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Une vie d'amour - 06 - Santorin

Une vie d'amour - 06 - Santorin

Pubblicato 26 mag 2024 Aggiornato 1 nov 2024 Erotic romance
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Une vie d'amour - 06 - Santorin

 

Le désir est désir de l’autre »
Jacques Lacan 

 

Une vie d'amour - 06 - Santorin

    L’été avançait. Gabriel et Maria avaient planifié un nouveau voyage depuis leur dernière escapade en Italie deux ans auparavant. Cette fois-ci, ils avaient choisi d’aller graver leur amour dans la pierre en sculptant de nouveaux souvenirs sur les traces des dieux grecs de l'Antiquité. Maria avait suggéré la destination. Une réponse aux commentaires élogieux que Gabriel lui lançait quand elle revêtait une de ses robes blanches. Des tenues qu’il affectionnait tout particulièrement. L’idée lui était venue en portant celle à une seule bretelle sur son épaule gauche qui laissait nue la droite. En réponse, le pan tombant opposé à la bretelle venait suivre la courbure de son mollet droit, laissant le reste de sa robe à peine couvrir son genou. C’était une des robes qu’il appelait robe d’Aphrodite. Contrairement à l’une d’entre elles qui laissait parfois un sein se glisser hors du tissu aérien qui les constituait, celle-ci laissait la transparence aiguiser son appétit. Les pointes de ses mamelons toujours en éveils étaient à la rose ce que sont les épines. Gabriel aimait venir s’y piquer pour cueillir sa belle dame au parfum aphrodisiaque. La Grèce s’ouvrait donc à leur désir d’évasion, malgré leur désir de simplicité le reste du temps.
    Pour le voyage, elle avait opté pour un simple jean bleu, comme une seconde peau sur elle. Son t-shirt blanc n’avait rien à envier à la transparence de ses robes qu’elle avait emportées dans ses bagages sans en parler à Gabriel. Elle aimait sa réaction quand elle surprenait son regard gourmand venir s’accrocher au dessin de sa poitrine, la plupart du temps libre de tout soutien-gorge. Elle savait si bien jouer de ses atouts et s’il était quelque peu indifférent aux ornements d'autres femmes, il ne résistait en revanche jamais très longtemps à ses charmes. Surtout quand elle avait décidé de faire de lui sa proie. Et, c'était bien le cas aujourd’hui. Dans l’avion qui les portait vers le pays du mont Olympe, elle avait ouvert la climatisation pour qu’un filet d’air froid vienne embrasser ses tétons. Elle n’avait pas attendu longtemps en se mordillant la lèvre pour que les yeux de Gabriel viennent se poser sur elle. La chair de poule sur ses bras manifestait son désir tandis que sa rétine s’imprimait de la vision mirifique qu’elle lui offrait.
    — T’es gonflée de me faire ça pendant l’atterrissage !
    Elle fit mine de regarder avec étonnement sa poitrine dressée.
    — Gonflée n’est pas vraiment le mot si tu reluques mes seins !
    — Ok ma belle, quand on sera posé, crois-moi que tu vas être loin de l’atterrissage toi.
    — C’est pas toi qui dis toujours que l’amour se mesure aux actes du quotidien plutôt qu’aux mots ?
    — Je te rassure, tu vas pouvoir vérifier que je sais joindre les gestes à la parole.
    — J’attends de voir.
    Une superbe hôtesse de l’air vint se poser à côté de Gabriel avec toute la grâce d’une divinité grecque et s’adressa dans un anglais parfait que les français n’arriveront jamais à obtenir.
    — Monsieur, s’il vous plait, pouvez-vous remonter votre tablette. 
    Il l’avait à peine remise en place que l’hôtesse s’était déjà envolée vers d’autres sièges tandis que Maria ajouta d’un air des plus innocents :
    — Remonter votre tablette et descendre ce qu’il y a derrière votre braguette.
    Gabriel se contenta de hocher la tête, faisant explicitement comprendre à sa moitié qu’elle allait devoir payer la note et qu’elle serait particulièrement salée.

    Dans les bras l’un de l’autre, échangeant leur satisfaction d’être ensemble, ils manquèrent de peu de percuter Brad Pitt qui gagnait lui aussi Oia, où il possédait une villa un peu avant l’entrée du village. Absorbés par le bleu profond de la mer Egée, ils prirent machinalement le bus navette de 10 heures pour faire les onze kilomètres qui les séparaient de leur hôtel. Savourant chaque nuance de couleurs sur la palette de leur bonheur.
    L’architecture cycladique d’Oia, différente de celle de la Grèce leur sauta aux yeux avec ses murs blancs et ses dômes bleus tel l’écume de la mer entre le ciel et l’eau. Perché au nord-ouest de l’île de Santorin, à flanc de falaise, le village était réellement un paradis. La chaleur du soleil, le parfum de la mer et la caresse du vent les saisissaient dans une spirale de volupté. Première étape de leur voyage en Grèce, Santorin mettait la barre très haut. Un cran supplémentaire fut franchi lorsqu’ils arrivèrent dans la suite « dôme blanc » de l’hôtel Kaléidoscope. Maria n’avait pas voulu dévoiler leur lieu de villégiature à Gabriel afin de préserver la surprise. Elle s’était imaginée sa réaction plusieurs nuits durant et avait hâte de la vivre en plongeant dans ses bras, s’y lover et s’abandonner à lui jusqu’à en faire perdre la vue au soleil. Elle ne fut pas déçue. Gabriel resta bouche bée un bon moment en admirant leur grande chambre pourvue d’un bassin à remous qui semblait se perdre dans le ciel d’azur. Entre le ciel et l’eau, un matelas invitait à se laisser sécher au soleil après s’être délassé dans l’onde cristalline.
    — Wahou ! réussit-il à articuler, toujours envouté par la féerie de cette immensité qui paraissait leur appartenir.
    — Garde ta bouche ouverte, ça va servir.
    Maria lança sa petite phrase avec son air mutin et termina en se mordillant la lèvre inférieure comme à son habitude. Simultanément, elle retira lentement ses vêtements tout en ondulant vers le bassin. La dernière chose que vit Gabriel avant d’entendre plonger sa sirène fut le tanga de dentelle blanche qu’elle lui projeta avec son pied directement sur le visage.

    L’eau était exquise en température. Actionnant les remous, le bassin les emporta tous les deux au milieu d’une dizaine de bras qui venaient masser chaque centimètre carré de leur peau. Ils rayonnaient ensemble au milieu de l’eau. Ne tenant plus, Gabriel attrapa Maria par les reins afin de la ramener vers lui. Sans mot dire, il s’empara de ses lèvres et les embrassa par petites touches avant de pénétrer plus profondément dans sa bouche pour mêler sa langue à la sienne. Puis, d’un geste ample, il la souleva en douceur pour la reposer délicatement, les fesses sur la margelle. Maria ouvrit ses cuisses et enserra la tête de Gabriel.
    Elle se renversa en posant son dos sur le matelas, offrant toute son intimité à cette bouche qu’elle rêvait de voir se coller à sa vulve. Il y allait en douceur, comme toujours, attisant les braises pour nourrir le feu qui embrasserait bientôt ses entrailles. Il embrassait l’intérieur de ses cuisses, puis venait titiller la bordure de ses petites lèvres. Les attrapant avec sa bouche, il les tirait doucement pour les décoller d’une nouvelle humidité qui naissait, une eau bien différente de celle dans laquelle elles baignaient l’instant précédent. Maria suintait sa satisfaction du plaisir à venir. Sous le capuchon, son clitoris manifestait son envie d’être saisi lui aussi. Gabriel ne le fit pas immédiatement non plus. De la pointe de sa langue, il le lapait par petites touches, tournait autour, jouait avec lui. Du pouce l’amant terrible allait et venait entre la vulve et l’anus entraînant des contractions entre les deux ouvertures qui tremblaient d’excitation. Maria se cambrait, offrant sa menue poitrine au soleil. Ses mamelons dressés manifestaient à leur tour leur besoin d’être attrapés, titillés, mordillés, sucés. Deux friandises gorgées de sucre attendant la bouche, la langue et les dents de Gabriel. Mais, pour l’heure, ils allaient encore patienter un peu, voire passer leur tour, car il était occupé avec soin et méthode à d’autres zones érogènes. De l’index, il venait progressivement dilater l’anus de Maria tandis que du pouce, il caressait l’entrée de son vagin. Sa langue allait et venait, happant le miel qui s’échappait, venait lisser la paroi interne des petites lèvres, remontait le long du sillon et cernait le clitoris en feu avant de l’absor

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