C'est la 'Newsletter' de l'Australienne revue en ligne The Conversation (publication du 11 décembre 2022, fête de Daniel[le] dans le calendrier laïc des Français) qui titrait on ne peut mieux (elle nous inspire, chacun son tour : surtout quand il y a véritablement matière à réflexion comme à inspiration, c'est-à-dire quand on connaît ou maîtrise son sujet) : "Is my RAT actually working?" La question est posée et bien posée en ce moment restant (l'un de ces derniers moments) d'intox, encore un semblant de COVID : la question de l'ADN aura été tellement obsédante (reléverait-elle du secret, par hasard ?) pour ceux qui n'inventent rien - pas des vedettes, encore moins des artistes - mais qui s'inspirent comme ils plagient, répètent et déplacent, réutilisent des scénars pour leurs petits effets et fabriquent de toute pièce une vaccination (business de pseudo-vaccins) destructrice d 'une auto-immunité naturelle : les enfants d'abord, victimes sacrificielles pourrait-on même croire (quand on se rappelle le vocabulaire religieux, sectaire, de la prédiction et de la persécution des covidiens, étrangers à la science et volontairement étrangers quand il s'agit de vérité c'est-à-dire de justice). Qu'en est-il donc de l'étude des rats en Australie quant à ce VIRUS qui aura confiné une population mondiale ? Ces sales bêtes sont encore sensitives et bonnes à détecter une maladie, lit-on ; ces animaux de laboratoire (tels des souris) ne seraient-ils pas les mieux placés (avant les hommes, ordre d'une dignité dont ne s'embarrasse pas un transhumanisme résetien concurrent à la fois d'un KGB et d'une police gestapiste) pour ce genre de tâche ou de fonction ?  L'image, en tous les cas, tend à faire oublier que les RATS communiquent généralement (surtout quand ils sont en liberté) des maladies et que cette image s'associe à non seulement du pathologique mais aussi à du pathogène et de l'insane (du malsain). La folie trumpienne aura aidé jusqu'à précipiter des recherches après enquêtes (au moins un raid floridien : affaire des dossiers), la mégalomanie affairiste (new-yorkaise et californienne...) aura en même temps contribué à repousser les bornes de la Loi (fédérale) comme si le droit constitutionnel n'était pas une assise ou un fondement (tel un ADN ou code, empreinte) que les décrets-lubies d'un personnel mis en place (un Donald Trump aux propos antisémites, un Anthony Fauci non enclin à trouver des remèdes au sida, etc.) pouvaient nier... 

Il aura été difficile de lier la critique éclairée et sans concession (déontologique, donc) de cette vaccination bafouant Nuremberg et sanitairement dangereuse (politiquement vicieuse) à la question