Ashtar: Interview galactique
Su Panodyssey puoi leggere fino a 30 pubblicazioni al mese senza effettuare il login. Divertiti 29 articles da scoprire questo mese.
Per avere accesso illimitato ai contenuti, accedi o crea un account cliccando qui sotto: è gratis!
Accedi
Ashtar: Interview galactique
Interview de TitiSoko par Ashtar
Ashtar : tu t’apprêtes à publier l’Enfant qui Murmurait à l’Oreille de Géants, un conte initiatique pour enfants de 9 à 99 ans. Pourquoi m’avoir sollicité pour mener cette interview ?
TitiSoko : le conte évoque brièvement les 12 dimensions de l’Univers. Alors qui de mieux pour mener cet interview qu’un Haut-représentant des forces galactiques ? Un journaliste terrien aurait pu n’y voir qu’un simple conte pour enfants. Or, un conte initiatique a bien entendu plusieurs niveaux de lecture.
Ashtar : il y a la dimension du rêve qui tient une place importante dans le conte, n’est-ce pas ?
TitiSoko : oui, nous avons été éduqués à penser que le rêve n’est pas la réalité. Mais qui sait s’il n’y a pas plusieurs réalités et que le rêve n’en serait pas une, tout aussi réelle que notre monde en 3 dimensions ?
Ashtar : le personnage de l’Arbre des Ancêtres occupe une place centrale dans le conte, qui est-il ?
TitiSoko : il symbolise la nature et le lien que l’humain entretient avec elle. Il nous invite à nous poser une question existentielle fondamentale : qu’est-ce que la nature ? Est-ce un truc sympa à avoir le weekend mais qu’il nous faut à tout prix maitriser pour pouvoir en tirer le meilleur parti possible, comme nous le faisons actuellement en nous considérant au-dessus? Ou alors serait-il envisageable que nous soyons une partie intégrante de cette nature au même titre que les autres formes de vie sur terre et dans l’Univers ? Dans quel cas, il semblerait que nous l’ayons quelque peu oublié, et que notre obsession à la contrôler et à l’exploiter et finalement à la détruire nous conduit à nous détruire nous-même, puisque nous en faisons partie.
Ashtar : Et la solution est-elle d’œuvrer en vous transhumanisant par le biais de l’Intelligence Artificielle ?
TitSoko : J’espère que non. Le conte nous incite à réaliser que si nous nous détachons de la nature en nous transhumanisant, nous irions dans une direction qui ferait que, pour nous passer de cette nature que nous aurions détruite, nous perdrions par la même occasion ce lien qui faisait que nous en faisions partie. Et peut-être aussi notre connexion divine ou universelle, celle qui nous permet de ressentir des émotions humaines, d’aimer, de nous connecter à toutes choses et de nous relier à cette conscience universelle que j’évoque dans le conte.
Ashtar : l’être humain semble en effet être le seul être vivant sur Terre à avoir développé la capacité de s’auto détruire et d’entrainer avec lui la destruction de toute autre forme de vie sur la planète.
TitiSoko : Cette faculté d’auto-destruction unique et propre à l’homme est le résultat de 7'000 ans de ce que nous avons le bon goût d’appeler la Civilisation, terme que nos historiens font remonter à l’époque des Sumériens. Car auparavant, l’être humain, dont on retrouve des traces datant de près de 3 millions d’années, n’était qu’un pauvre sauvage d'après nos historiens. Il est cependant amusant de noter que ce pauvre sauvage a su traverser plusieurs périodes de glaciations, s’adapter et survivre pendant une durée de temps 400 fois plus étendue que celle que nous appelons Civilisation et ce, en parfaite harmonie avec son écosystème. Notre homme civilisé, en revanche, en l’espace d’environ 150 ans, soit une microseconde sur la durée de son existence, a réussi à avancer l’aiguille du compte à rebours de son espèce pour la placer à minuit moins 1 seconde. Et le plus fou dans tout ça, c’est que tout civilisé qu’il se prétend, il ne le réalise même pas ou ne veut pas s’en rendre compte. Cela pourrait en effet faire baisser la bourse ou perturber la digestion de son petit déjeuner, une éventualité à écarter à tout prix.
Ashtar : faudrait-il que nous retirions la prise sur l’expérience de l’Humanité ?
TitiSoko : c’est une vraie question sur le plan galactique, j’imagine ! Et nous ne sommes vraisemblablement pas suffisamment conscients de ce risque. Mais je garde la conviction que la facette lumineuse de l’Humanité saura prévaloir. Un nombre grandissant de belles âmes sont à l’œuvre et ont atteint un seuil critique suffisamment fort, animées d’énergies éclairées et éveillées, pour que la face sombre de la planète ne puisse réduire l’humain au rôle d’esclave de ses pulsions basses qu’elle lui réservait.
Ashtar : il est vrai que nous avons eu des requêtes de la part de représentants de l’Humanité pour vous donner un sursis.
TitiSoko : Et j’espère que vous continuerez à nous apporter votre soutien, en nous envoyant des codes de lumière pour activer notre éveil et notre ascension sur un plan vibratoire.
Ashtar : c’est ce que nous faisons. D’où penses-tu que tu as reçu l’inspiration pour ton conte ?
TitiSoko : c’est vrai que ça m’est venu tout seul, lors d’une retraite dans un lieu magique au Brésil que j’aime beaucoup, où les énergies sont très fortes. J’y ai croisé plusieurs araignées qui m’ont inspiré pour le conte, hahaha.
Ashtar : et le Géant, tu l’as rencontré là-bas aussi ?
TitiSoko : j’ai rencontré là-bas un personnage qui m’a inspiré, car lui aussi vivait une expérience de renaissance que j’ai relatée dans le conte.
Ahstar : que symbolise le Géant dans ton conte ?
TitiSoko : le Géant, ce sont les dirigeants de la planète. Dans le conte, j’ai décidé d’en faire un personnage sympathique, même si la réalité n’est sans doute pas si rose. Il n’en reste pas moins que si l’humanité, symbolisée par l’Enfant, ne s’élève pas rapidement, le Géant risque de lui marcher dessus. « Sans le faire exprès » ajoute gentiment l’Arbre des Ancêtres qui invite l’Enfant à monter dans ses branches. C’est en montant dans les branches de l’Arbre, ou en d’autres termes, en s’élevant spirituellement ou vibratoirement, que l’Enfant parvient à obtenir l’attention du Géant. Qui non seulement l’écoute, mais se transforme suite à l’histoire que l’Enfant parvient à lui transmettre.
Ashtar : le message du conte est donc d’écouter l’Enfant ?
TitiSoko : c’est un des messages, réapprendre à écouter notre enfant intérieur, car il parle avec le cœur, un baromètre bien plus puissant et efficace que notre mental. Avec cette énergie de la noble humilité du coeur, nous sommes en train de changer le monde et de développer un langage d’une grande force que même nos dirigeants vont entendre. Ils n’auront pas le choix. Ceux qui resteront dans le monde de l’ombre seront remplacés par des leaders qui dirigeront par l’exemple, sans ego et au service d’une humanité renouvelée. Chacun de nous peut retrouver son enfant intérieur, pour emprunter ce chemin d’une nouvelle humanité basée sur des valeurs immatérielles de spontanéité, d’amour, de partage, de compassion, de respect, de joie et d’abondance. En Conscience Unité, un des autres messages du conte, car tout est Un !
Ashar : tu as été dans le mental une grande partie de ta vie. Qu’est ce qui t’a fait basculer dans l’écoute de ton cœur ?
TitiSoko : c’est une longue histoire, mais pour faire court, j’ai subi une grosse opération au coeur il y a quelques années. Depuis, beaucoup de choses ont changé dans ma vie, de belles synchronicités auxquelles j’ai su m’ouvrir, des rencontres avec des êtres remarquables qui m’ont guidé vers de nouvelles voies sur mon chemin de vie. Je peux dire aujourd’hui que cette opération était un cadeau. J’ai des anges gardiens qui doivent être de drôles de farceurs….
Ashtar : crois-tu que cet interview a vraiment eu lieu ?
TitiSoko : je n’en sais rien, mais j’aime bien l’idée d’un monde où tout est possible !