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Chapitre IX- Première partie.

Chapitre IX- Première partie.

Pubblicato 14 set 2024 Aggiornato 14 set 2024 Science fiction
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Chapitre IX- Première partie.

   Il n’avait plus de temps à perdre. Autour de lui, l’étau se resserrait et la fin était proche, il le savait. Depuis la nuit précédente, Accalmia était devenue inhospitalière. Fugitif, il était désormais recherché et il n’y avait plus aucun lieu sûr dans cette cité surpeuplée aux millions d’yeux. Alors, Krys n’avait plus le choix, il devait quitter cette souricière au plus vite.

   Il avait dû précipiter le départ et, malgré les maigres informations qu'il avait récoltées sur les portes de la cité, il devait se hâter. Deux jours après les évènements de cette fameuse nuit où tout avait basculé, les préparatifs étaient achevés, n’attendant plus que l’adolescent prenne son destin en main.

   Au dehors, la lune perdue dans un océan de nuages, n'éclairait pas la cité endormie plongée dans les ténèbres. La tant redoutée pluie avait fini par tomber, clapotant sur les toits et rongeant peu à peu la ferraille. L’acidité de cette averse grignotait peu à peu la ville et tous ceux qui étaient à l'abri dans leur foyer frissonnaient à l'idée de voir leur chez-eux se faire dévorer par la pluie.

   Quand la nuit fut suffisamment avancée, Krys se pencha au dessus de son petit frère endormi et le secoua légèrement. Le petit garçon émergea péniblement du lourd sommeil qui s'était emparé de lui et, se frottant les yeux, il bailla bruyamment.

 - C'est déjà l'heure de partir ? demanda-t-il timidement.

 - Oui, cloporte. Il faut profiter de cette épaisse nuit pour avoir une chance de s’enfuir. Dans quelques heures le jour se lèvera et il sera trop tard.

   Kaleb se leva silencieusement et se vêtit machinalement, enfilant une sorte d'imperméable noir que Krys avait lui-même confectionné pour l’occasion, à partir de sacs poubelle volés. Ainsi emmailloté, le petit garçon était protégé de la pluie et n'avait plus à craindre son acidité. Une fois son petit frère prêt, l'adolescent lui tendit un bout de pain, seul nourriture qu'il pouvait lui offrir en ces temps de crise. Kaleb le remercia et le dévora en un clin d’œil, le faisant disparaître dans sa bouche aux dents avides. Quand il eut terminé, Krys se vêtit à son tour et, mettant sur son dos le sac qui contenait toute leur vie, il se dirigea vers la porte. Mais avant de sortir, il arrêta son petit frère et, s'accroupissant afin de se mettre à son niveau, il lui dit d'une voix solennelle.

 - Kaleb, ce que nous nous apprêtons à faire ne sera pas facile. Il va falloir se cacher, éviter les patrouilles, grimper, sauter, courir... bref, j'aurai besoin que tu tiennes bon. Ce sera dure, épuisant et même effrayant, mais il faudra que tu résistes. Tu peux faire ça pour moi ?

   Le petit garçon qui avait écouté attentivement, avait remarqué quelque chose d'inhabituel dans la voix du jeune orphelin. Pourtant, comprenant que quelque chose de crucial était en train de se dérouler, il mit de côté cette angoisse qui lui murmurait à l'oreille. Dressant fièrement la tête et se mettant le plus droit que le lui permit son dos déformé, il plongea ses yeux vairons dans ceux de son frère.

 - Oui Krys. dit-il en tentant d’imiter l'assurance qu’il admirait tant chez lui. Je serai fort, très fort.

 - Kaleb, il va aussi falloir m’écouter, m’écouter comme tu ne l'as jamais fait. M’obéir au doigt et à l’œil, m’obéir aveuglement. J'ai besoin que tu me fasses confiance, Kaleb. Aujourd’hui plus que n'importe quand. Je peux compter sur toi, petit frère ? Tu peux le faire pour moi ?
 - Oui Krys. Je te le promets.

   L'attirant à lui, l’adolescent le serra dans ses bras, appuyant sa tête contre son cœur battant. Puis, après de longues secondes, il repoussa le petit infirme et son visage qui s'était adouci le temps d'une étreinte, redevint d'une froideur effrayante.

   Ils n'avaient plus de temps à perdre.

   Prenant la main du petit garçon, il lui couvrit le crâne de sa capuche de fortune et dissimula ses propres traits sous la sienne. Une fois paré, son sac noué et fixé sur son dos, ils sortirent dans la nuit. Krys craignit un instant que leurs manteaux faits à la hâte ne résistent pas à la pluie, mais après quelques secondes durant lesquelles il retint son souffle, il s’apaisa. Le murmure de l'averse couvrait le son de leurs pas et dans cette obscurité écrasante, ils étaient presque invisibles. Mais de toutes façons, ils ne risquaient pas de croiser grand monde puisqu'à cette heure de la nuit, les rues de la cité endormie étaient désertes. De plus, grâce à cette pluie inopinée qui était devenue une alliée inespérée, les régulateurs évitaient de rester trop longtemps dehors, abrégeant leurs patrouilles, ce qui arrangeait grandement l'adolescent.

   Il avait l'impression que tous lui souriait dans son entreprise risquée et que les étoiles, cachées derrière les nuages, s'étaient alignées pour lui. Pourtant, il ne voulait pas s’abandonner à la sécurité fallacieuse de ces oripeaux d’assurance et il demeurait défiant. Ses yeux noirs scrutaient la moindre ruelle dans laquelle ils s'engageaient et, les sens en alerte, sursautait au moindre son.

   Bientôt, ils s’éloignèrent du cœur d'Accalmia, s'aventurant de plus en plus dans les quartiers périphériques que les honnêtes citoyens évitaient. Repère des brigands et des malfrats, c'était une terre de non-droit où les patrouilles étaient fréquentes et les altercations plus que quotidiennes. Pourtant cette pluie acide semblait avoir dissout les pensées de rébellion et adouci les cœurs les plus dures puisqu’un calme surnaturel régnait dans les rues. L'adolescent n'avait donc pas à craindre de mauvaises rencontres et la voie demeurait libre.

   Kaleb qui marchait dans ses pas, les yeux rivés sur lui et attentif au moindre de ses mouvements, ne semblait pas à l'aise dans cette partie de la cité. Ses yeux vairons s’agitaient dans tous les sens et il tournait la tête à chaque intersection, essayant de discerner dans les ténèbres environnants l’ombre d’une possible menace. Pourtant, il ne disait rien, avançant en silence dans le dos de son frère.

Après de longues minutes à arpenter ces ruelles sombres, Krys ralentit le pas et intima au petit infirme de rester près des murs. Ce bref changement de comportement alerta le petit garçon qui comprit qu'ils étaient arrivés à un moment crucial de leur fuite. En effet, à quelques mètres devant eux, la cité s’arrêtait brusquement avec de hauts grillages derrière lesquels s’étendait une sorte de terrain industriel qui précédait les remparts. Il s'agissait d'un lieu où les autorités entreposaient et stockaient les marchandises destinées à sortir de la cité afin d’être mises sur le marché du pays. Ces cargaisons étaient essentiellement constituées de colonnes d'acier façonnées dans les usines à partir de la ferraille des décharges.

   Au petit matin, ces marchandises étaient chargées dans les wagons de trains qui étaient les seuls à pouvoir traverser les portes de la cité. Au nombre de huit, ces dernières ne s’ouvraient que pour les laisser passer, permettant à peine aux habitants d’entrevoir ce monde extérieur proscrit, l’espace d’un instant.

   Krys, qui avait étudié les lieux durant de longs après-midis, savait exactement à quelle heure ces portes s’entrouvraient et comptait bien se servir de cette programmation quotidienne pour embrasser la tant désirée liberté. Il avait prévu de se glisser dans un wagon où ils n’auraient qu’à attendre de passer les portes afin d’atteindre ce monde sylvestre dont il avait tant rêvé.

   Son plan était d’une simplicité enfantine, mais la précipitation du départ ne lui avait pas laissé le temps d'en élaborer un meilleur. Ils ne devaient pas se faire repérer, sinon leur rêve d'évasion s’envolait. Ils n'avaient pas le droit à l'erreur.

   Se penchant vers Kaleb, il lui murmura à l'oreille :

 - Tu vas rester ici et ne pas faire de bruit. Moi, je vais tenter de créer une faille dans le grillage afin que l'on puisse se glisser de l'autre côté. S'il y a le moindre mouvement suspect dans mon dos, le moindre son inhabituel, tu me préviens. D'accord ? Je compte sur toi.

   Le petit infirme hocha solennellement la tête et vint se couler dans l'ombre pour prendre son poste. Krys, rassuré, le quitta et se dirigea silencieusement vers le grillage. Là, il s'assura que personne ne fut dans les parages et se tourna vers la haute barrière.

   En temps normal, les mailles métalliques qui la composaient étaient parcourues par un violent courant électrique qui dissuadait les miséreux de la franchir. Cependant, en raison de l'acidité de la pluie qui tombait, le courant avait été momentanément coupé, faisant taire l'incessant bourdonnement qui faisait grésiller l’acier. En se penchant sur les mailles, l'orphelin remarqua qu'elles étaient rongées par la rouille et qu'il serait aisé de les rompre. Pourtant, il ne pouvait se contenter de faire un énorme trou dans ce grillage, puisque les régulateurs s'en rendraient immédiatement compte et que cela contrarierait leur évasion. Et puis de toutes façons, il n'avait rien sur lui qui puisse les sectionner. L'adolescent ne pouvait pas non plus l’escalader puisque des barbelés tournés vers l'intérieur la surplombaient. Il était en train de désespérer quand il baissa les yeux sur ses pieds.

   Ici, le sol de la cité n'était pas goudronné, simple terre fangeuse et gorgée d'eau. En se penchant, il remarqua que le grillage ne s'enfonçait pas dans le sol et que, ourlée, il offrait un petit écart. Ayant trouvé une possible solution, Krys continua de détailler cette faille, quand la voix plaintive de Kaleb s'éleva dans son dos.

 - Qui y a-t-il cloporte ? demanda-t-il sans se détourner du grillage.

 - J'ai l'impression que quelque chose approche…

   Aussitôt, Krys fit volte face et s'élança vers son petit frère qui, blotti contre le mur, fixait l'obscurité. À son tour, il scruta la pénombre et tendit l'oreille, tous les sens en alerte. Après de longues secondes, malgré le bruit de la pluie qui tombait au sol en un vacarme assourdissant, il discerna le son d'une respiration.

   Se mettant devant Kaleb pour le protéger de son corps, il le poussa vers le mur afin de mieux le dissimuler. Retenant son souffle, il attendit que l'intrus s'éloigne, mais la respiration semblait venir droit sur eux. Il espérait que la pénombre fut assez épaisse pour les envelopper, mais son corbeau lui susurrait espièglement à l'oreille que ce n'était pas le cas.

   Soudain, sortant des ténèbres, la silhouette de l'importun se détacha de l'obscurité et, quand Kaleb l'entrevit, il ne put retenir un cri. Un battement de cœur plus tard, il s’élançait vers lui.

   Le petit garçon jeta ses bras fébriles autour de l'encolure du Borgne et plongea son visage dans sa fourrure grise. L'imposant chien posa son museau sur son crâne et ferma son unique œil. Krys, incrédule face à cette apparition inopinée, balbutia quelques paroles inaudibles avant de se ressaisir.

 - Mais qu'est-ce que ton satané clébard fiche ici ?!
 - Je n'en sais rien. répondit le petit garçon, le cœur gonflé de joie.
 - Il devrait être avec sa meute, en train de se protéger de la pluie acide...
 - Silver ne craint pas la pluie ! répliqua fièrement le petit infirme. Il est le seul chien de tout Accalmia à pouvoir sortir quand il pleut. C'est le meilleur !
 - Quoi qu'il en soit, il n'a rien à faire là. le coupa froidement Krys. Demande lui de partir.

   Kaleb, le regard suppliant, se tourna vivement vers son grand frère dont les yeux froids étaient rivés sur le chien.

 - S'il te plaît... Krys. sanglota-t-il. Il peut venir avec nous ? Il sera sage, je te le promets...
 - Il en est hors de question. Il va nous gêner et puis sa vie est ici, à Accalmia. Je refuse de…

   Soudain, les traits du visage de l'adolescent s'illuminèrent et un éclair de malice passa dans son regard noir. Il posa ses yeux sur le Borgne et le détailla attentivement. Puis, un sourire espiègle étira ses lèvres et il se tourna vers Kaleb.

 - C'est d'accord, cloporte. Il peut venir avec nous.

   Le petit garçon qui réalisa après de longues secondes de surprise, se jeta sur son frère pour le remercier et lui enserra la taille de ses bras. Krys qui n'avait pas de temps à perdre, le repoussa gentiment et se tourna vers le chien qui, assis, le fixait de son unique œil.

 - Par contre, s'il veut venir, il va devoir se rendre utile…

   Le petit garçon, trop heureux de partir avec ce chien qui l'avait vu grandir, se porta garant de lui et demanda à son grand frère ce qu'il voulait que Silver fasse. L'adolescent les approcha du grillage et, désignant le sol du doigt, montra au petit infirme l'espace qu'il y avait entre le bas de la barrière et la terre. Comprenant ce qu'il fallait faire, Kaleb se tourna ensuite vers le canidé et lui glissa un unique mot à l'oreille.

   Aussitôt, le Borgne se mit à creuser et après quelques minutes d'un travail acharné, le trou qu'il avait formé était assez profond pour leur permettre de s'y glisser. Kaleb, pour le féliciter, le récompensa de tendres caresses et la queue de Silver se mit à remuer. Krys coupa court à cette scène attendrissante et demanda à son petit frère de passer de l'autre côté du grillage. Le petit garçon, précédé du Borgne, s’exécuta péniblement et, quand ce fut au tour de l'adolescent, ce dernier prit le temps de reboucher le trou afin d'effacer toutes traces de leur passage.

   Cette fois, ils étaient proches du but et l'orphelin avait déjà l’impression de sentir l'odeur de la douce liberté.

   Le terrain industriel offrait de nombreuses cachettes où les trois compagnons pouvaient se dissimuler en attendant l'ouverture de la porte sud-ouest qui était prévue pour cinq heure et demie du matin. Ils avaient donc encore quelques heures à patienter et l'adolescent, qui se sentait faiblir, décida de se reposer.

   Trouvant une sorte d'énorme tuyau en béton armé d'un diamètre d'environ deux mètres, il décida de s'y glisser pour se protéger de la pluie acide qui s'intensifiait. Une fois à l'intérieur, Kaleb se blottit contre lui et posa sa tête sur son épaule. Le Borgne, lui, après s'être ébroué, s'allongea à l'entrée du tuyau pour monter la garde, son unique œil scrutant les ténèbres.

   Krys regarda son petit frère qui commençait à s'assoupir et, sentant la fatigue s'emparer également de lui, il posa sa tête sur celle du petit garçon. Le bruit de la pluie qui battait contre le toit du tuyau le berçait et la nuit épaisse qui, à l'extérieur enveloppait la ville, achevaient de l’assommer. Alors, cédant à la torpeur qui embrumait son esprit, il sombra dans un sommeil agité.

   Il ne sut pas combien de temps il resta dans cet état second où il percevait tout ce qui se passait autour de lui, mais quand il rouvrit les yeux, rien avait bougé, tout semblant figé dans un semblant de réalité altéré par l'obscurité. Kaleb, toujours endormi sur son épaule, ronflait doucement et Silver, encore allongé à l'entrée, scrutait l'obscurité. Le son de la pluie résonnait toujours dans le tuyau de béton mais elle semblait avoir perdu en intensité. Au-dehors, le ciel nuageux n'était plus d'une noirceur d'encre et l'adolescent comprit que l'aube était proche.

   Réveillant doucement Kaleb, il se redressa et s'approcha du Borgne qui ne lui prêta pas attention. L'énorme chien, les sens en alerte et les oreilles dressées, fixait un point devant lui. Krys l'observa quelques instants et détailla attentivement sa physionomie. Soudain, le chef de meute se mit d'un bond sur ses pattes et, l'encolure tendue vers l'avant, huma l'air. Ses oreilles s'agitèrent et ses muscles noueux se mirent à frémir sous sa fourrure couleur de béton. Alerté, l'adolescent tendit l'oreille et discerna à son tour le bruit de pas pataugeant dans la boue. Il vit bientôt deux silhouettes se détacher de la pénombre et se rapprocher des tuyaux entreposés où ils étaient cachés.

   C'étaient deux régulateurs chargés de charger les marchandises dans les wagons du train et qui devaient s'assurer que rien ne manquait à l'inventaire.

   Intimant à son frère de garder le silence, l'orphelin se coula le plus possible dans l'ombre qui régnait dans le tuyau. Le petit garçon, inquiet, se serra contre Silver qui s'était rapproché pour le protéger de la menace qui se profilait à l'horizon. Krys, le coeur battant retint un instant son souffle, de peur que les deux soldats ne les repèrent.

   Le bruit des pas se rapprochait inexorablement, résonnant bientôt dans la cavité où les deux frères retenaient leur souffle. Pourtant, après quelques secondes d'une angoisse insoutenable, les deux hommes s'éloignèrent, laissant enfin l'orphelin respirer. Il sentit un poids délester, ses épaules et il pensa qu'ils étaient hors de danger.

   Cependant, le sort qui jusque là avait semblé leur sourire, décida de se retourner contre eux et de de nouveau s'acharner.

   En effet, Krys qui était sur le point de féliciter le Borgne de les avoir sauvé, sentit soudainement sa gorge se consumer. L'instant d'après, une toux violente lui déchirait la poitrine et résonnait dans le tuyau de béton. Même s'il parvint rapidement à contenir le feu qui le dévorait de l'intérieur, il était déjà trop tard...

 

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