Deuxième cérémonie
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Deuxième cérémonie
Le lendemain d'une séance d'Ayahuasca est toujours étrange. Je ressens d'abord une grosse fatigue, une envie juste de rester allongé et me prélasser, en faisant fi de l'ennui et du temps qui passe. Et en même temps je perçois une certaine vitalité, une paix intérieure, une sensation d'équilibre et de sérénité. Je ne demande qu'à être là, je ne cherche pas à lutter, je me laisse entièrement porter par le flot et par le gré de mes envies, je lis, je m'allonge, je vais écrire dans le hamac, je discute avec l'un des fils de José, je vais marcher un peu, je vais me baigner à la rivière. Peu importe. Ce qui compte c'est l'attention plus soutenue que je prête à ce que je ressens en moi, à ce qui m'entoure et à chacune de mes actions. Car oui, malgré la fatigue ressentie, je suis dans un état
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Stéphane Hoegel 1 anno fa
Personnellement je me considère comme quelqu'un de plutôt rationnel, et par nature j'ai plutôt tendance à me tourner vers la matière, et par extension vers la science.
Et c'est là que comme toujours, les paradoxes ressurgissent : quand on étudie la matière et qu'on tente de comprendre de quoi elle est faite, qu'on se penche donc sur les "briques de l'existence" en descendant dans le toujours plus petit, puis dans l'infiniment petit, on finit par ne plus savoir faire la différence entre ce qui relève de la particule et ce qui relève de l'onde...
... et de l'onde à la pensée il n'y a pas un grand pas à franchir. Et qui dit pensée, dit conscience. Conscience que d'aucuns, comme tu le soulignais, considèrent qu'elle est une émanation de la matière qui se serait organisée de manière à la rendre possible.
La boucle est bouclée. Mais où démarre-t-elle ?