La France, c’est la Culture d’abord. Sa langue, ses artistes et ses créateurs. C’est aussi la Nation de l’Innovation, n’est-ce pas ? Alors, nommons un Ministre entrepreneur de la Culture, aux compétences numériques et créatives concrètes.

En tant que Président de la République française en 2025, j’ai décidé de nommer à la rue de Valois un humain - pas un robot - en charge des questions et des défis culturels à l’ère du numérique et de l’intelligence inhumaine. Le temps où la rue de Valois accueillait des as de la politique et des grandes écoles administratives françaises est terminé. Il faut du changement, du concret, de l’audace et de l’éthique.

Nous avons besoin en France d’un nouveau souffle culturel et créatif au service des industries et des acteurs de l’écriture, de la lecture, de la création musicale vivante et enregistrée, du renouveau des expériences muséales et des expositions, d’un nouvel élan audiovisuel et cinématographique d’auteur.

Nous avons besoin de redessiner les lignes de la compétitivité et de l’attractivité des loisirs culturels venant de France, au service des publics de France et d’ailleurs, au service de la langue française et du soft power français.

Nous n’avons pas besoin de toujours nous mettre entre les pattes des acteurs américains pour nous équiper en numérique, en signant des accords avec les géants du numérique Made in US.

Nous n’avons pas besoin de nous rendre dépendants de la Chine et de TikTok en organisant le Salon du livre de Paris avec TikTok ou le Festival international du cinéma de Cannes avec TikTok. Ce n’est pas parce qu’Amazon ou TikTok lancent leur librairie de livres qu’il faut se jeter dans les crocs du loup.

Nous devons reprendre confiance en nous.

Nous devons respecter les règles et être exemplaires dans la manière d’accompagner les acteurs culturels, les grandes institutions, et surtout permettre aux millions de créateurs indépendants français de trouver les ressorts dont ils ont besoin pour rayonner plus facilement sur les places publiques et numériques.

Internet nous a appris, et la Révolution française aussi, que les grands changements viennent de la base, et non pas du club de Paris !

Dans la Culture, il faut arrêter de mettre entre les mains d’un trop petit nombre trop d’argent, trop de pouvoir et trop d’influence. Le temps est venu d’ouvrir toutes les portes, fenêtres et routes pour créer les conditions d’un grand changement au profit de ceux qui font la culture et au bénéfice des publics qui se nourrissent des créations et des expériences culturelles sur tous les territoires de France.

La Culture ne doit pas être politique. La Culture doit se construire de manière non autoritaire, attentive, humble et empathique avec toutes les parties prenantes, pour accompagner les si nombreux défis et changements.

Il faut déconcentrer la Culture. En aucun cas, la concentration à l’Élysée, rue de Valois ou ailleurs n’est bonne pour les créateurs, les informateurs et les acteurs de la chaîne de valeur, toutes catégories confondues.

Il faut arrêter de décider pour les autres et de se prendre pour un prince ou une princesse. Il faut écouter, observer, apprendre, et réaliser des actions concrètes à court et à long terme pour redonner de l’espace et du souffle aux industries culturelles et créatives françaises.

Il faut être exemplaire dans la manière de conduire les affaires, et en aucun cas profiter du système en cumulant les fonctions et les rémunérations à titre personnel. Il faut être raisonnable et modéré lorsque des missions sont confiées.

Le moment est venu de confier les clés de la République culturelle française à un animateur ou une animatrice qui sait comment se comporter et organiser les conditions de l’émergence de filières fortes et rayonnantes, en conservant toute la valeur de l’histoire et du patrimoine, mais aussi en utilisant les ressorts de l’innovation pour faire rayonner nos territoires culturels en France, en Europe et dans le monde entier.

Redonner goût à la langue française et à tout ce qu’elle incarne fait partie de la mission.

N’oublions surtout pas Versailles, l’Opéra Garnier, le Louvre, le Mont-Saint-Michel, nos villages, nos places, nos pierres, et notre patrimoine architectural en campagne, en ville, en montagne. Ne les oublions pas, car nous avons besoin de lieux pour réunir les publics, organiser des expositions et proposer des expériences qui font rayonner notre culture.

Grâce aux places physiques, la France a rayonné à travers le monde. Il nous faut désormais créer des places numériques fortes et attractives. Car vous lisez, vous écoutez, vous apprenez, vous flânez de plus en plus souvent sur des places connectées, à travers vos téléphones et écrans du salon. Les créateurs ont besoin de places et d’espaces français pour toucher les 70 millions de Français. Ce ne sont pas Amazon, Netflix, Apple, Tik Tok ou Meta-Facebook qui vous proposeront ces espaces de diversités demain.

Ne perdons plus de temps...

Retroussons-nous les manches : le temps est venu de bâtir de nouvelles cathédrales !

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Petit notice franc du collier :

1. Article signé Alexandre Leforestier, entrepreneur, citoyen français.
2. Photos prises par Alexandre Leforestier à Paris : vous avez reconnu l'horloge ? L'autre, c'est écrit dessus...
3. Article rédigé sans IA générative.
4. Article corrigé pour les fautes avec ChatGPT, rien d'autre. La preuve selon le Chat : Merci pour ce texte engagé et dense. Voici une version corrigée uniquement sur la forme (orthographe, grammaire, typographie), sans modifier le fond ou le ton.
5. Article humoristique mais pas que !