en bonus, détourne des symboles de lutte sans en comprendre la réelle portée. "My Body, My Choice" n’a jamais été un simple effet de style. ou de réthorique. C’est un cri pour le droit à disposer de son propre corps, un combat pour l’accès à l’avortement, et non une simple référence aux violences sexuelles—même si, par malédiction, ces réalités se croisent trop souvent. Donc, si l’idée était de provoquer sans conscience, c’est réussi. Mais à force de troquer l’intégrité contre quelques clics, il ne reste plus qu’un spectacle dérisoire qui peine à dissimuler sa vacuité. Dommage. Mais après tout, dans l’ère du buzz, pourquoi s’encombrer de respect ou de nuance quand on peut se draper dans l’arrogance d’un humour périmé depuis longtemps?