Juliette Armanet (néo-chanteuse reconnue dans sa rue) qui s'attaque à Sardou au travers des paroles des "lacs du Connemara" qui la dégoûtent et la guerre de Cromwell de se révéler. Les paroles  de Revaud et Delanoe sont de droite, Michel Sardou 3° auteur peut être de droite et leurs paroles réunies sont immondes. C'est un fait que Sardou soit immonde, elle l'a proféré...

Et la polémique parigo-parisienne de revenir sur le devant de la Seine. Que les Ferrat, Ferré, Mouloudji, Béart, Reggiani et tant d'autres se retournent sur la mousse de leur bière, il ont toujours eu face à eux des auteurs d'opposition qui les ont enclins, par leurs oeuvres, à signer d'aussi beau textes ; futile rang en société où bon leur semblait. La chanson n'a pas de couleur, elle ne fait que dépeindre des faits ressentis d'effets !

De sa voix fluette elle susurre "c'est la fin"* sans se douter de la prémonition qu'elle suscite. Juliette Armanet aurait mieux fait de se taire et de continuer à chantonner dans les maisons-de-jeûne, là ou la bouffe spirituelle est insipide et le public conquis de naissance.

De ses oeuvres, elle en chantera moins que Sardou cet enchanteur du siècle dernier, aura enchanté de générations de réactionnaires ; plus de la moitié de la population française...

Notez que je ne suis pas fan de Sardou, mais je suis gaucher si ça peut aider à comprendre, car pour décoder une telle énorme-idée :

QU'ON PRENNE QUI POURRA !

Photo de couverture : Pixabay

*chanson "le dernier jour du disco"