

Qui menace nos institutions?
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Qui menace nos institutions?
Tel un tout petit phare dans une tempête politique, nous allons essayer à notre humble niveau d'y voir plus clair.
Tout d'abord sachez que l'on assiste en ce moment même à une sorte de "trumpisation" de la politique française. À quoi cela se reconnaît-il? À des symboles, comme la tronçonneuse avec laquelle a posé Mr Éric Ciotti, symbole du libertarisme économique depuis la campagne de l'argentin Javier Milei qui entendait "couper les budgets de l'État à la tronçonneuse". Mais également par l'apparition d'une nouvelle forme de mauvaise foi: la post-vérité.
Comme si nous étions tout à coup tombés au creux du scénario d'un roman orwellien, on nous annonce des choses incroyables qui lorsque l'on vérifie un peu sont fausses. Mais le concept va plus loin, sinon ce serait un


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Mario Dangelo 1 mese fa
J'ajoute que le risque le plus grave c'est que les coups de boutoir contre le Conseil constitutionnel visant à le décrédibiliser vont de pair avec ceux qui sont portés contre La Cour européenne des droits humains.
Quant à moderniser la démocratie française pour la rendre plus participative, il serait temps de s'y attaquer :
- élargissement réel de la procédure de référendum d'initiative populaire
- nouveau mode de participation déjà testé avec la question de la transition écologique ou de la fin de vie
- réduction de la durée des mandats
Mario Dangelo 1 mese fa
je suis d'accord sur le fait que les institutions de la Vème République sont remises en cause. Elles l'ont été dès le départ et surtout après le virage de 1962 renforçant la légitimité du président de la république par l'élection au suffrage universel.
Pourtant dès opposants notoires comme l'Union de la gauche n'ont pas renversé la table après 1981.
L'idée de VIème République (retour au régime parlementaire plus ou moins rationalisé) est reprise à gauche (Montebourg Mélanchon par exemple) fin des années 1990 et continue d'être surtout mise en avant par LFI et une partie du NFP.
Mais iraient-ils contre le oeuple français très attaché au régime lui permettant d'élire le chef de l'État ?
Plus grave sont les coups de boutoir réguliers au Conseil constitutionnel auxquels se livrent certains polititiens se faisant ainsi remarquer en politisation la question de la légalité des règles. Ce sont des basses manoeuvres de mensonges qui desservent l'État de droit.