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Putain d’iris "aigue-chagrines",

vous que la nostalgie "rembrume"

vers celle à qui se destine

les envolées de votre plume.

Celle qui a fait mine

d’avoir fermé son coeur

ainsi que sa putain de porte,

hypocrite pantomime

de vos pseudo-amours mortes.

Croyez-vous que je ne devine

même en les hommes

pour qui je peu importe,

les tournures qui riment,

aux pensées de cette sorte

et qu'à l’affût du moindre signe,

vous convoquez son ailleurs.

Vous dont le mât prend le large

là où un idéal vous attend.

Vous qui convoitez sa berge,

où votre voile levée se tend.

Allez-donc vous faire tailler un sourire,

puisque son souvenir burine vos traits,

puisque la belle vous chavire

encore des années après.

Vous mentez ainsi que les autres,

ne serait-ce qu’à vous-même.

Vous mentiez, vous vantant apôtre

d’une probité sans problème.

Vos plaintes m’ont portée à faux,

faisant de moi un putain de recours :

me postant passe-temps, puis porte-voix,

puisque voilà qu'à travers mon écho,

vous biaisez les barrières qui vous broient.

Je n’aurais été qu’une putain de speakerine,

propagande de secours

aux blessures de votre égo.

Qu’aujourd’hui, la jalousie réenvenime

illégitime en tout, sauf en parano.

Sans intérêt, lors sans égards décommandée,

même si involontaire dommage,

dès qu’il s’est agi urgemment de dérouler

pour la Princesse, un tapis de pages.

Aussi merci pour l’aumône,

mais mes épaules vous en soulagent.

Elles n’ont vraiment besoin de personne

pour s’en aller danser sous l’orage.

B.O. : https://youtu.be/ITSq_V7UQDU?si=f4YZ90-8lUzDmoR9

" Veux-tu être l'ombre de mon ombre, elle-même ombre de son chien ?

- Non. "