@_hausimwald_

Et puis,

tu as voulu savoir qui,

qui tu étais

dans mes limbes encavées

de rêves agonisants.

Toi, la Trainée de poudre,

poudre de pollen,

par laquelle a soudain,

explosé

la distance entre nous.

Qu’avais-tu besoin

d’user du sextant

d’un équinoxe dernier

pour me donner

soit-disant l’heure

leurre au cadran

de ton coeur ?

Tandis que couvaient

sous ta langue lâche

tes mensonges éhontés

sans même t’inquiéter

que je me retranche,

oui ou non ?!,

dans mes silences bravaches,

quartiers de sécurité

de mon amour blessé.

Tu avais promis

promis !

de ne jamais devenir

Traînée de peine

Traînée de boue !

Alors dis moi, Toi,

pourquoi aujourd’hui

pour quoi,

oh oui, pour qui

— peux-tu, Toi, me le dire ? —

le sel creuse à perte

des lagunes

aux plages désertes

de ma peau,

quand des nuages

aux ondées de passage

et pensées au galop

crachent,

cravachent

sans déni, ni

retenue aucune

sur ces quelques années

de rêves en trop.

https://youtu.be/rKpahxewYlU?si=33WUNOBZO7otp-d7

Pinterest.

Ces visuels, je les avais glanés

bien avant de découvrir tout récemment,

et de façon inopinée,

la totalité de la page de ta Princesse.

Du coup, je sais, pour les nuages en pleurs.

Et, cela me permet de comprendre

sans aucun engouement tout ce que je lis.

Le pourquoi

du soudain premier

( que je m'attribuais comme tu le vois ici

faussement, bêtement

comme les assonances aussi

d'une chanson passée ... )

et du dernier.

Mais pas de t'avoir compris

ni tout ce que tu as entrepris

jusqu'à me perdre dans tes bois.