Notre ennemi, mon ennemi, est ce si piteux président pour un grand pays comme les Etats-Unis d'Amérique : un plus-jamais-occupant-d'une-Maison-qu'il-a-entachée. Donald Trump a le pouvoir arrogant ; tout pouvoir ne l'est pas, le sien si (son imagination - pas sa pensée, il n'en a pas ce réfugié dans la ruse et ignorant de toute intelligence) comme qui pisserait après un mur tel le chien (mâle, avec des crocs) et un chien blanc (suprême !) - en langage lacanien : qui a la Queue, image narcissique du Pouvoir - ¨Phallus - et d'un culte qui se rapporterait à cet Un de référence patriarcal -. Mais Mr Trump ne sait pas ce qu'est le pouvoir, sinon il ne l'aurait pas perdu ; il a donc le pouvoir arrogant, et le droit très flou ou vraiment approximatif; ce chicanier, chicaneur, avocassier l'exemplifie... Wah wah, comme aurait dit mon Papa.

Dans l'ordre (et la cohérence : consistency, first criteria for truth), voici comment récapituler ce qui se passe en ce moment concernant ce Figurant (pas la peine de lever le pouce, pas dans notre camp - et pas de concentration - LE Trump) de très mais alors de très mauvais goût, rattrapé par ce qu'il est et on est ce qu'on est, que ce qu'on est comme on ne vieillit contre soi. Portrait, même pas vitriolé, de Trump, via l'actualité critique.

Fact-checking Donald Trump (14-08-2022) fait état d'une distinction qu'il faudra bien retenir en tête qui fait du crime (viol[ation] de la loi) trumpiste une gravité sans doute sans précédent, distinction entre une INFORMATION et son UTILISATION voire ses utilisations, y compris clandestines, passant par sa diffusion surtout quand elle est interdite.....autrement dit un seuil passé, une limite franchie, une borne dépassée : quand la vulgarité conspiratrice (cf. texte d'hier) est divulgation ou divulgatrice : vulgos de chez vulgos (don't know translating even in my beloved native tongue). De fait et c'était l'objet du "raid" que le FBI lança sur la maison de Trump (en Floride) pour perquisitionner (donc non sans raison), question de défense nationale (donc de vie puisque question de sécurité), Trump est coupable (de fait, son nom est également associé à l'émeute du Capitole et son populisme excite des masses à un culte ennemi de toute démocratie) de violation de The Espionage Act. En découle une mise en examen sans précédent à cause de ce qu'il a FAIT (pas de sa personne, nous ne donnons pas dans le narcissisme nous autres modernes et démocrates) - unprecedented indictment because of unprecedent actions. 

Meet the Press (même date) rappelle que ce Président (élu par qui au fait - I mean - c'est-à-dire poussé par qui ? Mise sur le devant de la scène, par qui ? Tout le monde sait qu'on ne fait pas du Carter avec du Trump, ni de l'Obama... avec du Trump...: comme on ne fait pas du neuf avec du vieux, ça c'est du Bergson) a touché à ce qui était SECRET, depuis ce qu'il y a de plus secret (au sommet, forcément à celui de l'Etat) à ce qui l'est moins jusqu'à la confidentialité, qu'il a pris des dossiers ou s'en est emparé sans restituer le tout ou en en ayant probablement éventé le contenu... ça sent le RECEL. Il s'est en effet octroyé le droit (?) d'obtenir et de garder des dossiers ne lui appartenant pas : Trump n'est pourtant pas l'Etat (pas plus que Macron etc etc.) ; autrement dit, il n'est pas un roi : il a été un président, il n'est plus que résident des et aux USA. Sa piètre stature (pas la peine d'ameuter les foules, de créer des hordes, le peuple n'est pas une masse et n'a pas à être traité ainsi c'est-à-dire comme des chiens) l'a conduit (lui qui ne comprend pas le pouvoir, ce qu'est le pouvoir, ce que c'est que gouverner et ignore combien c'est difficile) à mettre la grappe sur "the 'most protected secrets in the U. S. government ... [gravissime : so serious] .. like names of CIA sources in Moscow or images of the most advanced spy satellites". Voyez-vous ça, entrer dans les programmes de la CIA, se mêler d'ESPIONNAGE (du faux - spécialiste en fake, tactique jusqu'auboutiste du mensonge - droit de regard), mais c'est extrêmement DANGEREUX, les DOMMAGES sont non seulement nationaux mais aussi internationaux. Alors QUI est mouillé(s) et QUI est impliqué par tant de vulgarité et d'amate