digital macht frei ?
Su Panodyssey puoi leggere fino a 30 pubblicazioni al mese senza effettuare il login. Divertiti 26 articles da scoprire questo mese.
Per avere accesso illimitato ai contenuti, accedi o crea un account cliccando qui sotto: è gratis!
Accedi
Surf Xi 4 mesi fa
Le [faux] débat [show médiatique] auquel il est fait référence entre [soi-disant] Spinoza et Descartes porte sur le sujet du libre arbitre.
Comme ce n'est pas clair dans cet extrait, je tente une petite synthèse.
Alors que certaines personnalités/organisations [utilitaristes über Alles] ne résistent pas à utiliser l'état de l'art des neurosciences pour manipuler encore un peu [beaucoup] plus l'opinion publique [Àd : à dessein], notamment via des techniques de neuromarketing numérique, d'autres personnalités [en particulier dans les médias] sont tentées de justifier ces pratiques toxiques en annonçant "la fin du libre arbitre" [comme on a annoncé par ailleurs "la fin de la vérité" et qu'on commence à annoncer "la fin de l'intelligence humaine 100% naturelle"].
En focalisant le débat publique [médiatique] sur des questions philosophiques au demeurant passionnantes et justifiées, ces "prophéties-autoréalisatrices" ont tendance [me semble-t-il] à minimiser [à dessein ou non] le débat sur le danger de l'utilisation, de manière systémique systématique et banalisée, de ces techniques que je trouve toxiques pour le respect des droits fondamentaux des êtres vivants en général, les libertés individuelles et des démocraties.
Surf Xi 4 mesi fa
Oui, vous avez raison : je n'avais pas pensé à ce divertissement pascalien qui semble très bien adapté pour décrire les tours de prestidigitalisation dont il est question ici.
cf. commentaire suivant svp pour "le cas Spinoza"
Jackie H 4 mesi fa
Spinoza et Descartes ? Pascal plutôt, je dirais - le fameux "divertissement pascalien" qui nous distrait de l'essentiel en remplissant nos cerveaux d'informations et de préoccupations superficielles (par exemple la presse people, les tendances du moment, la vie privée des uns et des autres, comme si l'essentiel se trouvait là...) qui, en saturant les lignes et en bouffant nos ressources, freinent voire empêchent toute pensée profonde et nous font tourner en rond dans les clichés convenus et dans les lieux communs...